3 raisons de (re)jeter le masque

27 mai 2020

portrait de Yves RasirPandémie, fin de partie ! Comme l’avaient bien prévu le Pr Didier Raoult et quelques autres spécialistes clairvoyants,  le Covid-19 s’est comporté comme une banale virose saisonnière et n’a pas résisté au retour des beaux jours. L’hiver n’a pas été rigoureux mais il a été long, les températures ne remontant vraiment qu’à partir du 15 avril. Et c’est précisément à partir de ce moment-là, avec l’arrivée du printemps climatique, que le nombre de cas a piqué du nez et que la très relative affluence dans les hôpitaux – en Belgique, l’occupation des lits en soins intensifs n’a jamais dépassé 60% – s’est brusquement tarie.

L’épidémie est terminée depuis un bon mois  et il n’y aura pas de deuxième vague, cette autre divagation née dans l’imagination des experts conseillant le pouvoir. Maintenant, la question est de savoir si l’on va retrouver la 7ème Compagnie, je veux dire la grippe annuelle qui a mystérieusement disparu des statistiques françaises de mortalité, comme le révèle l’article de notre collaboratrice Pryska Ducoeurjoly  que nous avons mis en ligne .

Quoi,  c’est pas possible, on aurait  aussi amalgamé ce fléau prétendument dévastateur avec la bonne vieille « crève » hivernale ? Il n’est pas interdit de le penser.  Pour rappel (voir mes infolettres précédentes), certaines études montrent que 80% des syndromes grippaux hivernaux ne sont pas associés au virus Influenza. Et d’autres travaux indiquent que la famille des virus Corona intervient dans 7 à 15% des infections respiratoires qualifiées de grippes. Or celles-ci dégénèrent fréquemment en pneumonies typiques ou atypiques.

Tous covidés ?
Les complications de cette deuxième catégorie, caractérisées par une dyspnée prononcée malgré une faible atteinte pulmonaire et des images thoraciques en « verre dépoli », étaient déjà observées en automne en Italie, mais aussi dans l’Est de la France et aux États-Unis dès le mois de novembre.

En Belgique, certains chercheurs ont retrouvé la trace du SRAS-Cov-2 dès le début du mois de février.  Il est par conséquent probable que cette grippe saisonnière un peu inhabituelle rôdait déjà sous nos latitudes depuis un bon bout de temps. Et donc que son taux de létalité – évalué pour l’instant à 0,5% en étant parti de 5 % – devrait encore être revu à la baisse grâce à  l’augmentation des tests sérologiques.

L’autre jour, je discutais avec ma vieille voisine de 78 ans qui avait dû se faire amener en ambulance fin octobre et qui m’a raconté ses symptômes : si ce n’était pas un Covid, c’était très bien imité !  Une amie m’a également parlé de sa grippe de janvier accompagnée de pertes de goûts et d’odorat, deux signes cliniques qui ne sont pas particuliers au Covid mais qui ont été maintes fois signalés cette année.

Moi-même, je me souviens avoir été sérieusement grippé au début de l’automne, période où je suis assez sensible parce que c’est la pleine saison des acariens et que ce contexte environnemental (les premiers froids +  l’omniprésence des arachnides ) réveille un  douloureux traumatisme de ma prime enfance. Je me rappelle m’être réveillé plusieurs nuits essoufflé et avoir dû faire des exercices de cohérence cardiaque pour réguler ma respiration et retrouver le sommeil.

Bref, on peut se demander si beaucoup d’entre nous n’ont pas été « covidés » sans le savoir et si cette étiquette n’a pas été collée – en sus de tous les autres diagnostics abusifs et du gérontocide commis dans les EPAHD –  sur la très traditionnelle grippe annuelle. Pryska va essayer de retrouver la 7ème compagnie et nous vous tiendrons au courant.

La jugeote de mon coiffeur
En attendant que les chiffres parlent, il faut bien endurer la prolongation du Corona Circus et se farcir le dernier numéro de ce spectacle navrant, celui de la paranoïa grotesque nous incitant, voire nous contraignant, à bien garder nos distances et à porter un masque pendant le déconfinement.

Hier, j’ai enfin pu retourner chez le coiffeur. Respect des consignes oblige, Umberto m’attendait affublé d’un masque blanc très élégant mais il ne m’a pas demandé d’en mettre un. Cool, j’aurais été capable de faire demi-tour et d’attendre encore jusqu’à l’été avant de me faire couper les tifs.

Son indulgence m’a soulagé car si le port des cheveux longs m’a rappelé ma jeunesse sixties et seventies, je commençais à en avoir marre de les avoir dans les yeux.

Engageant la conversation, j’ai demandé à mon figaro s’il se souvenait avoir déjà « chopé » le rhume ou la grippe d’un de ses clients. « Jamais en 25 ans de métier, m’a-t-il répondu, car j’ai une bonne immunité et je ne tombe jamais malade ».

Intéressant, non, ce témoignage attestant que des centaines, voire des milliers de contacts rapprochés avec des porteurs de microbes n’ont aucune influence sur un terrain robuste ?  Encouragé par son bon sens, je lui ai parlé de la controverse Béchamp/Pasteur et lui ai dit que moi, je ne croyais pas du tout à la contagion.

Que j’y croyais si peu que j’étais prêt à passer tout un mois en compagnie d’une jolie covidée et à l’embrasser à longueur de journée, avec la certitude de ne rien attraper. Ça l’a bien fait rire et il a eu cette réplique épatante : « Logique que tu n’attraperas rien puisque tu auras pris ton pied sans penser à autre chose ».

Franchement,  en entendant ça, je me suis dit que la  compréhension de la santé était bien plus répandue dans les salons de coiffure que dans les facultés de médecine. Car les médecins, il ne faut pas trop compter sur eux.

Après avoir pleuré sur la pénurie des masques, ils sont nombreux  – j’ai reçu beaucoup d’échos allant dans ce sens – qui l’arborent en consultation, l’imposent à leurs patients et leur conseillent de le porter en permanence. Mais bon sang, leur arrive-t-il encore de réfléchir et de lire autre chose que les slogans officiels ? Voici à leur intention, mais aussi à la vôtre, trois bonnes raisons de ne pas porter cet objet ridicule et de le jeter à la poubelle. (*)

  1. Le masque, ça ne protège pas Quand il n’y en avait pas assez, les politiciens et les experts nous disaient que les masques ne servaient pas à grand-chose. Maintenant qu’une industrie locale a été relancée et que les pays à bas coût salarial inondent le marché, les mêmes nous certifient que les bouts de tissu ou de plastique protègent efficacement. Qu’en est-il exactement ? En fait, il n’est pas scientifiquement démontré que le port du masque présente un quelconque intérêt sanitaire.Des citoyens canadiens ont passé en revue la littérature médicale et ils n’ont trouvé aucune évidence plaidant pour le port du masque. Voici le « rapport technique » où ils ont compilé les études prouvant plutôt  le contraire. De son côté,  sur le blog où il déconstruit méthodiquement  le « mythe infectieux », le scientifique David Crowe a pris la peine de lire les quelques études favorables au masque et a trouvé qu’elles étaient entachées de biais de confusion, notamment le fait que les groupes contrôles étaient  composés d’individus en meilleure santé que les groupes observés. Sa conclusion ? « Il y a une large évidence contre le port du masque par la population générale, généralement vu comme inefficace et pouvant contrarier les autres mesures préventives». David Crowe a aussi retrouvé les opinions formulées par certaines sommités médicales estimant que la propagation du virus ne pouvait pas être freinée par la généralisation du masque. Piquant : il a même retrouvé une déclaration de l’OMS datée  du 6 avril et selon laquelle il n’y a pas de bénéfice avéré à porter un masque en public, ni entre personnes en bonne santé ni lors de leurs contacts avec des gens malades. C’est d’ailleurs sur cette absence de preuve que le Danemark s’est appuyé pour… déconseiller le port du masque !  Seul pays européen à ne pas émettre une telle recommandation, le royaume scandinave a en effet choisi l’option inverse et a dissuadé sa population de sortir masquée.   Le microbiologiste Hans Jorn Jepsen Kolmos, un des experts conseillant le gouvernement danois , l’a justifié ainsi : « Ce n’est pas une question de croire au masque ou pas (…). La position des autorités sanitaires est que, pour l’instant, nous n’avons pas de preuve clinique, scientifique, disant que les masques peuvent protéger efficacement le grand public ». (Journal International de Médecine, 22 mai 2020). Préférer la science à la  croyance, n’est-ce pas raisonnable ?
  2. Le masque, c’est mauvais pour la santé Ce pavé a été lancé dans la mare par le Dr  Russel Blaylock. Dans un article qui a fait le tour de la toile, ce neurochirurgien  américain réputé déclare carrément que « les masques faciaux peuvent poser de sérieux risques pour la santé » de ceux qui les portent. En premier lieu,  il désigne les personnes âgées fragiles et les personnes atteintes de maladies respiratoires, telles que la bronchite chronique obstructive, l’emphysème ou la fibrose pulmonaire. Pour cette catégorie de patients, le port du masque entraine potentiellement une grave détérioration de la fonction pulmonaire. Cela inclut également les patients atteints de cancer du poumon et les personnes ayant subi une chirurgie pulmonaire, en particulier avec une résection partielle ou l’ablation d’un poumon entier. Mais le Dr Blaylock  va beaucoup plus loin : il estime que les gens en bonne santé masquées sont également à risque car elles  sont  exposées à un risque accru… d’infection !  Des études ont en effet montré que l’hypoxie (baisse de l’apport d’oxygène) peut inhiber les lymphocytes T CD4+, les principales cellules immunitaires mobilisées lors des infections virales. « Cela prépare le terrain pour contracter toute infection, y compris Covid-19,  et rendre les conséquences de cette infection beaucoup plus graves. » Dans son document, David Crowe mentionne aussi deux études  scientifiques accablantes.  La première montre que le personnel hospitalier portant un masque fermé « attrape » plus facilement la grippe  que les autres travailleurs de santé porteurs d’un  simple masque chirurgical.  Les analyses en laboratoire ont confirmé que la pénétration de particules virales était de 97% pour le masque fermé, contre 44% pour les masques médicaux. L’air de rien, voilà encore un immense caillou dans la chaussure de la théorie pasteurienne ! La seconde étude  indique que les soignants (médecins, infirmières, paramédicaux..) engagés dans la bataille contre le Covid-19 ont constaté un accroissement de la fréquence et de la sévérité de leurs maux de tête, symptômes notoires d’un déficit en oxygène.  Sans être versé en physiologie, on peut aisément comprendre que se boucher la bouche et le nez  gêne la respiration et n’est pas sans effets négatifs et contre-productifs. Puisque la recherche scientifique en fournit les preuves, il faudrait détruire les stocks  de masques ou les renvoyer à l’expéditeur au lieu de propager, à grand renfort de propagande, la fausse idée que cet équipement contribue à l’hygiène de vie. C’est exactement le contraire.
  3. Le masque, les médecins s’en passaient bien Il y a très longtemps de cela,  à une époque dont on se souvient à peine, c’est-à-dire il y a quelques mois, les disciples d’Hippocrate recevaient ou visitaient leur patientèle sans porter de masque ni de gants, sans éviter les contacts physiques  et sans s’arroser de gel hydro-alcoolique. Depuis toujours, les médecins de terrain affrontent les épidémies sans  protection particulière. Tombaient-ils malades pour autant ? Évidemment que non ! Ces dernières années et surtout dans mon infolettre  du 20 mars 2019, j’ai soulevé ce paradoxe : lors des épidémies de grippe, les toubibs ne contractent pas cette infection pourtant considérée comme hautement contagieuse.  Ils devraient tomber comme des mouches, succomber massivement à l’agent viral qu’ils côtoient tous les jours,  s’aliter à leur tour et déserter leurs cabinets, mais non, ils restent au poste et ne semblent nullement affectés par l’ « ennemi invisible ». Si c’était le cas,  ça se saurait car il manquerait cruellement de praticiens lors des pics hivernaux de syndromes grippaux. Question à la hiérarchie de l’église pasteurienne :  comment expliquez-vous ce grand mystère de votre foi ? Question subsidiaire :  comment expliquez-vous que le Covid-19, contrairement à ce qui est rabâché dans les médias, ait fait si peu de victimes dans le corps médical ? Depuis le début de la « pandémie », le château de cartes de la théorie du germe craque de toute part et le virus à couronne est en train de révéler que la contagiosité est une absurdité sans fondement : le microbe ne peut absolument rien sur un terrain suffisamment sain. Heureusement, il y a des médecins qui en prennent conscience. Et d’autres qui le pensaient déjà tout bas et qui osent désormais l’affirmer très haut. Le Dr Jean-Michel Crabbé est de ceux-là. Collaborateur occasionnel de la revue Néosanté et auteur du livre « Tempête sur le diabète », ce généraliste de Besançon n’a guère apprécié l’injonction à se masquer et il a pris sa plume pour le faire savoir au Conseil de l’Ordre. Ci-dessous, je partage et reproduis sa lettre car elle pose bien le débat et contient quelques arguments percutants. Face à la tuberculose, les médecins d’antan étaient également et curieusement « immunisés »  bien qu’il combattaient sans rien  – à mains, bouches et narines nues  – le très contagieux bacille ! Voilà le genre de prises de parole qui font réfléchir et qui pourraient, si elles se multipliaient,  faire vaciller la dogmatique médecine académique emprisonnée dans ses croyances  d’un autre âge. Il n’est que temps, comme nous tous,  de la déconfiner complètement !
Yves Rasir
Source : NéoSanté
A la suite de cet article, un commentaire d’un médecin (surement conspirationniste ? ) qu’il faut absolument lire avec attention :

 

Dr Jean-Michel CRABBÉ
Qualifié en Médecine Générale et biologie appliquée aux sports
21 C, rue Jean Wyrsch
25 000 Besançon
tél : +33 3 81 50 39 93 – gsm : +33 6 80 20 32 48
Conseil de l’Ordre des Médecins du Doubs,
Copie : M. Pierre Laurent, L’Est Républicain,
Besançon, le 13 mai 2020

 

Monsieur le président, mes chers confrères, Dans le contexte épidémique covid-19, j’ose rappeler des faits incontestables qui devraient être connus de tous à propos des épidémies.
Au début du XXe siècle, au plus fort de l’épidémie de tuberculose, un confrère a écrit ceci : « Au sanatorium de Bligny, où tout le monde vit en promiscuité avec les malades, le Dr Guinard n’a jamais vu, ni dans le personnel, ni dans les familles du personnel, un seul cas de tuberculose pouvant être attribué à une contamination dans un service du sanatorium. » (Larousse médical illustré 1924, page 1258/1400).
Dans les années 1920, le personnel médical soignait les tuberculeux sans gants, sans masques, sans matériel à usage unique, et il n’était pas contaminé. Après la Deuxième Guerre mondiale, alors que l’épidémie régressait, les autorités sanitaires ont présenté la tuberculose comme une maladie très contagieuse, imposé des règles sanitaires rigoureuses, et rendu obligatoire la vaccination par le BCG sans apporter la preuve de son utilité (La Recherche, n° 356, septembre 2002).
En 2003, dans un service parisien de patients immunodéprimés, un cas de tuberculose très contagieuse chez un soignant n’a donné lieu à aucune contamination parmi les 180 patients très fragiles et les membres du personnel soignant exposés (BEH n° 10-11, 18 mars 2003).
Comme une majorité écrasante de mes collègues et du personnel soignant, j’ai exercé 45 ans dans le milieu médical sans protections particulières, j’ai traversé des dizaines d’épidémies de grippe très contagieuses sans vaccin, sans jamais être contaminé par la grippe ou par aucune autre maladie transmise par un patient. Comme mes collègues, j’ai constaté que la majorité des maladies infectieuses ne sont absolument pas contagieuses et que dans les familles, il y a rarement plus d’un malade à la fois. Nous sommes tous exposés quotidiennement à des milliards d’agents infectieux sans jamais contracter la moindre maladie, y compris à un âge très avancé.
L’histoire des grandes épidémies (Pr J-Ch Sournia, revue du Palais de la découverte – Vol. 15 – N° 146) nous enseigne que les phénomènes de contagion – peste, choléra, tuberculose, etc – n’ont jamais respecté les lois statistiques que nos épidémiologistes utilisent pour justifier des règles de confinement et d’hygiène à toute la population.
Il est amplement démontré que la notion de contagion pastorienne, qui fait la loi aujourd’hui, est inexacte et appliquée sans aucun discernement. En pratique, le terrain est essentiel.
De nombreux facteurs fragilisent un individu. Certains sont endogènes comme l’âge, les spécificités génétiques, les antécédents, les carences, l’hygiène individuelle. D’autres facteurs sont exogènes comme les stress physiques, l’épuisement professionnel et le travail de nuit, l’exposition à des toxiques et la pollution atmosphérique, les effets secondaires de médicaments ou de vaccins.
Même un stress psychologique diminue l’amplitude respiratoire, provoque une stagnation de l’air alvéolaire et favorise la pullulation du bacille de la tuberculose et d’autres agents infectieux comme ce coronavirus.
Depuis très longtemps, on sait que la meilleure vaccination, c’est un ou deux ans d’allaitement maternel, grâce auquel la mère transmet ses propres cellules immunitaires à l’enfant qu’elle allaite (Pouvert C. et coll., Immunologie fondamentale et immunopathologie, Marketing, 1991).
La situation actuelle est une perversion de la médecine, une maltraitance de populations entières privées de véritables soins et livrées au pouvoir arbitraire, non des médecins de terrain expérimentés, mais de l’administration et de la police.
Cette fausse conception des épidémies et de la contagion est le prétexte à la mise en place d’un système répressif à l’échelle de la planète. Ce système maltraite les jeunes, les travailleurs, les personnes âgées, il réduit l’humanité en esclavage, il neutralise les relations sociales et familiales indispensables à la vie et crée une hystérie collective.
Aujourd’hui, les hommes sentent que notre société va mal, et ils ont peur. Le non-sens règne partout avec le scientisme, le consumérisme, l’inversion des valeurs traditionnelles, la violation des lois de la nature, la perversion de la notion de famille et de communauté.
Le respect des lois naturelles, cela s’appelle la Sagesse, et quand l’humanité viole la Sagesse, elle se met en danger. Alors, avec ou sans confinement, l’humanité s’expose à être ravagée par une épidémie.
Recevez mes meilleures salutations confraternelles,

Dr Jean-Michel Crabbé

Source : NéoSanté

 

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