Néo Santé – Yves Rasir

Commentaire trouvé dans un article sur un autre sujet mais qui annonce un interview à venir de Marc Menant sur son livre « l’inquiétante histoire des vaccins ». C’est un peu de pub pour Yves Rasir « qui le mérite bien » et après Eric Ancelet, Serge Rader et tant d’autres, Marc Menant nous rafraîchit la mémoire sur les fraudes pasteuriennes.

16 JUIN 2022 – 9 H 57 MIN dalencourt

Je relaie encore l’infolettre d’Yves Rasir de Néosanté d’hier 15 juin, enfin la dernière partie, celle consacrée au livre de Marc Menant sur les vaccins.

Yves Rasir :
Enfin, je cède le reste de mon billet hebdomadaire au journaliste et essayiste français Marc Menant. Quand j’étais débutant dans le métier, j’écoutais quand je le pouvais l’émission hebdomadaire que ce grand bonhomme du PAF animait sur Europe 1 et qui mettait amplement à l’honneur les médecines alternatives. Et je me souviens avoir été choqué que cette émission disparaisse subitement de la grille alors qu’elle drainait une très large audience. À l’époque, on se doutait déjà que le journaliste avait indisposé Big Pharma et que la suppression de son espace d’expression découlait de ses objections envers l’acte vaccinal et la médecine allopathique en général. Le temps a passé mais Marc Menant n’a pas perdu son franc-parler ni son regard critique sur la vaccination. Sur le plateau de la chaîne Cnews, il se ramasse d’ailleurs de violentes attaques à chaque fois qu’il ose égratigner Pasteur et mettre en doute le bien-fondé des dogmes vaccinalistes. Avec la « crise Covid », inutile de dire qu’il s’en est pris plein la figure ! Mais comme le chroniqueur télé a aussi la plume bien pendue, le voilà qui riposte à ses contempteurs par la publication d’un livre édité par la prestigieuse maison Plon : « L’Inquiétante histoire des vaccins ». Dans cet ouvrage, l’ex-professeur de mathématiques ne prend pas de gants car il écrit que la science des vaccins est dépourvue de toute rigueur scientifique. Et il le démontre en remontant aux sources du mythe, à savoir les premières expériences de Pasteur et ses résultats falsifiés ou abusivement interprétés. Je vous conseille vivement ce bouquin car il est à la fois accessible, bien argumenté et solidement documenté. C’est aussi un brûlot à faire lire à tous les benêts qui nous bassinent depuis des lustres que l’immunisation artificielle a éradiqué les grandes maladies alors que leur déclin n’a rien à voir avec cette prétendue « victoire médicale ». Comme vous vous en doutez, Néosanté a sollicité un entretien avec Marc Menant et ce dernier a aimablement accepté de répondre aux questions de Pryska Ducœurjoly, pour une interview à paraître dans notre prochain numéro. Par respect pour nos abonnés et dans l’espoir, je ne vous le cache pas, que cette primeur nous attire de nouveaux lecteurs, je ne vais pas déflorer tous les propos recueillis par notre intervieweuse. Mais je reproduis ci-dessous ses 5 premières questions et les réponses de Marc Menant. La suite de cet échange éclairant et démystifiant dans le mensuel que je m’en vais maintenant parachever.

MARC MENANT :
« Le succès des vaccins repose sur l’inoculation de la trouille »

Après « La médecine nous tue » (2008), puis « Médecine, régimes, la terrifiante imposture » (2011), le journaliste Marc Menant lâche un nouveau pavé dans la mare sanitaire. « L’inquiétante histoire des vaccins », chez Plon, est la synthèse d’une documentation accumulée pendant vingt ans. Variole, rage, DTP, tuberculose, hépatite B, grippe, Covid-19, tout y passe. Sous la plume de Marc Menant, le dogme pasteurien prend du plomb dans l’aile ! Entretien.

Propos recueillis par Pryska Ducœurjoly

Marc Menant est un journaliste, écrivain et chroniqueur français. Sur TF1 en 1979, il a créé le Magazine de l’aventure, première émission à commenter l’action en simultané. Trois ans plus tard, Nicolas Hulot lui succède. De 1997 à 2008, sur Europe 1, il présente des émissions hebdomadaires sur les phénomènes paranormaux, le bien-être et les voyages. Il anime en parallèle Complément Terre sur Direct 8. De 2014 à 2015, il participe à l’émission Les Pieds dans le plat, diffusée quotidiennement sur Europe 1. Depuis 2017, il intervient sur la chaîne d’information en continu CNews, notamment dans les émissions Face à l’info (depuis 2019) et La Belle Histoire de France (depuis 2021).

Avec “L’Inquiétante histoire des vaccins”, vous déboulonnez un dogme médical sacré. Par les temps qui courent, cela relève de la bravoure… D’où vient cet intérêt pour la santé et la vaccinologie ?

En tant que journaliste, j’ai une curiosité pour tous les domaines. Comment ne pas s’intéresser à la médecine dès lors que vous y êtes confronté, que vous le vouliez ou non, dès votre plus jeune âge ? Qui n’a pas, dans son entourage, des cas de maladies qui suscitent des interrogations ? Sur Europe 1, j’ai animé une émission sur le bien-être. J’ai été interpellé par les avis divergents des médecins. On vous dit tout et son contraire. J’ai rapidement compris que la science médicale manquait de rationnel… Cela m’a amené à multiplier les lectures. Concernant les vaccins, j’ai été amené à creuser la question en tant que père de deux enfants. Fallait-il ou pas les vacciner ? Un jour, par un ami, je suis tombé sur les carnets de Pasteur. Au fil des ans, je n’ai cessé d’étoffer mes recherches à travers des documentations scientifiques, de nombreux ouvrages de référence et bon nombre d’allers-retours à la Bibliothèque Nationale. La crise du covid-19 n’a fait qu’aiguiser mon intérêt pour la question vaccinale. Ce n’est pas parce que je ne suis pas “expert” dans le domaine que je vais m’interdire d’écrire sur le sujet !

Vous retracez l’histoire des vaccins, à commencer par les premières expériences de Pasteur. Qu’est-ce qui vous a particulièrement frappé dans vos recherches sur notre héros national ?

Quand on se penche sur l’histoire du vaccin contre la rage, on est rapidement confronté à une supercherie. On met toujours en avant la fable du petit Joseph Meister, soi-disant sauvé par Pasteur. J’explique en quoi le protocole n’est pas valide et pourquoi cette guérison n’est pas prouvée. Parallèlement, on occulte les nombreux morts, comme celle du petit Jules Rouyer, qui montrent que ce vaccin s’est avéré dès le départ un échec. Pour couvrir Pasteur, son collaborateur Emile Roux n’hésite pas à mentir devant l’Académie de médecine, avec la complicité du professeur Brouardel qui a pratiqué l’autopsie de Jules Rouyer. Ils le font avec bonne conscience, au nom du progrès médical, pour ne pas compromettre l’avenir de la science vaccinale.

Parmi les péchés originels de la vaccinologie, vous évoquez aussi la manipulation des chiffres à propos d’une maladie finalement peu répandue mais présentée comme un grand fléau.

Les artifices mathématiques ont été dénoncés par des contemporains de Pasteur. Je cite notamment les propos du docteur Michel Peter, un farouche opposant : « J’ai vu deux cas de rage en trente-cinq ans de pratique hospitalière et civile (…). Pour amplifier les bienfaits de sa méthode et pour en masquer les insuccès, Monsieur Pasteur a intérêt de faire croire plus forte la mortalité annuelle par la rage en France ». Et de poursuivre : « Veut-on savoir, par exemple, combien en vingt-cinq ans d’individus sont morts de la rage à Dunkerque ? Il en est mort : un… Et veut-on savoir combien sont morts dans cette ville en un an depuis l’application de la méthode pasteurienne ? Il en est mort : un… ». En réalité, neuf fois sur dix, les gens guérissent spontanément. La même logique s’applique à l’ensemble des vaccinés ! Et pourtant, dans la presse, le vaccin contre la rage a rapidement été présenté comme un miracle de la science.

Les cas de guérison avec le vaccin de pasteur tiendraient donc plutôt aux défenses immunitaires des individus ?

C’est d’autant plus probable que Pasteur ne sait pas si les mordus qu’il vaccine ont réellement contracté la maladie. Pour s’en assurer, il aurait fallu qu’il prélève sur chaque victime de la moelle et qu’il l’inocule à des lapins cobayes pour voir s’ils développaient la maladie. Cette procédure n’a pas été réalisée dans la plupart des cas. On est donc dans la supposition et l’auto-persuasion. On retrouve d’ailleurs ce biais scientifique dans la plupart des « succès vaccinaux ».
Par son habilité à la communication, Pasteur n’a pas hésité à attiser la psychose populaire. À l’époque, chaque victime de morsure de chien se croyait enragée et courait à la vaccination. Il s’agissait alors d’un traitement curatif, injecté seulement après une morsure.
Pour chaque vaccin, j’ai réalisé tout un travail en amont pour parvenir à restituer l’essentiel. Enquêter sur ces remèdes demande de bien examiner les détails. C’est ainsi que l’on trouve des points d’appui indubitables, difficiles à restituer dans une interview. C’est pour cela qu’il existe des livres. J’incite le lecteur à exercer pleinement son esprit critique pour juger de la pertinence de mon analyse.

Dès le départ donc, l’efficacité vaccinale relèverait davantage de la croyance que de la science ?

Il n’y a pas de science dans les vaccins. Malgré un élan d’honnêteté, les premières expérimentations de Pasteur montrent déjà qu’on est dans l’empirisme le plus total. C’est plus une logique d’alchimiste qui tâtonne sur des bases très incertaines en matière de physiologie, un domaine qu’on est loin d’avoir compris encore aujourd’hui. Quand on réduit la physiologie à des principes mécanistes, on est dans l’erreur. C’est oublier la notion de terrain individuel et l’action de la psyché sur le corps. À bien y regarder, la science vaccinale se situe dans le domaine de l’indémontrable. Pasteur a cédé beaucoup trop tôt à la certitude. La certitude a tourné au dogme et, depuis un siècle et demi, à la Faculté, de génération en génération, les professeurs en disciples de Pasteur nous rabâchent dans les amphithéâtres le credo des microbes ennemis de l’espèce à combattre. Panacée des panacées, les vaccins ! En réalité, ces miraculeuses thérapeutiques ne sont que leurres sanctifiés par la propagande, dans la ligne de leurs ancêtres, les vaccins contre la rage et la variole.

(à suivre dans le mensuel Néosanté n° 124 de juillet-août 2022)

Yves Rasir

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