Malgré les moyens technologiques extraordinaires dont dispose l’armée américaine, c’est bien un chien qui a mis un point final à la traque du chef de l’Etat islamique

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L’opération « Kayla » menée contre Abou Bakr Al-Baghdadi démontre plus que jamais le rôle déterminant de l’homme et de son animal dans des opérations, qu’elles soient militaires ou policières.

Alors que l’efficacité des chiens policiers n’est plus à démontrer, le ministère de l’Intérieur français n’a jamais mis les crédits sur la table pour développer réellement l’activité cynophile au sein de la police nationale.

Pire, les collègues des brigades cynophiles sont contraints parfois de lancer des appels aux dons pour garantir une retraite à leurs chiens policiers, faute de prise en compte de la part de l’administration de la question du bien-être de l’animal retraité.

Le syndicat France Police – Policiers en colère rappelle son attachement aux équipes cynophiles. Recherche d’explosifs, de stupéfiants et de billets de banques.. Odorologie pour l’identification de suspects. Recherche de personnes disparues.. Même si elles peuvent être complémentaires, les nouvelles avancées techniques et scientifiques ne pourront jamais remplacer le travail d’un chien policier et de son maître.

Force et honneur !

Source : France Police

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