Micro ouvert : l’enregistrement qui trahit Brigitte Macron
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8 déc. 2025 Podcasts Le masque est tombé. 🎭 Vous pensiez que le mépris de classe était une légende ? Une invention de jaloux ? Attendez d’entendre ce qui se chuchote vraiment dans les coulisses du pouvoir quand les caméras s’éteignent. Vous n’êtes pas prêts. Dans cette vidéo, on analyse la séquence choc révélée par le magazine Public. On y voit la Première Dame, Brigitte Macron, apporter un soutien inconditionnel à Ary Abittan aux Folies Bergères, tout en traitant les manifestantes féministes de « sales connes ». Au programme de cette analyse sans filtre : 🔥 Le décryptage de la vidéo et de l’insulte. 🦁 La mécanique du « Clan » : comment l’élite se protège. ⚖️ Justice vs « Dîner en ville » : pourquoi les règles ne sont pas les mêmes pour tous. 🤐 Le silence médiatique assourdissant autour de l’affaire. Ce n’est pas une gaffe. C’est la preuve d’une fracture totale entre la « Caste » et le peuple. Il est temps d’ouvrir les yeux sur ceux qui nous dirigent.
Source : Youtube
SCANDALE ABITTAN : « LES SALES CON*ES » RÉPONDENT A BRIGITTE MACRON
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On ouvre ce journal avec ce qui a fait réagir tout le week-end : l’action des militantes de NousToutes, qui interrompent le spectacle d’Ary Abittan, humoriste accusé de viol. Cette action féministe se solde par une expulsion violente, menée par certains spectateurs et par la sécurité. Plusieurs militantes — dont la journaliste du Média Lisa Lap — sont frappées. Mais ce qui choque encore davantage, c’est la réaction de Brigitte Macron : la première dame insulte publiquement les militantes en les traitant de “sales connes”. Une déclaration grave, inédite, qui interroge le positionnement du pouvoir dans le débat public et dans la lutte contre les violences sexuelles.
On enchaîne ensuite avec une autre alerte démocratique : Marie Allenou, journaliste à Rue89Lyon, se voit interdire l’entrée du meeting du Rassemblement national à Villeurbanne. Blacklistée par le parti, alors même que son inscription était validée. Une décision qui pose directement la question de la liberté de la presse, du pluralisme et du droit d’informer en pleine période électorale. 👉 Pour recevoir les dernières actualités, le résumé de la semaine et être alerté des derniers programmes publiés du Média, directement dans votre boîte e-mail. https://newsletter.lemediatv.fr
Source : Youtube
Accusation de viol, non-lieu… On vous explique l’affaire judiciaire qui a visé Ary Abittan
Brigitte Macron a qualifié de « sales connes » des militantes féministes qui ont interrompu samedi un spectacle de l’humoriste qui a été accusé de viol en 2021.
Publié le 09/12/2025 13:40

L’humoriste Ary Abittan, le 1er février 2020. (MARTIN BUREAU / AFP)
« S’il y a les sales connes, on va les foutre dehors ! » La phrase polémique de Brigitte Macron continue de faire réagir. Dans une vidéo publiée lundi 8 décembre par le média Public, on voit la Première dame apporter son soutien à l’humoriste Ary Abittan, en coulisses, alors que l’artiste s’apprête à monter sur scène. La scène a lieu dimanche 7 décembre avant une représentation de l’humoriste dans la salle parisienne des Folies Bergère. La phrase de Brigitte Macron faisait référence à l’action menée la veille par quatre militantes féministes du collectif #NousToutes. Elles avaient interrompu le spectacle d’Ary Abittan, scandant « Abittan violeur ». L’humoriste a en effet été accusé de viol mais a bénéficié d’un non-lieu.
C’était il y a quatre ans, en octobre 2021, une femme âgée de 23 ans accuse Ary Abittan de l’avoir violée. Plus précisément, elle accuse l’artiste de lui avoir imposé des pratiques sexuelles non consenties lors d’une soirée chez lui à Paris, alors que les deux se fréquentaient depuis plusieurs semaines. La jeune femme porte plainte et Ary Abittan est placé en garde à vue avant d’être mis en examen pour viol. L’humoriste conteste directement les faits.
Près de deux ans d’instruction plus tard, les juges d’instruction lèvent les charges contre Ary Abittan, avant que la justice ne prononce finalement un non-lieu, en avril 2024. Le parquet de Paris et les juges estimaient qu’il n’y avait pas d’indices suffisants pour renvoyer l’humoriste devant un tribunal. L’avocate de la plaignante fait appel dans la foulée, mais le 30 janvier 2025, la cour d’appel de Paris confirme le non-lieu.
Retour chahuté dès 2024
Ary Abittan fait alors son retour sur scène, sous tension. Dès le mois de mai 2024, l’humoriste retrouve son public à Tours. Un retour mouvementé puisque 70 personnes protestent contre sa venue à l’appel du collectif Actions féministes, avec des cris et des pancartes « Abittan Violeur ». Cela se poursuit à chaque fois qu’Ary Abittan se produit. Le collectif #NousToutes demande même l’annulation de ses représentations, notamment pour son retour à Paris en février dernier, à La Cigale.
Quinze jours après la confirmation de son non-lieu par la Cour d’appel, l’acteur se défend : « Les combats féministes sont très importants, mais dans mon histoire, j’ai été innocenté. » Une version toujours contestée par certains mouvements féministes, qui rappellent qu’il n’y a jamais eu de procès : ni acquittement, ni relaxe. Selon eux, le non-lieu ne prouve pas son innocence, il indique seulement que les preuves étaient jugées insuffisantes pour le poursuivre.
Source : France Info
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