Lors d’un trail, un gendarme de 26 ans fait un malaise mortel juste avant l’arrivée

Le jeune militaire est décédé, le 24 mai 2025, après un arrêt cardio-respiratoire survenu juste avant la ligne d’arrivée. Il s’apprêtait à devenir papa pour la première fois.

Un gendarme de 26 ans est décédé des suites d’un malaise cardiaque, le 24 mai 2025, lors d’une course de trail à Lion-D’angers (Maine-et-Loire). Le sous-officier participait à l’épreuve et s’est effondré à 600 mètres de l’arrivée. Il s’apprêtait à devenir papa…

La victime est le maréchal des logis-chef Théo Richard, affecté à la brigade de proximité Le-Lion-D’Angers. Selon Le Courrier de l’Ouest, il participait à la première édition du trail nature baptisé « Sur la trace du Lion », quand il a été foudroyé par un arrêt cardio-respiratoire. Malgré l’intervention d’un cardiologue, lui-même coureur, et des secours, le jeune homme n’a pas pu être sauvé.

Une enquête a été ouverte. « Des examens médicaux sont en cours pour déterminer précisément les causes du décès », explique le procureur de la République, Eric Bouillard.

Une cagnotte pour aider sa compagne et son enfant à naître

Théo Richard s’apprêtait à devenir papa pour la première fois dans quelques semaines. La fondation « Maison de la Gendarmerie » a lancé une cagnotte solidaire. Les dons récoltés seront reversés à sa compagne et son enfant à naître.

Lire aussi : Un gendarme décède des suites d’un malaise en Polynésie

Source : L’Essor

Note de la rédaction de Profession-Gendarme :

Pour des raisons que nous ignorons ou que personne n’ose émettre, nous constatons que de nombreux camarades, dans la fleur de l’âge, décèdent trop souvent de malaise cardiaque.

Pourtant il est à noter que tout gendarme est soumis pendant sa carrière à des contrôles réguliers de sa santé afin d’obtenir le « certificat d’aptitude à servir ».

Néanmoins nous notons que les Gendarmes, étant des militaires, sont encore soumis à l’obligation vaccinale Covid pour pouvoir servir au contact du public. Le refus de vaccination est encore sanctionné au sein de la Gendarmerie Nationale.

Qu’il nous soit donc autorisé de nous poser des questions sur les causes réelles de ces trops nombreux décès en service.

L’Association Professionnelle Gendarmerie (APG) présente, à sa famille et à ses camarades, ses sincères condoléances.

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