L’imposteur Pasteur face au grand Antoine Béchamp

Depuis que j’évoque sur ce site Pasteur l’imposteur par rapport à Béchamp voici un court article parlant avec un petit tableau synoptique des deux philosophies. Big pharma a choisi son camp à savoir l’ignorance (pour ses victimes bien sûr)

Ce qui se passe actuellement n’est que la suite des impostures qui ont été louées et vénérées à la place de la véritable médecine, à la place des véritables hommes qui servaient la médecine et non les profits en tous genres.

Le combat Antoine Béchamp – Louis Pasteur  …toujours d’actualité

Les travaux de Béchamp

Trente ans avant l’instauration de l’idée du monomorphisme, le microbiologiste Antoine Béchamp, docteur ès-Sciences, docteur en médecine, en chimie, et en pharmacie, découvrait, à la suite de travaux expérimentaux et d’observations minutieuses, que toute cellule animale ou végétale est constituée de petites particules capables, sous certaines conditions, d’évoluer pour former des bactéries qui continuent à vivre après la mort de la cellule dont elles proviennent.

Béchamp appela ces petits éléments autonomes, des « mycrozimas ».

Béchamp et Pasteur qui étaient contemporains, s’opposèrent farouchement pour défendre leurs théories bactériennes devant les milieux scientifiques de l’époque.

Pasteur défendait la théorie selon laquelle toute maladie infectieuse était causée par des micro-organismes invariables dans leur forme et provenant TOUJOURS de l’extérieur de l’organisme, le milieu intérieur de tous les organismes vivants étant stérile.

Béchamp voyait à la maladie une origine interne, et affirmait que toute matière organique est sujette à des modifications naturelles dus à des processus normaux de fermentation. Ces processus provoquent, dans des conditions pathologiques, le développement des mycrozomas et aboutissent à la formation de bactéries ayant des propriétés de putréfaction et de fermentation.

Pasteur, qui était chimiste, n’avait pas compris l’importance capitale du milieu et de la bonne santé d’un organisme comme élément essentiel de résistance à la maladie.

Indifférent à l’ambition personnelle, Antoine Béchamp était modeste et confiant, sincère et enthousiaste, pénétré de l’idée du devoir, de la recherche et de la vérité et de la nécessité de la dire. Il négligera toujours toute publicité, et ne fera aucun effort pour rechercher des relations influentes.

Pasteur lui, était un homme médiatique, arriviste et sans scrupule, génie de la publicité et des relations publiques.

En 1900, Béchamp s’était un jour indigné en ces termes : « Je suis le précurseur de Pasteur comme le volé est le précurseur de la fortune du voleur heureux et insolent qui le nargue et le calomnie »…

Pourtant, sur son lit de mort, Pasteur aurait reconnu la pertinence des travaux de son rival en énonçant cette phrase célèbre : « Béchamp avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout ».

Dans son livre « Béchamp ou Pasteur ? » E. Douglas Hume décrit et objective admirablement cette lutte.

Malgré l’importance des travaux de Béchamp, la grande majorite des microbiologistes du début du 20ème siècle furent influencés par les travaux de Pasteur, et la doctrine du monomorphisme microbien est celle qui domine encore actuellement la pensée scientifique de la bactériologie modeme.

Homocoques.com : http://www.homocoques.com/b040301_dechamp_pasteur.htm

Antoine Béchamp

Antoine Béchamp (1816-1908) « Le Sang et son Troisième élément »

« Toutes les matières organiques naturelles (matières qui ont vécu), absolument
protégé des germes atmosphériques, invariablement et spontanément
altèrent et fermentent, car ils contiennent nécessairement et intrinsèquement
en eux-mêmes les agents de leur altération spontanée, digestion, dissolution ».

« Le processus est terminé, alors qu’il n’y a plus rien pour les nouveaux virus, les bactéries et des champignons à manger, ils se décomposent tous à nouveau, disparaissent et redeviennent les « petits points » dont ils sont issus, les Protits/Microzymas/Somatides. Ils se nourrissent eux-mêmes et renaissent, le serpent alchimique qui mange sans cesse sa queue (les Uroboros) ou le Le phénix, un oiseau mythique d’une grande beauté qui a renaît de ses cendres au bûcher funéraire ».

« Le microbe caractéristique d’une maladie peut être un symptôme au lieu d’une cause ».
– Source : Pro Fide Catholica

Source : ZE Journal

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