Envoi de troupes en Ukraine : la folle accélération de Macron se heurte au mur de la raison militaire

Pour Florian Philippot, la décision se jouera dans les dix jours. Dans l’opacité la plus totale, le président Macron s’apprête à engager le pays dans un conflit dont plus personne ne veut, hormis les faiseurs de guerre atlantistes. Un projet aussi dangereux que coûteux, qui heurte de plein fouet le bon sens et la raison.

Tandis que l’Élysée agite l’épouvantail de l’ogre russe, l’armée française manifeste une hostilité viscérale à servir de chair à canon pour les ambitions européistes.

La révolte des généraux

L’armée oppose une résistance sourde mais déterminée. Le départ soudain du général Burkhard, chef d’état-major, n’est pas un hasard : il aurait mis en garde l’Élysée sur le dénuement total des stocks militaires français. Cette hostilité latente au sein du commandement de l’Armée, soigneusement étouffée par les médias aux ordres, est un camouflet pour le pouvoir. Le fossé se creuse entre l’Armée et l’oligarchie belliciste.


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Le hold-up financier et humanitaire

Derrière les grandes déclarations sur la « paix » et la « réassurance », se cache une effroyable réalité : un pillage en règle des finances publiques au profit de l’industrie de l’armement. Zelensky lui-même évoque sans vergogne 90 milliards de dollars à la charge des Européens. Macron, en pyromane de salon, instrumentalise la peur pour mieux vendre à des Français ruinés une nouvelle saignée budgétaire et humaine. Le projet est insensé : en appliquant frauduleusement l’article 5  de la Constitution de 1958, simuler un état de guerre pour s’emparer des pleins pouvoirs. Macron veut engager notre pays dans une guerre sans fin, aux portes de l’apocalypse nucléaire.

Florian Philippot : « Soldats français en Ukraine, Macron accélère mais l’armée dit NON ! » (début de son analyse à 3’40)


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par Yoann

Source : Le Média en 4-4-2

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