En bon apatride ayant autrefois affirmé qu’il n’y avait pas de culture française, Emmanuel Macron aime balancer des concepts anglo-saxons à la manière d’un cadre dynamique. Son nouveau truc c’est « brainwashing », qui veut dire lavage de cerveau. Le roitelet élyséen démontre ainsi, et une énième fois, qu’il se soucie fort peu de l’identité française – en l’occurrence sa langue –, qu’il n’a pas peu contribué à démolir.
Macron est non seulement un déraciné volontaire mais il s’avère un ennemi assumé du pays à la tête duquel on l’a placé. Entendons par « on », une caste obscure de puissants qui avaient besoin d’un pion pour accélérer le plan, à savoir la destruction des Nations européennes pour en faire un laboratoire du Nouvel Ordre mondial. Et si ça ne marche pas partout – les anciens pays de l’Est résistant avec courage mais pour combien de temps ? –, il faut bien reconnaître qu’une grande partie de l’Europe n’est plus que l’ombre de de ce qu’elle fut : Allemagne, Angleterre, Belgique, Pays-Bas, Suède, etc.
Macron appartient donc à cette engeance psychopathique pour qui seul le but fixé compte, peu importe les dégâts collatéraux. Et le but, pour lui, c’est d’extirper toute forme d’enracinement historico-culturel de l’esprit des Français. Ainsi, au Vietnam, lors de sa récente visite, il a fait déposer une gerbe de fleurs au mausolée Hô Chi Minh, le bourreau des soldats français. Rappelons, pour information, que les prisonniers américains aux mains des Allemands, pendant la Seconde Guerre mondiale, furent nettement mieux traités que les soldats français prisonniers en Indochine, affamés et souvent torturés. L’un des survivants des camps du Viêt-Minh vient d’ailleurs de mourir dans le silence le plus complet : Stanislas Butryn.
Macron avait déjà rampé aux pieds des dirigeants algériens en 2017 pour accuser la France de crimes contre l’humanité en Algérie, omettant d’évoquer les atrocités commises par le FLN.
Pour parfaire son odieux portrait insane et non moins infâme, ce président, qui ne représente que lui-même plus une poignée d’idolâtres composant sa cour fétide, affiche donc depuis quelques jours un mépris totalement décomplexé à l’endroit des victimes d’une sauvagerie calquée sur le modèle allogène africain, du Nord pour le couteau et subsaharien pour la machette, et dont la progéniture accueillie malencontreusement en France use et abuse. Et même si certains avançaient que les apaches de la Belle Époque – voir le film Casque d’Or, de Jean Becker – jouaient eux aussi volontiers du surin, ils n’atteignirent jamais le degré d’abomination que l’on connaît aujourd’hui.
Pourtant, selon Macron, cette abomination ne serait qu’un « fait divers » grossi par les chaînes d’information en continu, comprenez : CNews, sa bête noire où il n’a même pas le courage d’aller s’expliquer malgré les invitations réitérées des journalistes de la chaîne. Macron n’aime que les médias qu’il peut manipuler, tels ceux, nombreux, qui participèrent à la curée contre les Gilets jaunes, provoquant ainsi des drames sur les ronds-points.
Au lieu de s’excuser pour ses propos déplacés – voire carrément abjects face à la douleur des parents de victimes de sa politique d’hyper-tolérance à l’égard de la délinquance allogène – au sujet du désormais fameux « brainwashing », le sinistre de l’Élysée a persévéré dans l’erreur mardi soir sur France 2, accusant pour l’occasion l’extrême droite, visant particulièrement les formations politiques patriotiques, ce qui en dit long sur sa faiblesse argumentaire : «Ils finissent par rendre les gens fous parce que les gens ont le sentiment de passer d’un fait divers à l’autre, en passant des punaises de lit le matin à un drame qui s’est passé la journée. »
Ironie de l’histoire, Macron s’y connaît très bien en « brainwashing », lui qui use et abuse de la manipulation des masses. Une manipulation qu’il a sans doute appris à mettre convenablement en scène sur les planches du théâtre lorsque, lycéen, il s’est laissé aller aux séductions de son enseignante, laquelle l’a modelé pour en faire le monstre ambitieux et immoral qu’il est devenu. Macron ce n’est même pas Rastignac, c’est Aristide Saccard, homme rongé par l’appât du gain et avide de gloire personnelle : « L’impatience le brûlait. Lorsqu’il se mettait à la fenêtre, et qu’il sentait sous lui le labeur géant de Paris, il lui prenait des envies folles de se jeter d’un bond dans la fournaise, pour y pétrir l’or de ses mains fiévreuses, comme une cire molle » (Émile Zola, La Curée).
Hélas, c’est la France historique et son vrai peuple qu’il a pétris comme une cire molle. Seule consolation, l’Histoire ne retiendra que le pire de lui, car il n’y a rien d’autre à retenir…
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