đƒđ„Ìđ‚đ‹đ€đ‘đ€đ“đˆđŽđ 𝐃𝐄 𝐌𝐄 𝐑𝐄𝐈𝐍𝐄𝐑 𝐅𝐔𝐄𝐋𝐋𝐌𝐈𝐂𝐇 𝐃𝐔 𝟐𝟒 𝐉𝐔𝐈𝐋𝐋𝐄𝐓 𝟐𝟎𝟐𝟓

Chers amis,

Une chose aprĂšs l’autre – commençons par l’essentiel. N’est-ce pas ce que nous nous disons Ă  nous-mĂȘmes quand nous sommes submergĂ©s par l’impression qu’il y a trop de choses Ă  gĂ©rer en mĂȘme temps?

Cela signifie qu’il faut Ă©tablir des prioritĂ©s. C’est exactement ce Ă  quoi j’ai pensĂ© en lisant une nouvelle dĂ©cision du dĂ©sormais tristement cĂ©lĂšbre juge marionnette Schindler, datĂ©e du 26 juin de cette annĂ©e, dans laquelle il semble presque esquisser quelques pas de danse lors de la cĂ©rĂ©monie d’ouverture des #JeuxOlympiques2024 de Paris, l’étĂ© dernier. Je vous expliquerai ce que je veux dire par lĂ  Ă  la fin de cette dĂ©claration.

Cette dĂ©claration a pour but d’attirer l’attention sur ma plainte pĂ©nale, que j’ai utilisĂ©e comme plaidoirie finale au tribunal il y a quelques mois et que je rends dĂ©sormais accessible Ă  tous, puisqu’elle a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© rendue publique Ă  l’audience – en dĂ©pit des tentatives dĂ©sespĂ©rĂ©es du juge Schindler pour m’en empĂȘcher.

Par cette derniĂšre dĂ©cision, il m’a rappelĂ© – involontairement, j’en suis sĂ»r, comme un acte manquĂ© au sens freudien – ce qui fait le plus peur aux monstres. Il m’a rappelĂ©, en quelque sorte, leur talon d’Achille. Dans sa dĂ©cision du juge, il dĂ©clare qu’il n’autorisera aucun avocat Ă  me dĂ©fendre s’il ne se conforme pas Ă  la ligne du #gouvernement. Il Ă©crit que la compĂ©tence juridique et le fait que j’aie confiance dans l’avocat que je souhaite pour me reprĂ©senter ne suffisent pas, mais qu’il refuse d’autoriser quiconque Ă  m’assister s’il partage mon avis, Ă  savoir que ce faux procĂšs est en rĂ©alitĂ© un procĂšs politique, dont le seul but est de m’abattre afin d’interrompre mon enquĂȘte sur la « plandĂ©mie » – et bien sĂ»r, d’empĂȘcher que les conclusions de cette enquĂȘte ne dĂ©bouchent sur un procĂšs de type #Nuremberg2, voire plusieurs procĂšs similaires Ă  travers le monde.

Il considĂšre cela comme une utilisation abusive de la procĂ©dure judiciaire. Comme exemples de ce qu’il juge ĂȘtre un comportement scandaleux, il cite l’avocat Edgar Siemund, qui, selon ses propres termes, a dĂ©clarĂ© clairement que « c’est une intrigue politique ».

Il fait Ă©galement rĂ©fĂ©rence Ă  un nouveau livre paru sous le titre : « Dr #ReinerFuellmich – Le procĂšs du dossier #Corona : un scandale judiciaire ».

Cela, affirme Schindler, montre qu’une distance professionnelle indispensable a Ă©tĂ© perdue. Et cela signifie, poursuit-il, que les personnes qui s’expriment ainsi, je cite : « se laissent manipuler et instrumentaliser Ă  des fins Ă©trangĂšres Ă  la procĂ©dure judiciaire, ce qui en constitue un dĂ©tournement », fin de citation.

Or, si cela Ă©tait vrai – et non simplement un autre moment embarrassant, qui confirme cette fois explicitement la vĂ©ritable raison de ce procĂšs factice –, Ă  savoir l’intention de m’abattre en raison de mon usage du Premier Amendement pour dĂ©noncer les crimes monstrueux contre l’humanitĂ©, alors aucun avocat ne pourrait plus dĂ©fendre un client qui ne serait pas parfaitement alignĂ© sur le gouvernement contre lequel il est censĂ© dĂ©fendre justement ce client.

Aucun avocat ne serait alors autorisĂ© Ă  plaider la cause de son client conformĂ©ment Ă  la volontĂ© de ce dernier – ce qui, dans bien des cas, correspond d’ailleurs Ă  la position de l’avocat lui-mĂȘme. Autrement dit, tout avocat qui ne serait pas en ligne avec le gouvernement, et qui ne croirait pas fermement que toutes les mesures anti-Covid Ă©taient parfaitement justifiĂ©es, ne serait pas autorisĂ© Ă  dĂ©fendre un client.

Mais au-delĂ  de cela, ce raisonnement factice et Ă©culĂ© ignore que les vĂ©ritables ĂȘtres humains de notre cĂŽtĂ© de la barriĂšre – Ă  la diffĂ©rence de ceux de l’autre cĂŽtĂ© – conservent encore la facultĂ© de penser par eux-mĂȘmes et de se forger leur propre opinion. Ce qui correspond parfaitement Ă  la devise du grand philosophe Emmanuel Kant : « Sapere aude » – « Ose te servir de ta propre raison ».

NĂ©anmoins, ce jugement incroyablement stupide m’a rappelĂ© que le talon d’Achille des monstres est bel et bien la plandĂ©mie. Car c’est la clĂ© de leur boĂźte de Pandore. C’est cela, la vĂ©ritable clĂ©. Ils craignent par-dessus tout que nous ouvrions cette boĂźte, car une fois ouverte – une fois que la plandĂ©mie du corona est comprise, mĂȘme par ceux qui sont encore de l’autre cĂŽtĂ© de la barriĂšre mais commencent Ă  se rĂ©veiller – alors tout le reste sera exposĂ© : le changement climatique, la manipulation climatique, l’arnaque du CO2, les guerres en #Ukraine et Ă  #Gaza, le #11septembre2001, les assassins de Kennedy, etc., etc.

Et cette seconde Ă©tape dans la bonne direction, qui permettra de mettre au jour tous ces crimes, sera franchie Ă  une vitesse fulgurante, presque du jour au lendemain. Mais voici l’essentiel : nous, qui sommes de ce cĂŽtĂ©-ci de la barriĂšre, nous savons dĂ©jĂ . Nous connaissons dĂ©jĂ  tous les autres crimes. Il serait donc absurde, pour les monstres, d’essayer de nous cacher ce que nous savons dĂ©jĂ . Non, leur panique vient du fait que la boĂźte est dĂ©sormais Ă  moitiĂ© ouverte, et qu’un nombre croissant de personnes de l’autre cĂŽtĂ© commencent Ă  comprendre ce qui se passe rĂ©ellement.

De plus en plus de victimes des injections expĂ©rimentales sont en train de se rĂ©veiller. Et tout Ă  coup, elles rĂ©alisent qu’il n’y a absolument personne, de leur cĂŽtĂ© de la barriĂšre, pour les aider. Alors enfin, elles se tournent vers nous pour obtenir de l’aide. Et je ne parle pas seulement d’aide mĂ©dicale. Ce qu’elles recherchent, c’est un soutien humain et Ă©motionnel – ce qu’elles trouvent dans nos communautĂ©s, ces communautĂ©s qui ont vu le jour parce que nous avons effectivement Ă©tĂ© persĂ©cutĂ©s Ă  l’époque. De vĂ©ritables communautĂ©s. Et nous sommes encore aujourd’hui persĂ©cutĂ©s.

Des communautĂ©s solidaires, oĂč l’on s’entraide – ce qui n’existe pas de l’autre cĂŽtĂ© de la barriĂšre. LĂ -bas, il n’y a aucun soutien humain, seulement l’isolement total et la solitude d’un monde fait de conditionnement mental rituel et de #propagande.

Or, le danger – Ă  la fois actuel et croissant – que de plus en plus d’ĂȘtres humains de l’autre cĂŽtĂ© de la barriĂšre rompent les rangs avec leurs bourreaux et leurs conditionneurs mentaux, s’accentue du fait que l’idĂ©e selon laquelle notre camp ne ferait aucun progrĂšs est totalement fausse. Bien au contraire : les monstres de l’autre cĂŽtĂ© de la barriĂšre encaissent coup sur coup – et tous ces coups sont portĂ©s sous la ligne de flottaison. Leur navire prend l’eau, et il sombre de plus en plus vite.

De quoi s’agit-il ? Eh bien, ici en #Allemagne, par exemple, une dĂ©cision trĂšs importante a Ă©tĂ© rendue par un tribunal administratif – je crois que c’était le 3 ou le 4 septembre 2024 –, une dĂ©cision en faveur d’une infirmiĂšre qui avait Ă©tĂ© licenciĂ©e parce qu’elle refusait de se faire injecter. Le tribunal a statuĂ©, sur la base des preuves disponibles, c’est-Ă -dire sur le contenu non expurgĂ© des dossiers du #RKI (l’équivalent allemand des dossiers du #CDC), que premiĂšrement, la dĂ©claration d’état de pandĂ©mie n’avait aucun fondement scientifique, mais reposait uniquement sur des directives politiques.

Et deuxiÚmement, que les injections étaient totalement inefficaces. Enfin
 pas tout à fait inoffensives, on se comprend.

Au Canada, une militante nommĂ©e Joanne Person, qui avait soutenu les dĂ©sormais cĂ©lĂšbres combattants de la libertĂ© de Coutts, avait attirĂ© l’attention de la Gendarmerie royale du Canada (GRC), qui voulait la faire emprisonner. Toutes les charges ont toutefois dĂ» ĂȘtre abandonnĂ©es aprĂšs la rĂ©vĂ©lation d’un enregistrement audio secret montrant que la police avait planifiĂ© de dissimuler des armes chez elle, pour pouvoir ensuite l’accuser de possession illĂ©gale d’armes et de terrorisme intĂ©rieur.

VoilĂ  comment on fabrique du crime. Ce genre de nouvelles rend beaucoup de gens trĂšs, trĂšs nerveux de l’autre cĂŽtĂ© de la barriĂšre.

Encore un exemple : en Nouvelle-ZĂ©lande, Barry Young, lanceur d’alerte au sein du ministĂšre de la SantĂ©, soutenu par Liz Gunn, ancienne avocate et journaliste, ainsi que par l’AmĂ©ricain Steve Kirsch et mon ami britannique Andrew Bridgen, a rĂ©ussi Ă  publier les vrais chiffres de mortalitĂ© post-vaccination. Les donnĂ©es qu’il a prĂ©sentĂ©es sont issues des statistiques officielles de la Nouvelle-ZĂ©lande. Dans certains centres de vaccination, plus de 30 % des personnes ayant reçu une injection sont dĂ©cĂ©dĂ©es quelques heures aprĂšs. Dans un centre en particulier, Invercargill, le taux Ă©tait de 100 % : 51 personnes vaccinĂ©es, 51 morts, toutes dans les deux heures suivant l’injection.

GrĂące Ă  une demande d’accĂšs Ă  l’information (OIA) dĂ©posĂ©e par un mĂ©decin nĂ©o-zĂ©landais, il a Ă©galement Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ© que le gouvernement possĂ©dait dĂ©jĂ  les premiĂšres donnĂ©es de sĂ©curitĂ© de #Pfizer des mois avant le lancement de la campagne nationale, tout en rĂ©pĂ©tant sans cesse que le vaccin Ă©tait bien sĂ»r « sĂ»r et efficace ». En rĂ©alitĂ©, c’était exactement le contraire – et le gouvernement le savait.

Les donnĂ©es de Pfizer montraient des consĂ©quences absolument dĂ©vastatrices en termes d’effets secondaires graves et de dĂ©cĂšs. Ces donnĂ©es Ă©taient tellement accablantes que la FDA (aux États-Unis) a tentĂ© d’en interdire la divulgation publique pendant 75 ans – ce qu’un tribunal amĂ©ricain a fort heureusement empĂȘchĂ©. Nous, de ce cĂŽtĂ© de la barriĂšre, savons depuis longtemps ce que contiennent les contrats passĂ©s entre Pfizer et les gouvernements. Mais les citoyens nĂ©o-zĂ©landais, semble-t-il, n’ont pas compris que Pfizer elle-mĂȘme stipulait dans ces contrats qu’elle ne pouvait garantir ni la sĂ©curitĂ© ni l’efficacitĂ© du #Vaccin – et exigeait donc une immunitĂ© juridique totale en cas de blessure ou de dĂ©cĂšs. Des clauses qui sont illĂ©gales et nulles d’office, comme l’ont justement soulignĂ© nos collĂšgues juristes belges dans un avis juridique.

Et il y a encore bien plus. Par exemple, les donnĂ©es de sĂ©curitĂ© officielles de Pfizer mentionnaient, dans une liste longue de 9 pages, pas moins de 1 223 dĂ©cĂšs rien que dans la phase initiale des essais cliniques. Cela montre clairement qu’on ne parle pas ici de simples nĂ©gligences – mais d’une intention manifeste. Car tout cela Ă©tait connu des gouvernements – pas seulement de celui de Nouvelle-ZĂ©lande. Tout cela rĂ©uni – ce que nous savons depuis longtemps de la plandĂ©mie, ce qui constitue un choc traumatisant pour celles et ceux qui sont en train de franchir la clĂŽture pour nous rejoindre, l’effondrement de la dĂ©fense absurde des monstres, ainsi que la dĂ©cision de Schindler citĂ©e plus haut – signifie pour moi une chose trĂšs claire : il est grand temps de tourner la clĂ© dans la boĂźte de Pandore des monstres.

Autrement dit, de faire connaĂźtre aussi rapidement que possible Ă  un maximum de personnes de l’autre cĂŽtĂ© de la clĂŽture les vĂ©ritables tenants et aboutissants de la plandĂ©mie. Car une fois la boĂźte ouverte, une fois ce premier pas franchi, tout le reste s’enchaĂźnera Ă  la vitesse de l’éclair – littĂ©ralement du jour au lendemain.

Le gouvernement fantoche allemand tente en ce moment un ultime baroud d’honneur pour sauver les meubles et glisser discrĂštement vers la trĂȘve estivale. Un peu comme une passe dĂ©sespĂ©rĂ©e Ă  la derniĂšre seconde d’un match de football amĂ©ricain, aprĂšs avoir encaissĂ© un coup trĂšs dur sous la ceinture : l’échec de faire nommer une juge proposĂ©e pour la plus haute juridiction allemande, la dĂ©sormais complĂštement corrompue Cour constitutionnelle. Il est devenu Ă©vident que le chancelier BlackRock d’Allemagne n’a mĂȘme pas rĂ©ussi Ă  obtenir le soutien de sa propre formation politique pour cette candidate – une femme qui souhaite lĂ©galiser l’avortement jusqu’au dernier moment de la grossesse. Étrange, non ?

Quand on sait que durant la pĂ©riode #COVID_19, les monstres ont dĂ©montrĂ© qu’un avortement par injection Ă©tait parfaitement acceptable – mĂȘme bien aprĂšs la naissance, jusqu’à un Ăąge trĂšs avancĂ©. L’horreur que certains membres du parti de notre chancelier BlackRock ont Ă  peine rĂ©ussi Ă  dissimuler sur leur visage aurait Ă©tĂ© encore plus grande s’ils avaient su comment les monstres prĂ©voyaient de cĂ©lĂ©brer cette nomination : Ă  grand renfort de cĂ©rĂ©monies d’ouverture, comme celles des #JeuxOlympiques de l’étĂ© dernier Ă  Paris ou de l’inauguration du tunnel du Saint-Gothard, il y a quelques annĂ©es. Allez voir par vous-mĂȘmes sur YouTube, et vous comprendrez ce que je veux dire. C’est pourquoi il nous faut faire de la rĂ©vĂ©lation de la plandĂ©mie – et du procĂšs de #Nuremberg2 qui doit en dĂ©couler – notre prioritĂ© absolue, sous le mot d’ordre : « Une chose aprĂšs l’autre – commençons par l’essentiel. »

Et ce n’est donc pas un hasard – si tant est que l’on croie encore aux hasards – que, malgrĂ© tous les obstacles qu’ils ont dressĂ©s sur ma route, malgrĂ© tous les bĂątons qu’ils m’ont mis dans les roues, j’aie finalement rĂ©ussi Ă  achever le montage de ma plaidoirie finale, que j’ai prononcĂ©e Ă  l’issue de mon faux procĂšs. Lorsque Schindler a compris ce que j’étais en train de faire, il a tentĂ© d’interrompre mon exposĂ© – mais, comme vous allez le voir, il a Ă©chouĂ©. Il s’agit d’une plainte pĂ©nale contre Schindler, le parquet et d’autres personnes, pour enlĂšvement, entrave Ă  la justice – un crime trĂšs grave –, coups et blessures et de nombreuses autres infractions.

C’est en quelque sorte une rĂ©ponse directe Ă  la fausse dĂ©cision annoncĂ©e par Schindler le 24 avril dernier. Et dĂ©sormais, tout le monde pourra la lire. Je vais commencer progressivement, en publiant d’abord l’introduction, qui rĂ©sume toute l’affaire et contient Ă©galement une table des matiĂšres permettant Ă  chacun de dĂ©cider s’il souhaite, par exemple, savoir pourquoi je suis toujours dĂ©tenu sur la base d’un mandat d’arrĂȘt cassĂ© dĂšs le 1er novembre 2023, ou encore pourquoi ce qui s’est passĂ© au Mexique relĂšve bien d’un enlĂšvement – et non d’une expulsion ni d’une extradition –, ou enfin s’il ou elle prĂ©fĂšre simplement lire l’ensemble du dossier.

En rĂ©sumĂ©, il s’agit selon moi d’une contre-attaque trĂšs efficace, qui ne manquera pas d’atteindre son but. Alors n’oubliez pas – n’oubliez jamais que nous sommes la cavalerie, et que nous pouvons faire tout ce que nous dĂ©cidons de faire. Les pensĂ©es deviennent des actions, et les actions deviennent des rĂ©alitĂ©s. Pour finir, j’aimerais vous parler de quelques chansons qui me rappellent l’époque oĂč je croyais encore que tout allait bien. Des morceaux optimistes comme đč𝑒𝑒𝑙𝑠 𝐿𝑖𝑘𝑒 đ»đ‘’đ‘Žđ‘Łđ‘’đ‘› de Fiction Factory, đ¶đ‘Žđ‘›â€™đ‘Ą đč𝑖𝑔ℎ𝑡 𝑡ℎ𝑒 𝑀𝑜𝑜𝑛𝑙𝑖𝑔ℎ𝑡 de LeAnn Rimes, 𝑆𝑎𝑩 𝑊ℎ𝑎𝑡 𝑌𝑜𝑱 𝑊𝑎𝑛𝑡 de Texas, ou đ»đ‘œđ‘€ 𝑀𝑒𝑛 𝐮𝑟𝑒 d’Aztec Camera. À trĂšs bientĂŽt, bye-bye.

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