Crèches de Noël – Maîtres chez nous !

La crèche ne saurait être interdite dans l’espace public de notre pays.

 

Jésus, crèche, croix, font partie des gènes du peuple de France. L’on ne saurait les interdire, sans porter grave atteinte à son âme, sans meurtrir son passé, donc, son devenir. La naissance du Christ incarne un monde nouveau marqué par son message d’amour, de respect de soi et des autres, qui a conduit, aussi bien, à la promulgation des droits de l’Homme, qu’à celle des principes de liberté, d’égalité et de solidarité de notre République, auxquels les Français, de toute croyance, sont attachés. La crèche fait partie de la culture de notre pays, les croix qui jalonnent nos campagnes et ornent des sculptures, font partie intégrante de nos paysages et de notre histoire.
Honte à ceux qui se flattent et s’obligent à dissimuler la représentation de ce qui nous définit et singularise.
Et pourquoi ? Pour ne pas froisser certains Musulmans, car, incontestablement, c’est depuis leur arrivée en nombre, à partir des années 70, jouxtée à une époque de résurgence de l’islamisme massacreur et conquérant, qu’apparaît l’idée saugrenue, et d’enlever croix de sculpture, symbole du sacrifice du Christ invitant à la confraternité universelle, et d’interdire la crèche qui réanime, dans la joie, espérance et confiance en un monde meilleur.
Et cela, en vertu de la laïcité, – concept récent purement français, encore issu du sage message de respect mutuel du Christ-, qui, soi-disant, interdirait à notre peuple de manifester son attachement aux fondements de sa culture et à ses coutumes, sur son propre territoire ?! Seul un conquérant colonisateur, doté d’une idéologie totalitaire, pourrait susciter cet interdit.
Lorsque le principe de séparation de la société civile et de la société religieuse a été institué, il n’a pas entraîné suppression des croix et crèches dans l’espace public, puisque cette aberration ne survient que cent ans après, à la demande de ceux qui ne reconnaissent que leur suprématie, jusqu’à détruire, pour les plus radicaux, des vestiges de l’Humanité, – ce qui a suscité indignation dans le monde, alors que dans notre France, le pouvoir actuel accepte des descellements et consent à renier nos représentations culturelles.

La crèche est pourtant un hommage à la naissance du Christ qui, dans notre pays, est fêté par tous, chrétiens ou non, depuis des lustres, du fait qu’ « aimez-vous les uns, les autres » ne distingue nullement ; mais de quel droit des nouveaux venus nous priveraient de cette tradition, qui ne fait, naturellement et spirituellement, offense à personne, qui est même à l’origine du principe laïque d’impartialité ou de neutralité de l’Etat à l’égard des confessions religieuses, que des Musulmans prétendent revendiquer pour installer une idéologie totalitaire basée sur la primauté des lois du Coran, qui fait donc fi du principe de laïcité ?
Des bouddhistes installés en France on-ils souhaité suppression de la crèche ? Les Juifs français l‘ont-ils exigé , alors qu’ils sont en France depuis des siècles paisiblement, à l’inverse des conquérants au nom d’Allah qui n’ont pas renoncé à nous soumettre, et que d’autres, de nos jours, continuent à faire perdurer les pratiques barbaresques esclavagistes, ou à menacer des femmes ne portant pas voile ?
Le « pas d’amalgame » ne saurait dissimuler des faits. Il ne peut y réussir que si des Musulmans radicaux cessent de vouloir s’imposer dans notre pays, -ce qui est contraire à leurs écrits religieux qui sont leur seul guide-, que si les tolérants s’insèrent dans notre société, en adoptant nos lois, traditions et coutumes, en s’interdisant toute forme de communautarisme. …/…

Comment le pouvoir, des élus, peuvent-ils consentir à ce que croix et crèches disparaissent de notre espace public, pour ne pas froisser des Musulmans, radicaux ou non, alors que ces derniers y affichent, toujours davantage, leur religion, par, et le port de vêtements, et des prières de rue, et le halal, … et autres coutumes, fondamentalement inconvenantes à notre culture, – ce qu’aucun n’osait auparavant, et cela, au moment où, au nom de l’Islam, l’on exécute lâchement et cruellement nos concitoyens, femmes, enfants, hommes, sans défense ?
Que deviennent nos principes de liberté et d’égalité ?

Que devient notre légitime besoin d’indépendance et de respect naturel de notre culture, comme tout peuple ?
Comment peut-on accepter qu’ils soient ainsi défiés par ceux qui exigent qu’une femme porte voile, coutume rétrograde musulmane qui fait, non seulement, fi de nos principes, mais ose se manifester et s’imposer dans notre espace public, tout en ayant l’audace de réclamer la suppression de nos probes coutumes ?
La laïcité consisterait, ainsi, à supprimer les nôtres, pour mieux instaurer les leurs ?!
N’est-ce pas aberrant ? N’est-ce pas inadmissible ? N’est-ce pas montre d’une volonté de nous soumettre ? N’est-ce pas honteux et indigne de la part de ceux qui ne s’y opposent pas ?
Nombre de Français, toujours réconfortés par la vue de croix et de crèches dans leur pays, sont de plus en plus indignés et exaspérés, devant ces exigences malséantes provocatrices de vouloir nous en priver, d’autant que les plus lucides réalisent qu’elles s’inscrivent dans le but d’instaurer progressivement le totalitarisme islamique et de faire de la France, une République où le message fondateur de compassion du Christ serait remplacé par les « douceurs » de la charia, …
Comment certains Musulmans peuvent-ils réussir à manifester, dans notre pays, leur coutume arriérée, tout en ne respectant pas nos estimables traditions, au point de s’appliquer à nous les interdire, au nom de la laïcité, – principe dont ils se moquent, tout en prétendant la faire valoir ?
Notre peuple est en droit, d’attendre de tout immigré, et de tous les Musulmans qui immigrent dans notre pays, qu’ils nous respectent, et de s’opposer à ces islamistes qui osent exiger l’inadmissible, en se comportant comme des colonisateurs conquérants, et qui ont déjà créé des zones au sein de notre pays qui ressemblent à des forteresses, d’autant que bon nombre se réfugient dans le silence du « pas d’amalgame », pouvant faire preuve d’un rêve de domination caché, et que d’autres déclarent, ouvertement, que c’est leur but, qu’ils vont atteindre, par tous les moyens, dont l’interdit de croix et de crèches.
Certes, ils ne sont pas les seuls à souhaiter cet interdit ; ils ont, entre autres ennemis de notre légitime et naturelle identité, pour alliés, les ultra gauchistes, dénommés islamo-collabos, ces soi-disant vertueux multi culturalistes, notamment attachés à la repentance et au déni de notre culture millénaire …,
– alliance paradoxale plus qu’aberrante, qui n’a comme point commun qu’intransigeance, soumission, et idéal d’un régime totalitaire oppressif-.
Les juges actuels qui prononcent, abusivement, ces interdits, en vertu de la laïcité, émules de la soi-disant bien pensante dominante actuelle, devraient plutôt les appliquer à tous les nouveaux venus, qui affichent leur religion dans l’espace public ; (les Chrétiens de France n’impriment, pourtant pas des croix sur leurs vêtements, depuis très longtemps …, mais cela risquerait de survenir … ).
Et si des Juifs peuvent porter la kippa depuis des siècles, c’est qu’ils n’ont jamais milité pour la suppression de la crèche et ne nous ont jamais porté des coups mortels sous des prétextes religieux, et ,n’ont, d’ailleurs, possibilité de devenir politiquement majoritaire dans notre pays, à l’inverse des musulmans que l’on laisse arriver en masse, tels les colonisateurs de l’Amérique, jadis.
Nul n’ignore que cette apparente distinctive des fidèles de Mahomet qui envahit progressivement nos territoires, est ressentie, dans le contexte actuel de guerre avec les fous d’Allah, comme une provocation, comme la manifestation d’un communautarisme qui fait fi, encore, de notre principe d’une France hexagonale, une et indivisible.
Si je mettais une crèche dans mon jardin, au vu des passants, serais-je, maintenant, répréhensible et puni, parce qu’une femme portant voile porterait plainte ?
C’est une honte, doublée d’une aberration, que de se soumettre aux tenants d’une religion, à une époque où elle ne cache pas son désir d’imposer son idéologie totalitaire, conquérante, rétrograde, assurément inconvenante dans le pays de liberté et de progrès humain qu’est la France.
L’interdit, propre à l’Islam,  des représentations imagées, se manifeste partout dans le monde, et conduit, si l’on ne s’y oppose, à la destruction de monuments et de l’histoire, à l’édification de minarets, révélateurs d’une volonté de suprématie funeste, qui passe par l’enfouissement progressif de nos symboles et aspirations.
La crèche réanime l’espoir, est une invite à la paix, à la construction d’un monde respectueux des peuples et des cultures.
Interdisons son interdit, pour le bien des futures générations.

Pierre Gouverneur

Source : Volontaires pour la France

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