Winter on fire Ukraine’s fight for freedom so

L’hiver en feu Le combat de l’Ukraine pour la liberté sous titres francais 2015

Source : Bitchute

Afin de mieux comprendre ces évènements et ces drames il est nécessaire de lire aussi ce document, traduit avec Deepl :

Le massacre de près de 50 manifestants de Maidan le 20 février 2014 a été un tournant dans la politique ukrainienne et un point de bascule dans le conflit entre l’Occident et la Russie au sujet de l’Ukraine.

Ce massacre de masse des manifestants et la fusillade de masse de la police qui l’a précédé ont conduit au renversement du gouvernement pro-russe de Viktor Ianoukovitch et ont donné le départ à une guerre civile dans le Donbas, dans l’est de l’Ukraine, à une intervention militaire russe en Crimée et dans le Donbas, et à un conflit international entre l’Occident et la Russie au sujet de l’Ukraine.

Une conclusion promue par les gouvernements post-Yanoukovitch et les médias en Ukraine, selon laquelle le massacre a été perpétré par des tireurs d’élite du gouvernement et des unités de police spéciales sur ordre de Yanoukovitch, a été presque universellement acceptée par les gouvernements occidentaux, les médias et de nombreux universitaires.

L’enquête du gouvernement ukrainien a désigné les membres de la compagnie spéciale de Berkut comme responsables du meurtre de la majorité absolue des manifestants, mais n’a pas publié de preuves à l’appui, à l’exception des vidéos du massacre.

La question est de savoir quel camp a organisé le « massacre des snipers ». Cet article est la première étude académique de ce cas crucial de massacre. Il s’appuie sur une théorie du choix rationnel et une théorie wébérienne de la rationalité instrumentale pour examiner les actions des principaux acteurs du gouvernement Ianoukovitch, en particulier de diverses forces de police et de sécurité, et de l’opposition au Maïdan, en particulier de ses éléments d’extrême droite et oligarchiques, pendant le massacre.

L’article analyse un grand nombre de preuves provenant de différentes sources publiques concernant ce massacre et les meurtres de manifestants spécifiques. L’analyse qualitative du contenu comprend les données suivantes : environ 1 500 vidéos et enregistrements d’émissions en direct sur Internet et à la télévision provenant de médias de masse et de médias sociaux de différents pays (environ 150 gigaoctets), des rapports d’actualité et des messages sur les médias sociaux de plus de 100 journalistes couvrant le massacre depuis Kiev, environ 5 000 photos et près de 30 gigaoctets d’interceptions radio accessibles au public de tireurs d’élite et de commandants de l’unité spéciale Alfa du Service de sécurité de l’Ukraine et des troupes intérieures, ainsi que des enregistrements du procès du massacre de Maidan.

Cette étude s’appuie également sur des recherches de terrain sur le site du massacre, sur les rapports de témoins oculaires, tant des manifestants du Maïdan que des commandants des unités spéciales du gouvernement, sur les déclarations d’anciens et d’actuels responsables du gouvernement, sur des estimations des trajectoires balistiques approximatives, des balles et des armes utilisées, ainsi que des types de blessures, tant chez les manifestants que chez les policiers.

Cette étude établit une chronologie précise des différents événements du massacre, la localisation des tireurs et des tireurs d’élite du gouvernement, ainsi que la chronologie et les lieux précis de la mort de près de 50 manifestants. Elle analyse également brièvement d’autres cas majeurs de violence pendant et après l' »Euromaïdan ». Cette étude comprend deux annexes vidéo. Cette enquête universitaire conclut que le massacre était une opération sous faux drapeau, planifiée et exécutée rationnellement dans le but de renverser le gouvernement et de s’emparer du pouvoir.

Elle a trouvé diverses preuves de l’implication d’une alliance d’organisations d’extrême droite, notamment le Secteur droit et Svoboda, et de partis oligarchiques, tels que Fatherland. Des tireurs dissimulés et des guetteurs ont été repérés dans au moins 20 bâtiments ou zones contrôlés par Maidan. Les diverses preuves que les manifestants ont été tués à partir de ces endroits comprennent quelque 70 témoignages, principalement de manifestants de Maidan, plusieurs vidéos de « tireurs d’élite » visant des manifestants depuis ces bâtiments, des comparaisons des positions des manifestants spécifiques au moment de leur meurtre et de leurs blessures d’entrée, et des signes d’impact des balles. L’étude a permis de découvrir plusieurs vidéos et photos de « tireurs d’élite » armés de Maidan et de guetteurs dans plusieurs de ces bâtiments. L’article présente les implications de ces résultats pour comprendre la nature du changement de gouvernement en Ukraine, la guerre civile dans le Donbas, l’intervention militaire russe en Crimée et dans le Donbas, et un conflit international entre l’Occident et la Russie au sujet de l’Ukraine.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Source : Researchgate.net

Lire également un article de MROnline en date du 11 décembre 2021 : The Maidan massacre in Ukraine: revelations from trials and investigations

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