Vous avez aimé le « Corona-Circus » ? Vous allez adorer le « Climato-Dictatus » !

Introduction.

Les évènements s’enchainent de plus en plus rapidement. Nos repères s’estompent, sous une forte pression médiatique. Nous sentons confusément que quelque chose de sombre va arriver. Pourtant, nous sommes entrés dans les temps de l’apocalypse, c’est-à-dire, les temps du dévoilement, de la vérité.

Deux anciens amis, que les fidèles lecteurs de ce blog connaissent bien, se joignent à moi pour décrypter différents faits d’actualité de manière succincte. Il s’agit du démystificateur de sophismes économiques, Frédéric BASTIAT et de mon poète préféré, Alex ANDRIN.

Mes billets s’articulent en trois parties. Les deux premières, à la manière de « l’ami Frédéric », avec son célèbre : « Ce que l’on voit et ce que l’on ne voit pas ». La troisième partie est réservée à la vision de « l’ami Alex ».

CE QUE L’ON VOIT

Les mystères de l’informatique, tout comme les voies du seigneur… sont impénétrables. Ils ont cette faculté, lors d’une « navigation » sur Internet, de nous faire arriver sur un site « improbable ». C’est comme cela que j’ai récemment « échoué » sur le site des cartes bancaires MASTERCARD.

Ma curiosité naturelle s’est mise immédiatement en mode « investigations », dès la lecture de la page d‘accueil :

  • « Mastercard et Doconomy lancent l’avenir des paiements durables ».
  • « Une nouvelle collaboration se concentre sur la lutte contre le changement climatique et permet aux utilisateurs de suivre, de comprendre et d’assumer la responsabilité de leur empreinte carbone ».

Quèsaco, un « paiement durable » ? Cela veut-il dire que je vais devoir payer ma vie durant ?

Quèsaco, « assumer la responsabilité de mon empreinte carbone » ? Dois-je « durablement » me retenir de péter pour ne pas rajouter de CO 2 aux pets des vaches ?

CE QUE L’ON NE VOIT PAS

Grâce à un partenariat avec la société Doconomy, Mastercard annonce la création d’ «un service bancaire mobile gratuit et facile à utiliser qui permet aux utilisateurs de suivre, comprendre et réduire leur empreinte carbone grâce à la compensation carbone ». Quand c’est gratuit, je me méfie. Continuons nos investigations.

Doconomy est une société suédoise fondée en 2018. Elle se donne une mission :

  • «Pérenniser la vie sur la planète Terre en permettant aux individus et aux entreprises d’assumer la responsabilité de leur empreinte environnementale ».

Ce n’est pas tout :

  • Elle est « partenaire de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) ».
  • Elle a participé au « Money20/20 » de Las Vegas en 2022 pour « façonner les discussions sur la manière dont le secteur financier va verdir l’économie et les avantages pour les entreprises financières d’utiliser la durabilité comme nouveau vecteur d’engagement client ».
  • Elle a participé au dernier forum économique mondial (WEF) de Davos.

Premières impressions : tout cela « sent » le projet mondialiste à plein nez, mais… continuons à fouiller.  Certaines choses se précisent alors. Doconomy délivre deux modèles de carte de crédit. L’utilisateur a le choix entre la « Do White » et la « Do Black ».

Les deux modèles fonctionnent avec une application, qui évalue les émissions de CO2 générées par la transaction. Elle est basée sur le référentiel « Åland Index »… un indice « maison », développé avec une banque finlandaise !!!

Si la « Do White » se contente d’envoyer une notification d’alerte sur le smartphone de l’utilisateur, la « Do Black » impose un seuil mensuel de carbone émis à ne pas dépasser. S’il est franchi, l’application bloque le moyen de paiement .

Vous avez dit « crédit social » ?

J’allais « oublier » la caractéristique la plus importante de la « Do Card ». Elle « est fabriquée en maïs biodégradable, ne comporte pas de bande magnétique, et est imprimée avec Air-Ink, une encre issue de la pollution atmosphérique » .

Un esprit « complotiste » pourrait penser que ce moyen de paiement va se généraliser, afin de contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique.

Heureusement pour nous, ce projet « de dingue » ne verra certainement jamais le jour… quoi que !

CE QU’EN PENSE ALEX ANDRIN

Chers amis, méfions-nous, des promotions bancaires.
C’est pour leurs seuls profits qu’elles leur sont nécessaires.
Leurs gadgets sont promus, « pour un plus grand confort ».
C’est pour garder nos sous, que dans leurs coffres-forts.
Jamais ne succombez, à leurs belles promesses,
Gardez nos sous chez sous, c’est ça la vraie richesse.

Gardez confiance en vous. Je vous aime et vous salue.

Source : Sérénité Patrimoniale

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