Vers l’identification rapide des patients à risque de maladie grave

Des chercheurs québécois découvrent enfin l’eau tiède et les marqueurs HLA objet du prix Nobel de feu le Pr Jean Dausset que j’évoque ici de puis mars 2020.
« – Pour poursuivre dans le domaine vaccinal puisqu’on cherche à imposer un vaccin il faut rappeler les propos du Pr Jean Dausset, prix Nobel qui disait que la vaccination de masse est une aberration scientifique en raison même des découvertes qui lui ont valu cette reconnaissance dans le domaine immunitaire.

S’il y a quatre groupes sanguins il y a beaucoup de groupes du système immunitaire si bien qu’en fonction du groupe d’un individu le vaccin peut avoir des effets bénéfiques, aucun effet, des effets indésirables ou des conséquences très graves ; cela doit inciter à pratiquer un typage HLA (Human Leucocytes Antigènes) qui est une analyse qui coûte très cher (environ 600 €) et que la sécurité sociale doit hésiter à rembourser.


Pour conclure et lutter contre une vaccination obligatoire qui est donc dangereuse il faut aussi rappeler que jusqu’à l’heure d’aujourd’hui il est toujours prévu dans la loi la possibilité de demander toute une série d’analyses et d’examens avant toute vaccination et de demander sa prise en charge par la sécurité sociale qui ne manquera pas de refuser. Ces dispositions légales méritent d’être connues par le plus grand nombre et en particulier par ceux qui refusent la vaccination et surtout celle des vaccins modernes qui sont infestés de centaines de produits plus toxiques les uns que les autres qui vous feraient condamner pour pollution environnementale si vous les jetiez au fossé.


Pour ceux qui douteraient de la toxicité des multiples adjuvants aux vaccins il doivent se rapporter à la liste qui était prête à être rendue publique par la commission Ad Hoc de l’Assemblée Nationale entre la présidence Sarkozy et la présidence Hollande. Dès l’élection et avec le changement de majorité cette publication réclamée par beaucoup d’associations s’intéressant à la santé est passée à la trappe. Cette liste doit encore être à disposition auprès des dites associations qui poursuivent cet objectif. »

Photo: Graham Hughes Archives La Presse canadienne La faiblesse de la réponse immunitaire des personnes porteuses du HLA-B7 pourrait s’expliquer par le type de mutations que le SRAS-CoV-2 acquiert naturellement au cours de son évolution, selon les chercheurs.

Une découverte réalisée par des chercheurs montréalais pourrait un jour permettre de repérer les patients les plus susceptibles de développer une forme grave de la COVID-19.

Cela pourrait permettre de prioriser l’octroi d’une éventuelle troisième dose de vaccin aux patients qui en ont le plus besoin ou d’identifier les patients qui se présentent à l’hôpital et qui auront besoin d’une vigilance particulière.

Une équipe de recherche dirigée par le professeur Étienne Caron au CHU Sainte-Justine et la professeure Julie Hussin à l’Institut de cardiologie de Montréal a ainsi constaté que les individus porteurs du marqueur génétique HLA-B7, ce qui représente 35 % de la population mondiale, ont plus de risque d’avoir une réponse immunitaire moins efficace face à la COVID-19.

Si d’autres travaux seront nécessaires pour confirmer cette découverte, « c’est clairement une bonne première étape », a dit le professeur Caron.

« Dans le contexte où on parle beaucoup de vaccins, de deuxième dose, de troisième dose, peut-être que ça ne vaut pas la peine que ce soit tout le monde qui ait une troisième dose, mais ceux avec ce marqueur génétique là, par exemple, qu’on favoriserait », a-t-il ajouté.

La faiblesse de la réponse immunitaire des personnes porteuses du HLA-B7 pourrait s’expliquer par le type de mutations que le SRAS-CoV-2 acquiert naturellement au cours de son évolution, ont expliqué les chercheurs.

En d’autres mots, l’évolution naturelle du virus lui permettrait d’échapper plus facilement à la détection du système immunitaire des personnes porteuses du HLA-B7, menant à une forme plus grave de la maladie.

L’identification de cette caractéristique génétique et son utilisation éventuelle s’inscrivent dans la tendance de la médecine de précision, ou de la médecine personnalisée, qui fascine de plus en plus les experts depuis quelques années.

« C’est un marqueur, mais il y en a probablement plusieurs autres, a dit M. Caron. Plus on a de ces marqueurs-là, plus ça nous permet de donner une médecine de précision aux gens, donc de mieux les traiter au niveau personnalisé. C’est ce qui fait au final qu’on va être plus efficaces à traiter la population non pas avec une approche globale où tout le monde nécessairement reçoit le même traitement, mais qui est plus personnelle. »

Source : Le Devoir

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