S’armer contre le covid & le covidisme : combien ça coûte ?

Avec les médecins résistants contre covid & covidisme

S’armer contre le covid & le covidisme : combien ça coûte ?

Un traitement complet pour 100 €

dimanche 3 janvier 2021, par Lionel Labosse

Pendant l’épidémie de 2020, mon angoisse était de possiblement devoir me défendre contre le virus en cas de contamination sans avoir droit –, alors que je cotise à la sécu depuis 1987 en gros si je compte les jobs de vacances – à un traitement simple & bon marché préconisé par une star française de la médecine. Pas trop pour moi précisément, car relativement jeune & en bonne santé pour constituer une proie pour ce virus gérontophile, mais pour mes proches moins jeunes ou plus fragiles. Après diverses tentatives, j’ai enfin réussi à me procurer un traitement complet, à la fois prophylactique & précoce, pour la pas si modique somme de 100 €. Si je publie cet article c’est parce que je n’ai rien vu d’équivalent, et que même le Pr Perronne, sauf son respect, quand il évoque l’ivermectine, parle d’un coût très faible, un peu à la façon de Jean-François Copé estimant le prix d’un pain au chocolat. Et puis les journalistes de la presse gouvernementale continuent le tabassage en règle de Raoult et de l’IHU de Marseille sur la question de la facturation de leurs soins, sans rappeler que c’est Véran qui a obligé les patients à se faire soigner à l’hôpital et leur a interdit de bénéficier du protocole Raoult auprès de leur médecin de famille, ce que celui-ci préconise depuis des lustres. La facture du délire covidiste, qui monte à plus de 400 milliards d’euros, et que nos enfants auront à rembourser, semble moins préoccuper ces plumitifs de la collaboration, car déconsidérer Raoult & le traitement précoce pour imposer un vaccin ruineux & peu efficace semble leur donner du mal : il y a encore plus de 300 000 personnes qui regardent ses vidéos du mardi (pourtant rébarbatives) sur la chaîne Youtube de l’IHU. Bref, parlons gros, ou plutôt moyens sous.

Pharmacie pour prévenir et traiter le Covid et le covidisme !

Sur cette photographie, voici le traitement délivré par le médecin rassuriste que j’ai rencontré. J’ai effacé, bien entendu, les données personnelles. Il y a deux ordonnances séparées.

Ordonnance Covid 1 : azithromycine, zinc, vitamine D.

Cette première ordonnance est remboursable. Il y a l’azithromycine 250 mg, 2cp à J1, puis 1cp par jour pendant 4 jours, ce qui fait une boite de 6 comprimés pour la modique somme de 7,39 € (hors taxes je crois) dont une partie remboursée. Là, c’est en cas d’infection avérée. Ce que je pense faire en cas de symptômes, c’est un autotest que je ferais moi-même si possible (car le concept d’autotest a été balayé par les ordonnances Véran, qui imposent de les faire faire par un professionnel puis vérifier par un test PCR) de façon à ne pas être fiché par la dictature techno-sanitaire. Une fois établi qu’il s’agit bien du covid, je contacterais le médecin qui m’a établi cette prescription (ou le contacterais pour la personne à qui je donnerais ce traitement) pour préciser les choses, mais même si je ne peux pas le joindre, je prendrais l’azithromycine ainsi que l’ivermectine (ci-dessous) comme prescrit, mais cette dernière seulement en cas de « symptômes respiratoires d’emblée ou après 4 à 5 jours sans amélioration », comme précisé dans le tableau de la Coordination Santé Libre (cf. ci-dessous). Pour le reste de l’ordonnance, c’est du préventif, le zinc (Rubozinc 15 mg 1 gélule matin et soir) que le pharmacien a remplacé par Effizinc, 6,71 €) et la vitamine D, 1 ampoule d’Uvedose 50.000 UI, 1 ampoule deux fois par mois, 1,24 € pièce. Zinc et vitamine D, j’en prenais déjà depuis des mois, je vais juste continuer. Il faut ajouter la vitamine C, que j’achète à part en parapharmacie ou magasin bio, et qui coûte entre 10 et 20 €. Ce sont des grosses boites rondes de 90 comprimés d’Acérola, à raison de un par jour, mais attention, il y a un détail écrit en tout petit qu’il faut absolument vérifier : la teneur en vitamine C doit être de 500 mg par comprimé (ou 125 mg par ¼ de comprimé). C’est difficile à trouver car 9 boîtes sur 10 sont à 170 mg par comprimé, ce qui obligerait à en croquer 3 à la fois, pas bon pour le diabète ! La marque que j’ai là en photo c’est Herbesan, mais faites attention car la même marque peut avoir les deux dosages dans des boites légèrement différentes !

Ordonnance Covid 2 : ivermectine.

La seconde ordonnance est notée « Hors AMM ». Elle est à part, et il faut demander au pharmacien de ne pas la télétransmettre, ce que le mien a accepté de bonne grâce, afin que le médecin ne soit pas persécuté par l’Ordre. Alors comment j’ai choisi mon pharmacien ? C’est celui du quartier qui a la vitrine la plus pourrie, avec des jouets pour enfants et des conneries, et le seul qui n’a pas installé de barnum pour les tests. Compris ? C’est l’ivermectine 3 mg qui varie selon le poids. Pour moi (95 kg, c’est 6 cp (18 mg) à J1, à J3, à J8 puis à J30 et J60 (il y a une erreur sur l’ordonnance qui indique J5 au lieu de J8 ; le médecin auquel j’ai fait relire cet article me l’a signalé, de toute façon il faut revoir ça au cas par cas en cas de besoin). La posologie recommandée est 0,2 mg /kg, donc à ajuster en nombre de comprimés entiers. En tout 30 comprimés, soit 8 boîtes de 4 comprimés à 8,53 pièce. Les prix sont HT je suppose, et pour tout cela j’ai payé exactement 88,28 €.
J’ai aussi fait l’acquisition d’un oxymètre, petit appareil qui se commande sur n’importe quel site internet et coûte moins de 10 €. Celui que j’ai commandé sur un site français connu m’est parvenu en 15 jours de Chine, ce qui m’a passablement agacé parce que le site se gardait bien d’annoncer ce détail. Ils n’ont pas gagné un client.
N’étant pas médecin – et même si je l’étais – je ne donne pas de prescription, je me contente de dire ce qui m’a été prescrit. Pour plus de détails, voir le tableau proposé par la Coordination Santé Libre des types de traitements adaptés au type de public et au type de pathologie. Pour les soignants en contact avec le public ou les cas contacts vivant sous le même toit, l’ivermectine est recommandée en prophylaxie. Il ne s’agit donc surtout pas de tout avaler ce qui figure sur la photo, mais en accord avec son médecin, de prendre le traitement adapté. Mais le fait de les avoir d’avance chez soi, je pense, contribue au recul et au calme nécessaire pour supporter le tabassage tous azimuts de la tyrannie techno-sanitaire. En réalité, si 101 000 personnes sont décédées de cela, pour une population de 67 millions, cela fait une personne sur 660. Peu d’entre nous connaissent autant de gens. Personnellement je ne connais aucun mort, et seul un voisin, cancéreux et un ami diabétique et à la limite de l’obésité (c’est-à-dire qu’il fait 500 g de plus que moi !) ont été hospitalisés, et s’en sont sortis. Il y a donc des chances que j’aie investi dans ces médocs pour rien, mais si cela peut juste me rassurer et rassurer mes proches… La question du coût est relativement importante, car si dans la plupart des cas une boite d’azithromycine à 8 € suffit (et elle est remboursable), pour les cas un peu plus symptomatiques, on est plus proches de 100 €, ce qui écarte les gens qui attendent les fins de mois, de plus en plus nombreux avec les mesures stalinitaires en vigueur (par exemple chez les immigrés qui travaillaient au noir dans les restaurants). C’est là où le refus pathologique d’une RTU (Recommandation temporaire d’utilisation) [1] pour ces traitements constitue un acte scandaleux, car il institue une médecine de classe, mais une médecine de classe ruineuse : ceux qui ont les moyens n’hésiteront pas, mais ceux qui ne les ont pas attendront d’être en perdition pour se faire admettre à l’hôpital avec des coûts pharamineux qu’on aurait pu éviter. Ah non pardon, il n’y a qu’à Marseille que l’hôpital facture cher ; à Paris, c’est cadeau !

Comment trouver le bon médecin ?

Alors essayez déjà avec votre médecin bien entendu. La Coordination Santé Libre s’est prévalue de représenter un total de 30 000 médecins (incluant des retraités), ce qui sur un total de 101 000 médecins généralistes en exercice peut paraître peu ou beaucoup selon le bon vieux théorème du verre à moitié vide ou plein. La presse gouvernementale s’est empressée de contester ce chiffre, bien entendu. Or si l’on regarde la liste de « médecins engagés » publiée sur le site de Laissons les médecins prescrire et mise à jour régulièrement, il est impossible de les compter, et il n’y a pas que les généralistes, mais les spécialistes et les retraités font partie du contingent (je suppose qu’il s’agit de retraités encore en capacité de prescrire). Ils sont classés par départements, voire par code postal, et par rapport à ma précédente consultation de cette liste, ils se sont multipliés comme les petits pains de M. Copé. Il y en a 5 dans mon arrondissement. Une autre piste pour trouver un médecin rassuriste est d’intégrer une des associations anti-covidistes comme Réinfocovid par exemple qui est la plus active. On peut consulter leur carte interactive (impossible avec le matériel obsolète dont je dispose), mais aussi la liste qui figure en bas de page, et en principe vous devriez pouvoir trouver soit une association soit un groupe Réinfocovid (qui se développe de façon virale actuellement). En principe au sein de ces collectifs, vous rencontrerez rapidement soit un médecin soit un ami qui vous fournira une adresse (c’est mon cas). Une autre façon de contacter ces militants ou sympathisants, est de vous rendre chaque dimanche à 11 h à l’opération Sport sur ordonnance la plus proche de chez vous en consultant cette liste mise à jour quotidiennement (en métropole et dans les départements d’outre mer). Et si vous êtes un groupe de musiciens, pourquoi ne pas créer une de ces réunions ? Ces séances de sport & chanson déjà constituent un soin en soi, car l’esprit & le corps ne font qu’un bien entendu, mais en même temps, vous rencontrerez des militants et sans doute après un médecin. Je ne sais pas comment on peut faire le point entre médecins rassuristes et terroristes. Certes il y a d’un côté ceux qui hantent les plateaux télés et sont légiondhonneurisés, luttent hardiment contre le « lobby » de la médecine alternative en signant pétition sur pétition comme cette « tribune », ceux qui ne sont pas sur les plateaux télés mais qui refusent de soigner les nouveaux patients, voire leurs anciens clients même s’ils ont un cancer, pour se faire des couilles en or en piquouzant à la chaîne 20 personnes par heure, ce qui permet de bien recueillir leur « consentement libre et éclairé » et de vérifier leur dossier médical. Cela a pu atteindre les 9000 € / jour, de quoi agrémenter son spa d’une piscine chauffée dans sa maison de campagne. Même Le Canard, très en retrait sur le coronazisme, trouve qu’on exagère : « Des toubibs bien soignés pour piquer ». Cela dit, suite à l’article du Canard, la Sécu a modifié son tarif pour rémunérer une vacation à l’heure ou à la demi-journée, quel que soit le nombre de piquouzés.

« Des toubibs bien soignés pour piquer »

Mais ceux-ci ne sont que la honte de la profession, et leur pouvoir de nuire est démultiplié par les différentes autorités de santé déconnectées du terrain qui font pression sur les médecins humanistes & rassuristes, et par la presse gouvernementale et ses séides fanatisés. Il faut dire que la plaisanterie est loin d’être terminée. Les coronazis ont décidé de commander 2 milliards de doses en ruinant la France, pour injecter y compris les enfants. 2 milliards de doses pour 67 millions de moutons, cela fait 29 doses par mouton. J’ai bien lu l’article du Parisien, ils ne parlent que de la France, mais dans Marianne, ils attribuent ces 2 milliards de doses à l’Union Européenne, mais parlent bien d’un vaccin qui à terme devrait être renouvelé chaque année. Donc, si ce n’est pas une fake news du Parisien, ILS ont planifié de vacciner à la chaîne 29 fois chaque gendarme, chaque flic, chaque médecin, chaque prof, chaque journaliste, chaque enfant de gendarme, de flic, de prof et de médecin, de journaliste… 100 % des gens qui votent à gauche, à droite, à l’extrême gauche ou droite, et même – et j’en suis profondément désolé pour eux – 100 % de ceux qui sont dans le camp du bien, je veux dire les écolos, et 100 % de leurs enfants. 100 % des féministes et 100 % des fans de Bigard. Et tout va bien ? Je penche quand même pour une énorme erreur du Parisien, mais il est étonnant que cet article du 16 avril n’ait pas été rectifié le 23… Alors peut-être que les journalistes qui prétendent que tout va bien ont accès au dark web pour se faire de faux certificats ? Si l’on parle du coût, Marianne évoque une fourchette de 20 € à 175 $ la dose. Si vous multipliez par 2 milliards, cela donne au moins 40 milliards, sans parler de la logistique et du salaire des piqouzeurs. Aldous Huxley avait prévu et nommé ça : le « soma ». Je reviens du métro où je suis tombé par hasard sur des gens qui chantaient « Danser encore ». J’ai vu les innombrables télécrans prévus par George Orwell qui viennent d’être installés à nos frais pour matraquer les mots d’ordre coronazis. Tout va bien !

Tu te fais vacciner ? T’es dingue ! Y z’ont pas fini les essais sur l’homme…

Si vous êtes plutôt genre verre à moitié plein, vous consulterez le blog du Dr Gérard Maudrux, viré comme une merde du Quotidien des médecins, sous prétexte de supprimer « les blogs ». Or il remarque dans son article du 21 avril « Quand le Quotidien du Médecin dérape grave » que seul son blog a été complètement supprimé au bout du mois de préavis, alors que ses articles battaient des records de commentaires. Le quotidien en question publie un article sidérant intitulé « Ivermectine, hydroxychloroquine, azithromycine… : que risque un médecin en prescrivant ces traitements dans le Covid ? » Or d’une part, cet article n’a que 300 réactions, alors que ceux de Maudrux sur son blog en ont 8 ou 900, et si vous lisez ces commentaires, vous constatez qu’un seul troll nommé « Cyrille V » en compte à lui seul plusieurs dizaines, ce qui sur un site réservé aux médecins semble une preuve qu’il ne s’agit pas d’un carabin occupé 10 heures par jour à vacciner à la chaîne mais d’un mercenaire des labos. Un autre contributeur (« Jean-François C. ») résume bien la situation : « À lire ces commentaires, et surtout le nombre de pouces verts, je constate qu’il y a une très large prise de conscience, chez les médecins, de l’insanité de nos décideurs, et de la très probable efficacité des traitements médicamenteux. Cela me rassure pour l’avenir. En médecine, les vérités scientifiques sont têtues. Les ministres passent, les vaccins se périment, mais les molécules restent ». Donc si vous ôtez les trolls et les mercenaires des labos comme le petit délinquant Raffi de Nantes condamné pour avoir menacé de mort le Pr Raoult, finalement les médecins honnêtes & désireux de soigner en leur âme et conscience selon le Serment d’Hippocrate ne seraient-ils pas plus nombreux que ne le pensent les plumitifs collabos ? Le Dr Maudrux qualifie désormais son ancien hébergeur de Pravda. J’attire votre attention sur la mention « acte gratuit » qui figure sur ces deux ordonnances. Décidément, il y a deux races de médecins, comme de journalistes.

Lionel Labosse

Source : © altersexualite.com, 2021

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