Réponses à tous les « pourquoi » d’un naturopathe.

Un camarade, officier supérieur de Gendarmerie, nous adresse un écrit en réponse à tous les « Pourquoi » d’un naturopathe.

Nous partageons avec vous cet écrit en espérant que celui-ci vous ouvre à la réflexion et vous permettra de vous faire votre propre jugement sur la situation actuelle et réelle de santé publique.

Une citation à méditer pour tous…

J’ai décidé d’être heureux par ce que c’est bon pour la santé  – Voltaire

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A tous les « pourquoi » posés, il y a une idée maîtresse à répondre : C’est que humanité  et cupidité sont incompatibles.

Ceci posé il faut remonter un peu le temps et  rappeler quelques faits et constatations historiques qui retracent la route non pas du petit poucet mais de l’ogre qui veut manger le monde, l’industrie pharmaco-chimique et tous les satellites mis en place pour y parvenir, dans un seul but, le profit.

Pour commencer par la France et sous le régime de Vichy deux éléments de réflexion, la suppression du diplôme d’herboriste quasi concomitante de la création de l’ordre des médecins organisation professionnelle destinée à en contrôler les membres pas toujours dans l’intérêt général.

Le recyclage de l’industrie de mort allemande et de quelques uns de ses cadres par l’industrie pétrolière américaine pour « moderniser » et unifier les techniques de soins par la chimie et ensuite utiliser les techniques d’influence pour donner des débouchés pérennes à leurs produits.
    

Comme très souvent cela prend des formes de philanthropie ou de parrainage  et on a commencé par financer la revue des étudiants en médecine américains et insidieusement au fils des décennies on les a formatés et transformés en agents commerciaux de l’industrie pharmaceutique ; d’ailleurs des études montrent que les budgets marketing sont souvent plus importants que ceux de la recherche dans ces entreprises. Par des aides diverses et personnalisées on s’est même adjoint les services d’étudiants qui deviendront les futurs scientifiques lobbyistes de cette industrie.

Pour  renforcer le contrôle de la pratique médicale on crée aussi des organismes de coordination dans tous les secteurs et spécialités médicales souvent subventionnés par l’état et les sociétés pharmaceutiques.
Pour n’en citer qu’un il faut rappeler la création de l’institut national du cancer à l’époque de Jacques Chirac, confié au Pr Khayat avec la mise en place d’un plan cancer clairement destiné à imposer une façon de soigner aux médecins. Le Dr Nicole Delépine pourrait sûrement le confirmer de l’intérieur du système.
Ceux qui s’intéresse à la santé depuis longtemps ne sont guère surpris du double salto « avant/arrière du Pr Khayat qui après avoir utilisé la chimie larga manu pendant toute sa carrière a paru brusquement convaincu par des moyens plus naturels dans un livre, pour, quelques temps après, tourner à nouveau sa blouse et lancer des remarques contredites par de nombreuses études scientifiques.

Certains collaborateurs de l’industrie pharmaceutique changent curieusement de point de vue à la retraite ou lorsqu’il sont touchés de près par une de ces affectations combattues par le tout chimique pour leurs patients.

Cela fait penser à la crise actuelle et à l’hypocrisie de certains professionnels qui viennent sur les plateaux de télévision dire pis que pendre de l’hydroxychloroquine mais s’en procurent sous le manteau pour eux mêmes ou leurs proches.

Le « Fais ce que je dis mais ne fais pas ce que je fais » n’est pas réservé aux curés en chaire !

En poursuivant la piste de l’ogre on arrive à la négation de l’homéopathie (par son déremboursement), à la tentative d’interdire la circulation des savoirs traditionnels de la médecine millénaire des plantes et avec le bras de l’OMS interdire toutes les plantes qui soignent à bon marché alors même que de ces mêmes plantes sont extraites les molécules que l’industrie va pouvoir breveter mais qui présentent souvent des effets indésirables que la plante entière ne provoque pas.

Toutes les mauvaises excuses sont avancées dans le même but empêcher les soins naturels bon marché pour les seuls profits financiers de ceux qui prétendent nous soigner mais soignent surtout leur portefeuille.

Comment quand on se prétend citoyens de pays  dits « libres » peut-on accepter qu’une association privée, L’OMS, interdise la plantation ou l’utilisation de plantes qui ont fait leurs preuves durant des millénaires et dans toutes les civilisations au seul profit de poisons issus de l’industrie de guerre.

Si chacun se responsabilisait et prenait en charge sa santé au lieu de faire confiance à des tiers pour soigner ses propres maladies, bien souvent provoquées dans ce but, ce serait la fin de cette dictature de BigPharma et de tous ses collaborateurs, professionnels comme politiques.
 

Et « last but non least » ne surtout rien attendre*des media main stream pour ce faire.

* En provençal on utilise le mot « espera » qui a la double signification.

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