Rennes. Au domicile des voleurs, les gendarmes retrouvent 187 objets

6d163c8e624aff9acf8e63de97da95c5-au-domicile-des-voleurs-187-objets-retrouves-par-les-gendarmes187 scellées ont été réalisées aux domiciles des cambrioleurs par la compagnie de Gendarmerie de Rennes. | GENDARMERIE NATIONALE

Deux hommes âgés de 28 et 20 ans ont été interpellés ce jeudi matin à Rennes et placés en garde à vue. Ils sont soupçonnés d’avoir commis une vingtaine de vols en Ille-et-Vilaine. Le procès se déroulera le 28 novembre.

Entre le 14 juillet et le 11 octobre, une vingtaine de vols ont été perpétrés en Loire-Atlantique, en Mayenne et surtout en Ille-et-Vilaine, dans les communes de Bruz, Noyal-Châtillon, Nouvoitou, Pont-Péan, Poligné ou encore Saint-Briac-sur-Mer. Les deux cambrioleurs ont commis leurs actes par ruse et par effraction, en journée, aux domiciles des particuliers.

Des bijoux et de l’argent liquide retrouvés

Lors de leur arrestation par les gendarmes de la compagnie de Rennes, l’un des voleurs présumés a été retrouvé caché sous son lit. Les perquisitions effectuées à leurs domiciles ont été fructueuses et un nombre impressionnant d’objets provenant des vols ont été trouvés. Au total, 187 scellés ont été effectuées par les enquêteurs : des bijoux, de l’argent liquide ou encore du matériel multimédia.

L’ADN des voleurs retrouvé sur place

Des empreintes, laissées sur place, ont également permis de les confondre. L’enquête devra aussi déterminer si d’autres vols ont été commis et, lors de leur garde à vue, les deux voleurs ont déclaré avoir commis les faits sous l’emprise de drogues. Selon le parquet, les vols ont été commis notamment pour financer leur consommation de cocaïne.

Jusqu’à 10 ans de prison

Présentés ce vendredi en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Rennes, les deux prévenus ont demandé un délai pour préparer leur défense. L’un d’entre eux est un récidiviste et, face aux risques, les deux hommes ont été placés en détention provisoire en attendant le procès, qui se déroulera le 28 novembre. Ils risquent jusqu’à dix ans de prison.

Source : Ouest-France

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