Procès en appel Natacha Rey & Amandine Roy vs Trogneux, 14 mai 2025
« La question ne sera pas posée » !…
L’Affaire Dreyfus du XXIe siècle
dimanche 18 mai 2025, par Lionel Labosse
J’ai assisté le 14 mai 2025 à la première journée du procès en appel de Natacha Rey & Amandine Roy contre le clan Trogneux (« Brigitte » & Jean-Michel Trogneux, qui sont en réalité une seule & même personne selon Xavier Poussard, dont les accusations bien plus graves que celles des prévenues, n’ont fait l’objet d’aucune plainte de la part du Janus à double face de l’Élysée), au Palais de justice de Paris (sur l’île de la Cité). Comme il y avait très peu de monde, aucun journaliste de grand chemin et autant de journalistes dissidents que la main droite de Django Reinhardt compte de doigts (Mike Borowski, Stéphanie Reynaud, Xavier Azalbert, Infocratie, et Riposte Laïque, incognito), je dois vous infliger ma version des faits, à toutes fins utiles, pour compléter mon article « Le vrai-faux procès en « diffamation » contre Natacha Rey & Amandine Roy tourne au fiasco ». Je n’ai pas pu assister à la 2e journée, ou plutôt demi-journée, le 15 mai après-midi, car figurez-vous que je travaille à plein temps et sacrifie mon temps libre pour vous informer. On peut espérer que ces messieurs-dames les journalistes grassement subventionnés se pointent enfin, mais pour info, les juges ont négocié avec les avocats pour savoir s’ils terminaient mercredi ou réservaient les plaidoiries au jeudi, en leur demandant combien de temps ils envisageaient de plaider ; donc ces journalistes auraient pu tout rater s’ils avaient prévu de ne venir que la 2e journée. D’après mes recherches, aucun article n’a été publié à ce jour (dimanche 18 mai). Pourtant c’est la 3e plus grosse fake news de l’histoire selon France Infox, alors on comprend mal que ces plumitifs gavés de subventions et de déductions fiscales ne soient pas venus assister à la déconfiture des méchants complotistes devant l’apparition de Jean-Michel Trogneux en deus ex machina anadyomène au Palais de justice !

Après avoir fait la queue et passé les impressionnants dispositifs de sécurité, qui semblent avoir dissuadé Madame de se présenter, avec ou dans son frère, nous nous retrouvons à 25 personnes dans la salle, en plus des avocats et du personnel de justice & police ; rien à voir avec le procès du 18 juin au tribunal de Paris, ni avec le rendu en septembre, où de nombreuses personnes qui avaient fait le déplacement n’avaient pas pu entrer dans la petite salle et assister à cette formalité qui n’a d’ailleurs duré que quelques minutes. Je ne sais pas si les gens se sont trompés d’adresse, en tout cas l’absence totale de journalistes & de celzéceux qui ont encouragé Natacha Rey à mettre sa santé en péril en montant au créneau pour tenter de disqualifier les émissions & le livre de Xavier Poussard ; l’absence totale de tout correspondant de presse étranger (puisqu’il paraît que l’affaire fait jaser dans le monde entier) ; tout cela était éloquent, et détruit en passant la légende de France Intox selon laquelle « Célérusses ». Non, chers amis journaputes, il n’y avait aucun média russe dans la salle, pas plus que de médias macronistes !
L’après-midi, une classe en sortie scolaire a fait irruption, mais on peut supposer qu’ils sont arrivés par hasard dans ce procès-là, parce qu’il y avait de la lumière & de la place. Les laquais « fact-checkers » de la macrono-rothschildie ne se déplacent pas, ils manipulent l’opinion avec leur bande organisée de blanchiment de fausses informations. Ainsi, un article signé par une « juriste et journaliste en formation au CFJ » sur le site « Les Surligneurs » pratique la désinformation coutumière à cette presse servile : « Brigitte Macron et rumeur transphobe : notre dossier pour tout comprendre avant l’audience d’appel ». Le nom « Xavier Poussard » n’est même pas présent dans la copie de cette brave élève en journalisme, et voilà tout ce qu’elle a été capable de pondre sur Candace Owens : « La chroniqueuse états-unienne et militante trumpiste, Candace Owens, a même capitalisé sur cette fausse information dans une série de vidéos. Au-delà de cette affaire, Brigitte Macron est régulièrement visée par des théories complotistes et des fake news. » On lui promet un grand avenir de cireur de pompes, à moins que de pompeur de sire !

En revanche, trois artistes ont répondu à l’appel que Me Danglehant avait lancé le 8 mai dernier dans une émission de GPTV, dont le dessinateur de BD Sébastien Hombel, que j’ai photographié pour le fil Telegram Perruques jaunes (ci-dessus).
Ne manquez pas cette vidéo du modeste média dissident Infocratie, un des seuls sur place au procès. Info capitale donnée par Me Danglehant à la toute fin : « La carte d’identité de Jean-Michel Trogneux [dont la photocopie a été produite par la juridiction pour les avocats de la défense] a expiré je crois le 18 avril 2022, alors que la carte d’identité de Mme Brigitte Trogneux épouse Macron a été produite le 1er avril 2022, donc en gros une carte d’identité a succédé à l’autre ». Si Me Danglehant a pu voir ces documents, il serait évidemment capital de savoir à quoi ressemble la photo de Jean-Michel sur ladite carte ! Information confirmée par Me Maud Marian dans son interview incluse dans l’article de France-Soir ci-dessous, qui précise qu’il s’agit de mauvaises photocopies de cartes d’identité, et que les juges auraient dû exiger la vérification de ces identités. J’ai isolé mon intervention pour ce média ci-dessous, et le même média a aussi publié une entrevue de Christian Cotten (autant vous prévenir, il faut régler le sonotone au maximum !)

Les journalistes subventionnés par la macronie pour lui cirer les pompes, ont brillé par leur absence totale, ce qui ne les empêche pas de publier toujours les mêmes mensonges, comme dans cet exemple de CNews titré comme d’habitude : « Rumeurs transphobes visant Brigitte Macron : deux femmes jugées en appel pour diffamation ce mercredi ». Ça, c’est de l’info. Enfin selon la journaputerie ! Voyez ci-dessous la réaction de Natacha Rey & Me Danglehant à cet article. Nous vivons dans un univers parallèle : un drogué illégitime mène notre pays à une ruine totale à marche forcée ; son compagnon détourneur de mineur est impliqué dans un procès d’importance mondiale, et aucun journaliste ne daigne être présent, pas plus que les protagonistes ! Tocsin, TVL, Bercoff, Radio-Courtoisie, tous ces médias qui sollicitent régulièrement notre générosité, ils sont où quand la seule affaire qui emmerde l’emmerdeur est traitée au tribunal ? C’est toujours la même poignée de résistants qui répond à l’appel, et se met d’autant plus en danger. Où sont ceux qui prétendent soutenir Natacha Rey en enfonçant Xavier Poussard, et en multipliant les appels aux dons ? Les journalistes de France 3 se plaignent, les pov’ chéris. Aucun d’entre eux n’était pourtant présent. Leur interdirait-on de couvrir l’affaire ? Mais dans ce cas, il fallait l’écrire noir sur blanc dans leur communiqué !
Mike Borowski a proposé son débriefing le 15 mai, le compte rendu le plus précis de la 1re journée du procès :
EXCLUSIF : ON VOUS DIT TOUT SUR LE PROCÈS DE NATACHA REY CONTRE BRIGITTE MACRON | GPTV
par GÉOPOLITIQUE PROFONDE
Je confirme les propos de Mike. Nous étions d’ailleurs assis côte à côte, et je puis témoigner que tout comme moi, il n’a pas ouvert la bouche, car nous étions extrêmement concentrés pour tenter de saisir les échanges de ce procès qui, à l’opposé de l’esprit de la Justice, était presque à huis-clos. Je l’ai d’ailleurs dit aussi dans la brève interview qu’il a faite pour son reportage diffusé samedi 17 mai (ci-dessous). La justice est censée être rendue publiquement. J’ai repris au bond un échange entre les avocats. Me Danglehant, en faisant son show habituel, a mentionné à plusieurs reprises lors de ses requêtes en nullité, un traité d’un juriste du XIXe siècle, Gustave Dutruc (1823-1898) : Explication pratique de la loi du 29 juillet 1881 sur la presse (1892). Pour répondre, Me Ennochi, l’excellent avocat des macronescu, accompagné de son fils selon Xavier Azalbert, a dit que toute la jurisprudence avait changé depuis cette époque.
Certes, tout a changé, mais pas les boiseries ni les ornements de cette salle, qui est toujours dans son jus du procès de l’Affaire Dreyfus, et d’ailleurs Me Danglehant aurait pu, lui aussi, à l’instar du président Delegorgue du procès d’Émile Zola, rapper la fameuse phrase « La question ne sera pas posée ». En effet, notre modeste procès fait écho au plus illustre procès de notre histoire : « Le président, prétextant l’allongement de durée des audiences, jongle sans cesse avec le droit pour que le procès ne traite que de la diffamation reprochée à Zola » (Wikipédia). N’est-ce pas la même situation ? On intente un procès bidon sur des points de détail auxquels personne ne comprend rien, pour tourner autour du pot du sexe de « Brigitte » : « la question ne sera pas posée » ! « Tourner autour du pot » est d’ailleurs la formule utilisée par Me Marian dans le reportage de GPTV actu (ci-dessous). Christian Cotten est un peu plus printanier : « Nous tournons autour d’un pot de chambre rempli de merde » (8’ du reportage de Mike Borowski).
PROCÈS NATACHA REY – BRIGITTE MACRON : LES IMAGES EXCLUSIVES SUR PLACE ! | GPTV INVESTIGATION
par GPTV INVESTIGATION
Tout dans cette salle était dans l’état du XIXe siècle finissant (reconstruction du Palais après l’incendie pendant la Commune, qui a détruit ce qui venait d’être reconstruit sous Napoléon III ! Aucune des innovations technologiques du XXe siècle ne permettait d’entendre les propos des protagonistes, à part des écrans de télévision, d’ailleurs trop petits, qui, contrairement à ceux du procès en première instance au Tribunal de Paris, fonctionnaient. Seul Me Danglehant a eu la courtoisie d’utiliser un micro, et a même tenté d’en brancher un pour sa collègue Me Marian, mais en vain. Donc j’ai à peu près compris son propos, mais pour Me Marian, Me Ennochi, le président et l’avocat général (équivalent du procureur pour la cour d’appel), je n’ai saisi que des bribes, noyées dans le bruit infernal de la rue qui passait par les fenêtres grandes ouvertes, notamment les sirènes de police incessantes (qu’on entend dans la vidéo d’Infocratie).
Il était de l’avis général des avocats présents dans le public, avec qui nous avons pu échanger, que c’était volontaire, comme l’a dit Mike dans son débriefing (mais Christian Cotten nous apprend dans sa vidéo pour Tribune Libre, que c’est systématique à la cour d’appel). Donc je ne pourrai reprendre que peu de ce que j’ai noté, parce que je ne voudrais pas déformer des propos, et me le voir reprocher ! Cela nous rappelle que les moyens technologiques sont parfois un piège pour l’homme, et réduisent ses capacités. Avant l’invention du micro, les métiers de parole étaient réservés aux hommes, dont les organes vocaux pouvaient emplir un tribunal ou un hémicycle, et il y avait tout un entraînement, qui constituait l’actio, l’une des cinq composantes de la rhétorique antique selon Cicéron. Les voix féminines, plus aiguës, pouvaient faire vibrer un opéra ou un théâtre. Maintenant, sans micro, qui est capable de se faire entendre, mais surtout, qui est capable d’écouter ?
« Essaie de faire sortir un truc de ton fion sans foutre de la caque dessus et on en reparle »
Je voudrais juste faire une remarque sur les « dissidents » qui défèquent des commentaires sous les vidéos. Vous pourrez constater que ces braves gens se plaignent qu’on entend mal, exigent, comme un enfant gâté du rab de purée, que l’on parle plus fort. Au lieu de réfléchir avec ce qui leur sert de cerveau en principe complotiste – sinon pourquoi s’intéresseraient-ils à ces vidéos ? – ils se plaignent que la poignée de brigittologues & de journalistes amateurs qui se sont mobilisés pour les informer de ce procès n’ont pas le niveau technique de BFM & TF1 ! Ah oui, sur ces chaînes de désinformation, vous avez un super son, les gars ! Mais la jeune Youtubeuse d’Infocratie, je peux vous dire qu’elle n’était pas vêtue en LVMH, et qu’elle filmait avec son vieux téléphone. Alors au lieu de critiquer, tendez l’oreille, et envoyez-lui un petit chèque pour qu’elle puisse s’acheter un micro ! Drôles de « résistants », qui auraient préféré Radio Paris à Radio Londres pendant la guerre, parce que le son était mauvais ! Nicolas Stoquer vitupérait comme moi le 5 mai dernier, lors d’une émission avec Thierry Meyssan, contre ce même type de commentaires de consommateurs blasés incapables de comprendre qu’un média dissident puisse ne pas toujours être au niveau technique de la journaputerie subventionnée !

Cette problématique est au cœur du procès : si Amandine & Natacha ont fait cette émission, et ont été attaquées, c’est parce qu’aucun homme, et aucun journaliste à carte de presse, n’ont eu les couilles, à cette époque, de s’attaquer au dossier sulfureux. Alors oui, ce sont des amateurs, et alors ? N’est-ce pas tout à leur honneur, et au déshonneur de ceux qui, 3 ans après, nous donnent des leçons, par exemple Richard Boutry, qui s’était courageusement défilé, et qui se permet maintenant de cracher sur Xavier Poussard ? Je dédie à ces enfants gâtés une planche de l’album Rien à feutre, de Camille Blandin. C’est un dialogue entre une poule et un enfant : « Huin maman y a du caca sur l’œuf. / Ha bah désolée. Je vous ponds un œuf gratos par jour mais bon. Ça chiale dès qu’il y a un peu de merde dessus. Ça sort de mon cul fils. Essaie de faire sortir un truc de ton fion sans foutre de la caque dessus et on en reparle ». Compris les filles ?
Je ne suis pas juriste ni avocat, mais je m’étonne que personne n’ait songé à invoquer l’article 225-1 du Code pénal, qui stipule que « Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques sur le fondement […] de la particulière vulnérabilité résultant de leur situation économique, apparente ou connue de son auteur, […] de leur état de santé, leur identité de genre […] de leur qualité de lanceur d’alerte, de facilitateur ou de personne en lien avec un lanceur d’alerte […] ». Eh oui, les lanceurs d’alerte et les personnes malades & précaires, sont protégés des discriminations par la même loi qui protège les personnes ayant changé de genre. Natacha Rey n’est-elle pas lanceuse d’alerte, et dans une situation de « particulière vulnérabilité résultant de [sa] situation économique, apparente ou connue », et dans un « état de santé » préoccupant ? La meilleure défense n’est-elle pas l’attaque ? Natacha & Amandine sont pauvres, précaires, malades, lanceuses d’alerte, et ce sont elles que les macronescu persécutent, alors qu’ils n’osent pas s’attaquer à une millionnaire en parfaite santé, Candace Owens, et à Xavier Poussard, cet ignoble jeune antimythe d’extrême-drouâteuh apparemment en parfaite santé (mais si ça se trouve il a aussi 2 cancers et une sclérose en plaques, comme Poutine, dont il est d’ailleurs l’agent secret). Natacha & Amandine, portez plainte pour discrimination !
Grâce à l’excellent compte-rendu d’audience signé « Hector Poupon » sur Riposte Laïque (qui devait donc être présent mais ne s’est pas fait reconnaître ; encore un agent russe !), on sait que Me Danglehant dans sa plaidoirie du jeudi (à laquelle je n’ai pas assisté) a fait référence à cette loi, en tout cas qu’il a excipé de la qualité de « lanceur d’alerte » de sa cliente. Excellent argument que les brigittologues doivent absolument mettre en avant.
Sur Tocsin vous avez une brève discussion à partir de 53’ sur la matinale du 15 mai. Ils n’ont pas estimé utile de venir assister au procès, mais ils glosent ; enfin ça vaut mieux que rien ! À leur décharge, Me Danglehant avait eu le tort, à mon avis, de les attaquer sur leur entrevue de Xavier Poussard ; peut-être chat échaudé craint-il l’eau froide ?
Face à cette absence d’information, les macronards sont prêts à raconter n’importe quoi, à l’exemple de « maître Eolas », qui publie ce commentaire lunaire : « Natacha Rey dit désormais que ses propos étaient en fait « une opinion », et non une imputation de faits. Donc c’est officiel : Natacha Rey n’affirme plus que Brigitte Macron serait un homme, et même dit qu’elle ne l’aurait jamais affirmé. RIP l’affaire Trogneux. » Il prend ses rêves pour la réalité, mais surtout quel besoin a ce type de se mêler d’un truc auquel apparemment, bien qu’avocat, il n’entrave & ne connaît que dalle ? Il semble qu’il ait péché ces élucubrations dans l’article des « Surligneurs » mentionné ci-dessus, le tout étant repris par Conspiracy Watch, selon leur méthode éprouvée de blanchiment de fausses informations selon la formule de Xavier Azalbert.
Le procès Natacha Rey et Amandine Roy / Brigitte Macron et Jean-Michel Trogneux | Maître Maud Marian
par TRIBUNE LIBRE
Dans la foulée du 2e jour du procès consacré aux plaidoiries, Tribune Libre propose deux entrevues très intéressantes de Me Maud Marian, puis de Me François Danglehant. Maud Marian a bon espoir, mais elle rappelle qu’Amandine Roy doit faire face à deux autres procédures ; il s’agit d’un acharnement judiciaire, qui contraste avec l’absence de poursuites à l’encontre de Xavier Poussard. Les Macronescu n’ont aucun scrupule à s’acharner sur deux pauvres femmes, juste pour permettre à leur presse de cour de publier régulièrement des articles aux titres putassiers.
François Danglehant résume sa plaidoirie et s’attaque à CNews (cf. ci-dessus), qu’il accuse d’avoir diffusé de fausses informations, en faisant croire qu’il s’agissait d’un procès en « transphobie ». Natacha Rey en aurait été particulièrement blessée, et il envisage de saisir l’ARCOM. Il développe ses réflexions sur l’influence de « Brigitte » sur les gamins qu’elle pousse à faire des transitions de genre.
Le procès Natacha Rey et Amandine Roy / Brigitte Macron et Jean-Michel Trogneux | Maître Danglehant
par TRIBUNE LIBRE
Alexandra Brazzainville rebondit par une vidéo intitulée « Le délit de transphobie », dans laquelle elle explique que selon elle, « le délit de transphobie ne concerne ni une femme biologique ni une personne ayant mon parcours ni un travesti ». Je lui réponds : « Chère Alexandra, je crains que vous n’ayez à la fois raison et tort. Dans le langage courant, oui, seul un « trans » pourrait se plaindre de « transphobie », et les plumitifs à la solde de la macronie ont tort d’employer ce mot. En revanche, au regard de la loi, l’article 132-77 du Code pénal (version en vigueur depuis le 02 février 2022) précise qu’il est question, je cite, « de son sexe, son orientation sexuelle ou identité de genre vraie ou supposée ». Et c’est logique. Imaginez que vous soyez obligé, pour porter plainte contre des propos homophobes, de déclarer à la face du monde « Oui, je suis gay ». Cela ne regarde a priori que vous. Des propos homophobes ne sont pas incriminés pour la seule victime, mais pour l’ensemble de la société. Je précise que je suis contre toutes ces lois de répression des opinions ; je les explique, c’est tout. »
Il est vrai que lorsque vous êtes une personne publique, et que vous faites de votre vie privée un argument électoral, ou que vous déclarez solennellement devant une Assemblée que c’est extraordinaire d’être un Premier ministre gay, vos adversaires politiques sont fondés à critiquer ce qui est devenu un argument électoral ; enfin, c’est aux juges d’en décider, mais au regard du tribunal de l’opinion publique, vous méritez l’opprobre.
Enfin, Stéphanie Reynaud donne la parole à Christian Cotten, qui ne mâche pas ses mots, et nous informe de l’actualité de sa plainte. Bravo Stéphanie pour ce boulot extraordinaire en absence de la journaputerie de cour !
L’appel à rejoindre la plainte pour défendre le Féminin Sacré, procès Natacha Rey | Christian Cotten
par TRIBUNE LIBRE
Le 16 mai, France-Soir publie un excellent compte-rendu du procès : « Audience en appel de Natacha Rey et Delphine Jégousse : un procès sous tension face à Brigitte Macron et Jean-Michel Trogneux ». Cet article inclut des entrevues de Me Danglehant et de Me Marian. Le pronostic est optimiste : « La question se pose donc de savoir pourquoi le ministère public n’a pas entamé dans cette affaire les démarches utiles à la manifestation de la vérité ? Pourquoi la Cour n’a pas usé de toutes ses prérogatives pour disposer de tous les éléments lui permettant de statuer de manière éclairée ? Serait-ce parce que son intime conviction était déjà formée avant cette audience ? »
Les personnes que j’ai interrogées, ou qui se sont exprimées, sont globalement optimistes, même si elles prévoient plutôt une annulation de la procédure et l’impossibilité d’y revenir contre les mêmes personnes (à cause du délai de trois mois prévu par la loi sur la presse). Comme dirait Jean-Brichel, les avis con verge ! Cela dit, les macronescu ont d’autres fers au feu, comme le procès contre Zoé Sagan & Bertrand Scholler, etc. CNews pourra continuer à servir la soupe avec le tampon « odieuz rühmœur transföb » dans le titre !
Le 16 mai, dans son live du soir, Florian Philippot évoque le procès, et le scandale de Tiphaine Auzière & le groupe Arverne, révélé par L’Informé et passé sous silence par la presse subventionnée. Il en profite pour évoquer brièvement le procès : « Du glauque, du glauque, du glauque ! ». Il faut vraiment qu’il se décide à consacrer une émission entière au grand scandale qui englobe le petit !

La journée du 14 mai
Cela a commencé par les requêtes en nullité de Me Danglehant, le seul qui ait fait l’effort d’être audible ; un avocat qui semble sorti de l’espace temps de l’Affaire Dreyfus !
Me Danglehant était assagi & en pleine forme lors de cette audience. À sa décharge, il vit une situation compliquée avec son enfant, et il est tombé, à mon humble avis, dans le travers de mélanger vie privée et vie publique, ce qu’il reproche à juste titre à la partie adverse. Il s’est présenté façon maître d’école, montrant sur un chevalet ses documents avec une férule. Férule qu’il agitait comme Aristide Saccard dans La Curée d’Émile Zola, qui remue les cendres dans la cheminée avec un tisonnier pour distraire son interlocuteur quand il parle affaires. Danglehant s’amusait à déambuler dans la salle, comme lors du procès de juin, allant admirer les dessins des uns, échangeant avec les autres, pour montrer son ennui, ou déstabiliser la partie adverse.
Les deux avocats ont répondu aux juges sur la situation sociale des deux victimes du harcèlement des macronescu. Danglehant lie la maladie de Natacha Rey au choc émotionnel provoqué par ses démêlés avec les autorités suite à son enquête. Il dit avoir renoncé à déposer une QPC (question prioritaire de constitutionnalité) à cause de l’état de santé de sa cliente. Cet exposé peut porter, car les juges sont en général des gauchistes, et la nouveauté depuis le procès en 1re instance, c’est le succès de Devenir Brigitte. Le fait que des amis de milliardaires s’en prennent à deux femmes précaires sur des questions de détail, alors qu’ils renoncent à porter plainte contre Candace Owens et à faire saisir les nombreuses Ferrari que Xavier Poussard s’est achetées depuis qu’il a vendu des millions de livres, cela peut faire tiquer des gauchistes ! Xavier, rends l’argent !
Danglehant utilise les failles de la partie civile, et je ne vais pas rentrer dans ces détails, de toute façon balayés par Me Ennochi et l’avocat général. Il explique que Natacha Rey ne faisait qu’exprimer une opinion sur la biographie controversée d’une personne publique, qui s’est copieusement servie de sa vie privée comme argument électoral. Il reprend point par point les 25 passages incriminés, tous entachés de nullité selon lui, sauf celui qui évoque le détournement de mineur, qui pourrait constituer une « diffamation », sauf que d’une part, c’est de notoriété publique, d’autre part, comment deux personnes qui se prétendent distinctes peuvent-elles se dire diffamées sur ce même point précis ? Le petit Emmanuel aurait-il constitué à 14 ans un trouple avec Brigitte & Jean-Michel ? Ceci expliquerait la promotion du trouple dans la cérémonie d’ouverture des JO ! (Ce n’est pas Me Danglehant qui a dit cela, c’est mon commentaire !) Sur d’autres points, comment comprendre que Jean-Michel se sente concerné par des propos qui ne concernent que sa sœur ? Les passages reprochés dans la vidéo ont été redécoupés trop tard pour permettre une « offre de preuve », juste avant le procès du 18 juin.
Il expose sa théorie sur l’article 32-3 de la loi sur la presse dans sa version actuelle (« Sera punie des peines prévues à l’alinéa précédent la diffamation commise par les mêmes moyens envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle ou identité de genre ou de leur handicap »). Rappelons que, de façon étonnante, l’item « identité de genre » a été ajouté à cette loi le 29 janvier 2017, juste avant l’élection de macron. On sent comme un truc planifié, non ? Quoi qu’il en soit, cet article n’a pas été invoqué dans la plainte des macron, et le juge l’a clairement rappelé, devant une presse de cour absente qui continuera jusqu’à la fin des temps à truffer ses articles du mot « transföb », à moins de changer de stratégie, et que ce soit nous qui attaquions les journaputes. C’est là que la discrimination économique entre en jeu, car Natacha & Amandine n’ont pas les moyens de payer des avocats pour se défendre de ces accusations incessantes. Pour Me Danglehant, cet alinéa est mal ficelé, car il faudrait spécifier les critères matériels de cette infraction. Les propos tenus dans l’émission prouvent que Natacha est tout sauf « transphobe », puisqu’elle déclare textuellement que « les transsexuels ont le droit de faire modifier leur état civil ». Danglehant utilise l’expression « c’est du bulgi-bulga », au lieu, je pense, de « gloubi-boulga », le plat de Casimir, pour se moquer du montage de citations incompréhensible. Il évoque Mimi Marchand pour rappeler qu’il s’agit de critiquer une biographie cousue de fil blanc.
Me Danglehant, procès Natacha Rey en appel , 14 mai 2025. « Le spray de Susan ! » #natacharey
par Lionel Labosse
Me Danglehant sort sa punchline sur Susan Spray, que j’ai reprise dans la vidéo facétieuse Perruques jaunes pour laquelle il a bien voulu se prêter au jeu pendant la pause déjeuner. On peut se demander comment les juges apprécient ces saillies de potache ! Il s’agit d’une plaisanterie sur le nom de famille de Susan Spray, un des protagonistes de la saga trogneux, mentionnée dans le dossier de Pressibus. Danglehant évoque le tract électoral de la ville alsacienne au nom imprononçable, et se plaint qu’il ne soit pas annexé à la plainte, en tout cas cela ne concerne pas « Brigitte » mais une autre femme présente sur le tract. Ennochi répondra que le tract est visible dans la vidéo… Sur le mari fantôme, Jean-Louis Auzière, ce qu’en a dit Natacha n’est qu’une opinion, mais Danglehant souligne que « beaucoup de journalistes s’y sont lancés, personne ne l’a jamais trouvé ». Sur plusieurs points, Danglehant affirme qu’il y a une seule solution, que le frère a pris la place de la sœur. « C’est Le Mystère de la chambre jaune » Il a des lettres !
Quand Me Marian prend la parole à son tour sur les nullités, on n’entend plus rien. Elle demande aux juges d’agir avec plus de rigueur, crois-je entendre. Une femme du public ose s’exclamer « On n’entend rien », ce à quoi le juge ne rétorque pas « Merci cher Maître de parler dans le micro car les procès sont publics dans notre république », mais « Le public ne doit pas intervenir ».
À 11h25, c’est au tour de Me Ennochi de prendre la parole. Il maintient, malgré l’absence de mention dans sa plainte, le caractère public des propos, vu le nombre de spectateurs de la vidéo, « des millions de vues ». Il se tire une balle dans le pied, car les vidéos de Candace ont fait bien plus de vues, et les macronescu ses clients se sont écrasés comme des merdes de chiens (j’essaie d’être aussi bucolique que Christian Cotten, car « on tourne autour du pot de chambre » !)
Il reprend certains éléments, et se met à la brigittologie en exprimant au conditionnel des thèses pour expliquer la biographie autorisée : « Il y aurait eu un mariage entre deux personnes qui n’existent pas », donc « Elles ne peuvent pas divorcer, puisqu’elles ne se sont pas mariées » (« elles », c’est-à-dire « ils » !) Je vous renvoie aux Compagnons de la marguerite de Jean-Pierre Mocky, où l’on apprend comment il est plus facile de falsifier les registres d’état civil que de divorcer ! Il s’enfonce en revenant sur le gag de la carte d’électeur tamponnée le 9 juin : comment la même personne aurait-elle pu être à deux endroits différents le même jour ? Il se fout de notre gueule ! La personne en question bénéficie à nos frais de toute la logistique de la république, et c’est la nature même d’un président de république de parcourir la France un jour de vote ! Les deux endroits ne sont d’ailleurs distants que de 100 km ! L’absence de Jean-Michel n’est pas un aveu judiciaire.
« Il est traqué, il y a des appels, c’est odieux » ! Quel ridicule ! Ce sont Amandine, Natacha & tous les brigittologues, qui sont traqués et persécutés par les macronescu & leur police politique. Jean-Michel Trogneux a-t-il été mis en garde à vue, dans la même cellule qu’un Pakistanais de 2 m au garrot comme Bertrand Scholler ? Quel foutage de gueule ! « Cette vidéo est hallucinante ». Ben oui, mais beaucoup moins que les vidéos tik-tok du chef de l’Étron… (celui qui voulait « emmerder » les non vaxinés). Il n’a pas lu le livre de Gustave Dutruc, mais rappelle que la jurisprudence a changé ; on ne fait pas de l’archéologie judiciaire. Il entame le rappel des propos de la vidéo, mais le juge l’interrompt, et il doit s’excuser : c’est prévu l’après-midi. Il ne devait répondre que sur les nullités. L’avocat général, une femme, est inaudible. Elle appuie servilement le pouvoir qui l’emploie. C’est la pause ; on sort pour déjeuner, égaillés dans le quartier.
À la reprise, Me Danglehant résume, à la demande du juge, la théorie de Natacha Rey. Il évoque la pédocriminalité, en faisant allusion à la récente affaire d’Amiens, l’arrestation de cousins proches des Trogneux. Il parle d’une personne de sa connaissance, un psychiatre ayant fait sa transition de genre à 62 ans (diable ! C’est Pulsions de Brian de Palma ! Surtout ne prenons pas l’ascenseur !) Ce psychiatre dit qu’une transition ne devrait pas être possible avant 25, voire 30 ans. Je vous renvoie à mon article sur Stéphanie Nicot, une enseignante ayant fait sa transition.
Nous passons à la diffusion à la demande de Me Ennochi d’un montage calamiteux de nombreux extraits de la vidéo incriminée, dans le désordre, avec juste quelques incrustations soit du n° de l’extrait, soit du minutage. Mais ce montage est précédé de la diffusion de courts extraits d’autres vidéos, dont une entrevue récente avec Me Danglehant, procédé limite. La cour a diffusé quand même. Les extraits de la vidéo sont encore une balle dans le pied de l’accusation. En effet, Me Ennochi fait une fixation sur la gestuelle d’Amandine, et la mime mimant le doigt sur la joue, le pipeau, le violon, etc., mais comme la vidéo est diffusée, son truc à la Saccard ou à la Danglehant ne peut pas empêcher la cour d’entendre les arguments de Natacha, qui sont imparables, et auxquels il n’a rien à répondre, sauf ses pitoyables accès de brigittologie. Attention, hein, c’est un excellent avocat, et je rappelle que tout accusé doit avoir une défense. L’avocat d’un terroriste ou d’un violeur est bien obligé de tenter de détourner le sujet : « Il a eu une enfance difficile »… Par exemple, quand Amandine déclare « Il n’y a plus de journalistes qui fassent leur boulot », les juges ne peuvent que le constater devant eux ! Pas un seul journaliste subventionné dans la salle !
La vidéo qu’on connaît par cœur est diffusée par morceaux, avec les moments ridicules, comme lorsque Natacha menaçait, en cas de vaxination obligatoire des enfants, de « sortir des dossiers » qui n’existaient que dans son imagination, comme le livre qu’elle a annoncé, pour lequel elle a reçu une cagnotte, et qu’elle n’a jamais écrit. C’est amusant d’ailleurs, de comparer le nombre de trolls qui ont publié des messages de reproches à Xavier Poussard pour les retards de précommandes de son livre, à l’absence totale de reproches sur l’absence de livre de Natacha, de la part de ceux qui ont participé à la cagnotte… Mais on va me croire complotiste ! Il y a des passages qui témoignent de l’état de l’enquête en décembre 2021, avec des hypothèses démenties ou complétées depuis. Il est question de la nièce morte à 6 ans mais vivante et grand-mère (Nathalie Farcy), du compte Facebook fantôme de Jean-Michel, du tract électoral bidon de 1989, etc. Ces diffusions ont duré presque une heure.
Me Ennochi reprend la parole, ou plutôt reprend le murmure. J’ai cru entendre qu’il a évoqué « Alain Soral » ; je suppose qu’il s’agit de Faits & Documents, ce qui veut dire « antisémite » en langage journaputier, et permet sans doute de prouver que « Brigitte » n’a pas de bite, mieux qu’un test ADN. En effet, chacun sait que comme Alain Soral est impliqué dans la diffusion de l’info, elle est forcément fausse ! C’est un argument complotiste, qui justifie ceux des brigittologues, quand ils remarquent la présence étrange des Attali, Minc, Rothschild, Arnault autour de cette prof de français sans diplômes et de son élève qui interprète si bien l’épouvantail, ou la troupe de pédophiles qui pullule dans les rainures des parquets de l’Élysée. Il est question des États-Unis, donc je suppose de Candace Owens. Il semblerait d’après mes informations confidentielles, que Me Marian ait réussi à entendre que Me Ennochi « croit » que ses clients ont porté plainte contre Candace Owens, et que cette information soit parvenue aux oreilles de cette dernière, laquelle a posté sur X un message rageur le 17 mai : « Message au juge français qui préside le procès en appel de Natacha Rey. L’avocat de Brigitte Macron, Me Jean Ennochi, vous a menti sous serment. Je n’ai absolument pas été poursuivie, pas plus que Xavier Poussard. Me Ennochi ment aussi effrontément que son client. »
À prendre avec des pincettes, car d’une part, vu le cirque des micros, seul Dieu sait ce qu’a marmonné Ennochi ; d’autre part, Candace réfléchit en Américaine, qui croit qu’on ne peut pas aller aux chiottes sans prêter serment. Les avocats ne prêtent pas serment lors d’un procès ! D’ailleurs, j’ai relevé en passant pas mal d’erreurs de détail (par exemple Danglehant qui évoque la photo du prétendu père des enfants Auzière en maillot de bain sur la plage, en disant que c’était sur un faire-part de mariage, et non de décès).
Danglehant reprend son jeu de diversion avec sa férule-tisonnier, et questionne Me Ennochi, lequel ne démord pas de ses mimes de pipeau, du doigt sur la joue, etc. On se croirait devant une classe de collège ! Danglehant conclut cette journée sur son argument principal : « Nous sommes jugés sur des interprétations faites par la partie civile. Il s’agit d’une enquête sur une biographie officielle diffusée pour gagner une élection présidentielle ». Me Marian rectifie dans la vidéo de Mike : pas « officielle ». Nous dirons « autorisée ».
C’est tout pour moi, car le jeudi, je bossais, ainsi que le vendredi, et j’ai passé tout mon temps libre à rédiger ce compte-rendu pour vous !
Maître Danglehant a posté son propre compte-rendu d’audience, et il annonce une prochaine exposition de dessins d’audience. Ça promet !
Sainte-Chapelle
Puisque la première journée s’est terminée plus tôt que prévu, j’ai profité de l’occasion pour visiter la Sainte-Chapelle, qui se trouve dans l’enceinte du Palais de justice, et que je n’avais pas vue depuis longtemps. C’est d’ailleurs une info intéressante : s’il y a trop de monde à la queue pour la Sainte Chapelle, vous pouvez tout à fait entrer par la file d’attente pour le tribunal, puis bifurquer. Les billets s’achètent devant le monument. Pour l’aile homophobe de la « dissidence », je signale qu’il y a dans cette chapelle, des anges aux ailes LGBT et des vitraux arc-en-ciel à repeindre en blanc !

J’ai pris des photos pour le fil Telegram Perruques jaunes ; j’en reprends une seule ici. Il s’agit de Brigitte tirée de la côte de Jean-Michel, sur un quadrilobe du soubassement côté gauche du trumeau du portail de la chapelle haute, œuvre moderne sculptée vers 1869-1872 par Adolphe-Victor Geoffroy-Dechaume et son atelier, lors de la restauration de ce monument. Comme quoi tout était prévu !
Et comme en France, tout finit par des chansons, voici notre petite dernière, qui a été censurée sur YouTube par « la communauté » que nous ne savons pas, comme aurait dit le regretté Gal Delawarde.

Merci à Christian Cotten d’avoir fait circuler cet article sur X. Merci d’en faire autant !
Source : Altersexualité
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