Vous êtes ici: Accueil › Actualités › Procès en appel à Reims de l’ex-médecin de la police du Grand Est pour agressions sexuelles ← La police municipale verbalise un camion du Secours Populaire pendant une distribution de repas Yvelines : Un policier dépose plainte contre «Marie Acab-land», accusée d’espionnage → Procès en appel à Reims de l’ex-médecin de la police du Grand Est pour agressions sexuelles Vue(s) : 670 C’est ce mercredi à 14h que se tient à Reims le procès en appel du Dr Frey, l’ancien médecin-inspecteur de la police dans le Grand Est. Le procès en mai 2019 du Dr Frey à Reims © Radio France – Cécile Soulé Metz, France En première instance, en juin dernier, il avait été condamné à un an de prison avec sursis, interdiction d’exercer et inscription au fichier des auteurs d’infractions sexuelles. Christian Frey, 63 ans, avait été reconnu coupable de 9 agressions sexuelles sur de jeunes policiers, 8 femmes et 1 hommes. En appel à Reims, l’avocat général a requis les mêmes peines qu’en 1er instance à son encontre. La décision sera rendue le 8 janvier prochain. Mais l’ex médecin de la police n’en a pas fini avec la justice. Une douzaine de nouvelles plaintes à Metz dont celle d’un homme Une douzaine de plaintes sont sur le bureau du procureur de la République de Metz. Ce sont essentiellement des femmes agents de police ou fonctionnaires du ministère de l’intérieur, qui dénoncent à leur tour les agissements de l’ancien médecin inspecteur de la police. Un homme également a porté plainte. Des gestes ou demandes déplacés Comme à Reims dans l’affaire des jeunes recrues de l’école nationale de police, ce qui pose problème, ce sont des gestes déplacés sur les parties intimes du corps, ou bien des demandes spéciales, sans rapport avec les visites médicales professionnelles. L’une des plaignantes à Metz évoque le fait d’avoir été obligée d’enlever son soutien gorge alors qu’elle venait pour un problème de dos. Manque de déontologie Au procès de Reims, des confrères du Dr Frey, médecins inspecteurs de la police dans d’autres régions avaient dénoncé par écrit son manque de déontologie. Et le procureur l’avait qualifié de pervers. A Metz, la justice poursuit les auditions des plaignants dans le cadre d’une enquête préliminaire. Certains faits seraient prescrits mais pas tous. Cette enquête pourrait donc déboucher sur un nouveau procès. Laisser un commentaire Annuler la réponseVotre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *Commentaire * Nom * E-mail * Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire.
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