On peut débattre de tout, sauf des chiffres… quand il y en a !

Introduction.

Je souhaite ici, vous apporter une pluralité d’informations pour sortir de la sclérosante « pensée unique ». Cette approche permet de découvrir « le dessous des cartes » qui nous est si soigneusement caché. Nous sommes alors en mesure de comprendre les mutations de notre société et pouvons, dès lors, en tirer tout le positif pour notre patrimoine matériel, autant que spirituel.

Étant parfaitement conscient que les avis et positions que j’exprime, reflètent « ma vérité » au moment de leur rédaction, je vous donne l’accès à mes propres sources, afin que vous soyez en mesure d’avoir une appréciation éventuellement différente de la mienne, et ainsi construire VOTRE vérité. La seule qui vaille à mes yeux.

Sujet du jour : Hospitalisation et décès des injectés et non injectés… les chiffres interdits.

Souvenez-vous. C’était en aout 2021. Une campagne de promotion des « injections » nous était fort aimablement proposée… sans modération. « On peut débattre de tout, sauf des chiffres ».

Cette affirmation semble logique, dès l’instant où les chiffres en question proviennent de sources « sérieuses » et ne sont pas remis en cause, tout aussi sérieusement. À cette époque où la peur était déjà « bien installée » dans les populations, des voix tentaient de se faire entendre.

Comme elles mettaient en cause les « vérités officielles », elles n’avaient que très peu, voire pas du tout, accès aux médias grand public. Parmi elles, un certain professeur Jean TOUBIANA (breveté « rassuriste ») .

« L’ami Janot » n’est pas n’importe qui. Il est ingénieur polytechnicien, titulaire d’un DEA en démographie, d’un DESS en informatique. Il est aussi docteur en astrophysique. C’est un ancien chercheur à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM). En 2014, il fonde l’institut de recherche pour la valorisation des données de santé (IRSAN), dont il est le directeur général.

Le 8 mars 2021, interrogé à propos de la surmortalité, il commence par confirmer que, comme il l’avait annoncé dès le début de cette affaire :

  • « Le Covid est un non-événement. Cette épidémie est d’une grande banalité ».

Puis il remet en cause, de manière compréhensible et argumentée, les calculs de l’INSEE qui annoncent une surmortalité de 14% due au « Corona-entourloupus » :

  • « La spécificité de cette crise a été une profusion invraisemblable de chiffres, sans aucune explication. L’impact en termes de surmortalité pour les personnes de moins de 65 ans a été absolument nul, or les moins de 65 ans représentent environ 80% des personnes ».

Le 25 novembre 2021, estimant que « la compréhension du phénomène évolue dans la population », dans un entretien avec un journaliste de France-Soir, il commente une analyse qu’il a publiée sur le Site de l’IRSAM. Dans celle-ci, le « prof Jean » n’y va pas par quatre chemins.

  • Il dénonce la faute des gouvernants, d’avoir pris « des indicateurs extrêmement anxiogènes» pour imposer à la population « des mesures contraignantes (masque obligatoire dans toutes les écoles et dans la rue de départements de plus en plus nombreux) ».
  • Il rappelle que : « Depuis toujours, une épidémie se caractérise essentiellement par le nombre de malades et de morts qu’elle provoque».
  • Puis il précise : « ce que l’on appelle normalement « incidence » est le nombre de nouveaux malades en une semaine rapporté à la population, lequel permet d’évaluer la dynamique d’une épidémie de maladie transmissible à évolution rapide».
  • Et enfin, il déplore : « Dans le cadre de l’épidémie de Covid-19, les estimations de l’incidence à destination du grand public ne se réfèrent plus aux nouveaux malades ou morts engendrés par le virus, mais à des porteurs de virus qui, à plus de 80 %, ne sont pas malades et ne le seront jamais».

Pour résumer les arguments de Monsieur TOUBIANA, concernant le « Corona-maléficius » et son extrême danger mis en avant par le gouvernement en 2021 : « L’impact réel en termes de morbidité et mortalité a été extrêmement faible ». Aujourd’hui, fin 2022, avec un certain recul, nous voyons à quel point il avait raison dans son approche et dans ses conclusions.

Il a maintenant orienté son travail de recherches sur la pertinence de l’affirmation gouvernementale de la campagne médiatique citée au début de ce billet :

« Aujourd’hui, en France, 8 personnes sur 10 hospitalisées à cause du Covid ne sont pas vaccinées. Tous vaccinés, tous protégés ».

Les « mensonges officiels » relatifs aux ravages du terrible (Corna-mortifèribus » sont oubliés (c’est bien connu, le français à la mémoire courte). Une polémique chassant l’autre, nous en sommes à celle concernant l’efficacité des « injections », faussement appelées « vaccins ».

Dans cette vidéo d’Alexandre HENRION CAUDE, généticienne, spécialiste mondiale de l’ARN (brevetée complotiste), à 37mn 25’’, elle explique clairement pourquoi ce n’est pas un vaccin. À 41mn, elle cite les risques des injections et à 46 mn 15’’, pourquoi la pharmacovigilance, qui est sensée nous informer sur les effets secondaires, est totalement défaillante.

En octobre 2022, le site Global Research (breveté complotiste) nous apprend que :

  • « Une réanalyse des données publiées par le ministère israélien de la Santé par le Dr Hervé SELIGMANN , membre de la faculté de médecine Maladies infectieuses et tropicales émergentes d’Aix-Marseille Université, et l’ingénieur Haim YATIV révèlent, en somme, que le vaccin expérimental à ARNm de Pfizer a tué « environ 40 fois plus de personnes (âgées) que la maladie elle-même n’en aurait tué » au cours d’une récente période de vaccination de cinq semaines. Parmi la classe plus jeune, ces chiffres sont aggravés par des taux de mortalité de 260 fois ce que le virus Covid-19 aurait généré dans le laps de temps donné».

Plus important encore, les auteurs déplorent « le fait de ne pas pouvoir communiquer sur cette information vitale à leurs concitoyens ». !!!

Toujours en octobre de cette année 2022, le site « Swiss Policy Research » (breveté complotiste) s’intéresse aux relations entre la vaccination et la mortalité. Les conclusions, scientifiquement argumentées, montrent que les « vaccins Covid » :

  • Offrent une protection très élevée, mais en déclin rapide, contre l’infection Covid et les maladies graves.
  • Sont liés à un risque significatif d’événements indésirables cardiovasculaires et neurologiques.
  • Confèrent une protection moins durable que l’immunité naturelle.

Un colloque sur la crise sanitaire a été organisé les 24 et 25 septembre dernier, à Peyrolles-en-Provence. Deux chercheurs s’y sont exprimés sur les décisions politiques prises pendant l’épidémie de Covid. Ils ont aussi étudié le rôle de la fraude et de la corruption dans le cadre de la crise sanitaire.

Il s’agit d’Emmanuelle DARLES, docteur d’État en informatique et enseignante-chercheuse à l’université de Poitiers, ainsi que Vincent PAVAN, maître de conférences et chercheur en mathématiques à l’université d’Aix-Marseille.

Ils pointes les carences des autorités sanitaires :

  • « Nous avons compris que les chiffres distribués par l’EMA et par l’ANSM étaient sous-estimés du facteur de pharmacovigilance passif, c’est-à-dire d’un facteur 10 à 20 »
  • « Il y a beaucoup d’interrogations sur les alertes de vigilance qui n’ont manifestement pas été produites. […] Je tiens à rappeler que l’ANSM a été condamnée dans l’affaire du Mediator pour défaut de vigilance. Depuis, rien n’a vraiment changé. […] Il y a une faillite des agences de santé, qu’il s’agisse des Centres régionaux de pharmacovigilance ou de l’Agence nationale de sécurité du médicament ».
  • « Il y a une crise scientifique, une crise de l’intégrité, une crise des bonnes pratiques. Quand on affiche un résultat, quand on émet une théorie, on la prouve et on la rend reproductible. Ça n’a jamais été fait. On a par exemple imposé le passe sanitaire sur la base d’un article scientifique dont nous n’avions pas le code de calcul ».

Revenons à la détermination de jean TOUBIANA. Il a déposé le 10 février 2022 une pétition ( 34 000 signatures), réclamant que le Sénat fasse procéder à une analyse de la mortalité toutes causes confondues, en fonction du statut vaccinal des personnes. Comme je vous l’ai déjà relaté :

  • « Cette demande, pourtant légitime et pleine de bon sens, a été refusée sans aucune justification par la commission sénatoriale chargée de « faire le tri» dans les pétitions ».

Mais, prudents… les sénateurs ont alors demandé un rapport sur « Les effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 et le système de pharmacovigilance français », à l’office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST).

C’est là que le « duo de choc DARLES/PAVAN » réapparait, dans cette rocambolesque histoire. Les deux chercheurs ont préparé un document destiné à l’OPECST. Hélas, comme je vous en ai déjà informé, ces deux personnalités :

  • « Bien qu’elles se soient rendues devant le Sénat, le jour même de l’audition, ont trouvé porte close».

Face à toutes ces obstructions, « Janot le têtu » sollicite du ministère de la Santé, l’accès aux statistiques d’hospitalisations et de décès toutes causes appariées au statut vaccinal Covid.

Je suis sûr que vous devinez déjà « la suite »… effectivement, pas de réponse. Il saisit alors la Commission d’accès aux documents administratifs (CADA) que les fidèles lecteurs de ce blog connaissent bien.

Le croirez-vous ? Asseyez-vous bien, pour ne pas tomber à la renverse. La CADA répond le 22 septembre dernier :

  • « Il n’existe aucune statistique relative au statut vaccinal de toutes les personnes décédées ni aucune statistique relative aux hospitalisations selon le statut vaccinal.
  • Il n’existe aucune base de données recensant le statut vaccinal antigrippal »   .

Cela signifie que tous les chiffres anxiogènes propagés dans la population et pire, les décisions qui en ont résulté (création du pass vaccinal et autres mesures restrictives de liberté)… ne reposent sur aucun élément chiffré !!!

Nous comprenons maintenant que l’accès à des données officielles, connues, mais non accessibles, est essentiel.

Comme l’expliquent de façon claire et précise, le professeur Christian PERRONNE et le statisticien Pierre CHAILLOT (déjà connu des abonnés aux « Rendez-vous d’Hubert »), ces données permettent de comparer incontestablement, le taux d’hospitalisation et de mortalité des « injectés » et des « non injectés ».

Serait-ce cette possibilité que redoutent les « Z’autorités » politiques et sanitaires de notre pays? Je n’ose le croire… quoi que. Cela expliquerait le durcissement des mesures en cours : généralisation du Pass vaccinal et « activation de la 8è vague de peurs » !!!

Il m’apparait clairement que le temps des constats est terminé.

Il n’est plus, le temps de dire : « je ne peux rien faire à mon niveau ».

Il n’est plus, le temps d’attendre que les solutions à nos difficultés actuelles et à venir nous arrivent « d’en haut ». Ce n’est pas et ne sera jamais le cas. ILS ont trop besoin de notre soumission pour se maintenir au pouvoir.

C’est à nous tous qu’il appartient de résister, puis d’agir, même « petitement », mais d’AGIR. Quand chacun de nous fait un « petit pas », c’est l’ensemble du peuple qui fait reculer la tyrannie qui se met en place insidieusement. Tout cela n’est possible, que grâce à notre passivité.

Ce n’est plus aux dirigeants politiques de décider quand et à qui « faire la guerre ».

C’est à chacun de nous, pleinement conscient de l’enjeu, de nous lever et de participer à l’action.

Faisons en sorte d’être fiers de transmettre à nos enfants, un monde de meilleure facture que le nôtre l‘est, actuellement.

« Seule, je ne peux pas changer le monde, mais je peux jeter une

pierre dans l’eau et créer de nombreuses ondulations »

(Mère Teresa)

Chers lecteurs, déterminés dans l’action, je vous aime et vous salue.

P-S : Un moyen efficace pour sortir de l’engrenage infernal qui accélère l’effondrement en cours est une plus complète information pour le plus grand nombre de personnes. Merci par avance d’y contribuer en partageant largement mes écrits autour de vous .

Source : Sérénité Patrimoniale

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