Macron ne sait pas ce qu’est la France, alors il l’insulte !

Macron a la même conception de l’Etat que Mussolini. Pour lui, la France est avant tout un Etat. Le peuple français n’est rien comme il l’a dit lui-même. « On croise dans les gares des gens qui ne sont rien » (sic). Par conséquent, la France, pendant la deuxième guerre mondiale, c’était l’Etat de Vichy et rien d’autre. La France libre n’était pas un Etat. Donc, la France est responsable de la déportation des Juifs au Vel d’Hiv. Que la France soit occupée militairement par l’armée d’un dictateur cruel n’a aucune importance. Qu’il n’y ait plus de souveraineté nationale sous la botte nazie ne l’intéresse pas. Pour Macron, les collaborateurs sont la France ! Il leur fait un grand honneur mais pour lui, être du parti de l’étranger n’est visiblement pas un problème. Dans le même esprit, il a accusé la France d’avoir maltraité les peuples colonisés comme les Algériens. Il s’arroge le droit de juger les anciennes générations : ils sont morts donc ne peuvent plus se défendre. Quel courage d’insulter en bloc nos ancêtres !

Cet homme visiblement n’aime pas la France puisqu’il adore la mettre en accusation. Il a aussi dit dans sa campagne électorale qu’il n’y avait pas de culture française. Dans les 50 premières pages de son livre « Révolution », il dit 150  fois « moi, je » mais ne cite qu’une fois le mot France. Son parti s’appelle « la République en marche ». La République, il connait car c’est un Etat ! Jamais il n’aurait eu l’idée d’appeler son parti « la France en marche ». La France, connais pas ! Elle est composée d’une majorité de gens « qui ne sont rien ». Cette conception mussolinienne selon laquelle la France n’est qu’un Etat vient du jacobinisme révolutionnaire. Macron est chef de l’Etat, président de la « République » et il en est fier, semble-t-il. Mais il n’est pas le chef de la France ni le président des Français.

C’est un oligarque. Les oligarques aiment que l’Etat soit à leur service. Les oligarques ignorent le peuple. Pire, ils le méprisent. Il y a ceux « qui ont réussi » et qui sont dignes de faire partie de l’oligarchie et « ceux qui ne sont rien », le peuple qui doit subir les décisions des « experts » de l’oligarchie. Que le peuple souffre de l’immigration de masse n’a aucune importance. Cela prouve simplement qu’ils ne sont pas ouverts à la diversité. Que le peuple souffre de l’insécurité et du chômage : c’est dommage mais c’est le prix à payer pour la mondialisation qui enrichit les plus riches.

Ce dont Macron n’a pas conscience, c’est qu’il trahit lui-même la devise républicaine : liberté, égalité, fraternité ! La liberté n’existe pas pour ceux qui sont obligés d’accepter l’invasion migratoire sauf d’argent suffisant pour se mettre à l’abri dans les beaux quartiers avec des écoles privées. L’égalité n’existe pas car les oligarques se protègent de l’immigration, de l’insécurité et du chômage. Tout cela est bon pour les « sans dents » (Hollande), « ceux qui ne sont rien » (Macron). Enfin, la fraternité n’existe pas dans une société « diverse », multiculturelle, comme l’a démontré le sociologue américain Robert Putnam. Celui-ci a montré que le taux de confiance dans le voisin est lié à l’homogénéité culturelle d’un quartier. En France, d’après IPSOS, il est de 30%  ce qui est très bas et c’est lié à l’immigration.

C’est terrible d’avoir un président qui ignore la France, voire ne l’aime pas, et la réduise à une structure juridique : l’Etat.

Ivan BLOT – coprésident des VPF

Source : Les Volontaires pour la France  et La lettre des Volontaires pour la France

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