Les prédateurs mondialistes poursuivent leur oeuvre criminelle.

Le Docteur Jean-Pierre Eudier, Président de la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations (LNPLV), fidèle lecteur de Profession-Gendarme nous propose un article qu’il a rédigé au vu des évènements actuels et après s’être inspiré librement du livre « Commandement et obéissance » de Raoul Marie Donop.

 

Dr Jean-Pierre Eudier est chirurgien-dentiste et spécialiste de l’Afrique où les maladies bucco-dentaires tuent davantage que de nombreuses autres maladies infectieuses et parasitaires, Le docteur Jean-Pierre Eudier s’est consacré au développement de la profession dentaire sur ce continent afin de rendre les soins dentaires accessibles au plus grand nombre. 

Jean-Pierre Eudier est aujourd’hui le président de la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations (www.infovaccin.fr).

 

Profession-Gendarme le remercie vivement de sa participation active sur notre site et nous sommes heureux de partager avec vous tous cet excellent article :

 

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Cet article rédigé le 3 octobre dernier ne peut qu’être augmenté tant les évènements survenus au cours du mois d’octobre accélèrent l’œuvre de prédation.

 

Le 2 octobre dernier, l’Assemblée nationale, complice des prédateurs mondialistes, a décidé de prolonger le régime transitoire, un régime post-état d’urgence permettant au gouvernement et aux préfets d’imposer des mesures restrictives en France, jusqu’au 1er avril 2021.

 

Dates clés de la loi d’état d’urgence sanitaire 

  • Mercredi 18 mars 2020, le projet de loi d’état d’urgence sanitaire est présenté au Conseil des Ministres par Edouard Philippe, Premier ministre français. 
  • Jeudi 19 mars 2020, le Sénat a adopté le projet de loi (252 voix pour, 2 voix contre et 90 abstentions) en première lecture.
  • Samedi 21 mars 2020, l’Assemblée nationale a, à son tour, adopté le projet de loi, e première lecture et en faisant toutefois certaines modifications (suppression de la date fixée pour le dépôt des candidatures au second tour des Municipales, renforcement des sanctions concernant le non-respect du confinement par exemple).
  • Dimanche 22 mars 2020, la commission mixte paritaire (députés et sénateurs) s’est officiellement accordée sur une version finale du texte.
  • Lundi 23 mars 2020, la loi d’état d’urgence sanitaire est promulguée.
  • Mardi 24 mars 2020, la loi d’état d’urgence sanitaire est déposée au Journal Officiel
  • Samedi 2 mai 2020, sa prolongation de deux mois, soit jusqu’au 24 juillet, est présentée en Conseil des ministres avant d’être examinée les 4 et 5 mai par le Sénat et dans la semaine (du 4 mai) par l’Assemblée nationale. Le dépôt de loi au Parlement a été fait le même jour. 
  • Mardi 5 mai 2020, le Sénat adopte en première lecture, par 240 voix pour et 25 voix contre, le projet de loi prorogeant l’état d’urgence sanitaire et complétant ses dispositions.
  • Samedi 9 mai 2020, l’Assemblée nationale examine et adopte définitivement la loi prorogeant l’état d’urgence sanitaire et complétant ses dispositions. La loi adoptée par le Parlement a réduit cette prolongation au 10 juillet 2020 inclus.
  • Lundi 11 mai 2020, le Conseil constitutionnel promulgue la loi prorogeant l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 10 juillet en France. 
  • Mardi 12 mai 2020, la loi est publiée au Journal officiel du 12 mai 2020.
  • Jeudi 2 juin 2020, l’Assemblée nationale a définitivement adopté le projet de loi organisant la sortie de l’état d’urgence sanitaire après le 10 juillet, avec de possibles restrictions jusqu’à l’automne (1er avril 2021). Pour rappel, le Sénat l’avait rejeté le matin même. Suite à un amendement, l’état d’urgence est prolongé à Mayotte et en Guyane jusqu’au 1er avril 2021, puisque le Covid-19 circule toujours activement.
  • Vendredi 10 juillet 2020 à minuit : Fin officielle de l’état d’urgence sanitaire en France. Toutefois, le gouvernement se réserve le droit de prendre des mesures ciblées et exceptionnelles jusqu’au 1er avril 2021.
  • Mercredi 16 septembre : Mayotte et Guyane sortent de l’état d’urgence sanitaire. 
  • Vendredi 2 octobre : l’Assemblée nationale a décidé de prolonger le régime transitoire post-état d’urgence jusqu’au 1er avril 2021. Pour que la prorogation soit officielle, le Sénat doit également adopter le texte.

 

Pendant que Marseille, cerné par les légions de mondialistes devient le nouveau symbole du village d’Astérix, que son druide raconte la science et la médecine pour comprendre l’Arlésienne, Bruxelles publie des règlements illégauxet Paris, soudain investit d’un pouvoir despotique, pond des décrets et abroge des lois devant un parlement, plutôt absent mais surtout servile et soumis.

 

Ces lois qu’on prétend intangibles, au nom desquelles on déchire un pays, que sont-elles, le plussouvent, si ce n’est un déchaînement de colère, une manifestation de haine, ou un acte de brigandage, sans plus de logique, ni plus de méthode et de pratique que la colère, la haine ou la passion du vol n’en peuvent posséder ? Si bien qu’il arrive, journellement, nous en avons le spectacle, de les voir modifier, compléter, aggraver, ou bien au contraire abroger, avant même que les magistrats chargés de les appliquer n’aient eu le temps de les étudier.

 

La France a déjà pratiqué par le passé cette succession de décrets sournois et criminels. N’oublions pas les lois scélérates de 1893-1894 :

 

il faut bien leur donner ce nom, c’est celui qu’elles garderont dans l’histoire. Elles sont vraiment les lois scélérates de la République. J’ai voulu montrer non seulement qu’elles étaient atroces, ce que tout le monde sait, mais ce que l’on sait moins, avec quelle précipitation inouïe, ou quelle incohérence absurde, ou quelle passivité honteuse elles avaient été votées.

Tout le monde avoue que de telles lois n’auraient jamais dû être nos lois, les lois d’une nation républicaine, d’une nation civilisée, d’une nation probe. Elles suent la tyrannie, la barbarie et le mensonge. Tout le monde le sait, tout le monde le reconnaît ; ceux qui l’ont votée l’avouaient eux-mêmes. Combien de temps vont-elles rester encore dans nos Codes?

 

Mais les ministres qui les ont conçues, qui ont profité d’un moment d’horreur et d’affolement pour les imposer, qui ont fait subir jusqu’au bout à une Chambre obéissante leur menace sous condition ? J’ai dit leurs noms, je les répète: après Casimir Perier, avec le garde des sceaux Guérin, il y eut Dupuy, Hanotaux, Poincaré, Georges Leygues, Barthou et, le plus grand de tous, Félix Faure.

Ajoutons-y M. Deschanel, qui seul de la majorité, intervint à deux reprises. Dans le débat, ne trouve-t-on pas tous les grands noms de la République néo-opportuniste ? »

Dans notre contexte contemporain, au regard des atteintes permanentes à la liberté d’expression, le manifeste sur les Lois scélérates pourrait être remis à jour, particulièrement dans leurs mécanismes juridiques qui autorisent tous les excès d’interprétation et d’application.

 

Et que dire de la chronologie des lois anti-sémites publiées entre 1940 et 1944 assorties de restrictions et autres mesures vestimentaires aussi humiliantes que la muselière imposée de nos jours ?

 

Sous prétexte de « protection », ces lois n’ont pour vocation que l’élimination, l’éradication. Le crime contre l’humanité en voie de légalisation, d’abord des anarchistes puis des êtres asociaux comme les tsiganes, les homosexuels, les juifs, aujourd’hui les homéopathes, les naturopathes, les vaccino-sceptiques assimilés aux islamistes et demain les adeptes de l’école à la maison.

 

Ainsi, la tyrannie sanitaire, en inversant les valeurs et le sens des mots, permet tous les excès au mépris de tous les droits et de toutes les libertés,

 

  • destruction des cultures, des langues, des croyances ;
  • destruction de la famille, de la vie privée, de l’intimité, de l’enfance, de l’innocence, des rapports humains normaux, de la justice ;
  • destruction des savoir-faire artisanaux, des patrimoines des classes moyennes, de la douceur de vivre, de la politesse ;
  • destruction des vies humaines, avec les guerres de masse et les camps d’internement et pourquoi pas des camps d’extermination ;
  • destruction des espèces animales et végétales ;
  • destruction des sols, des paysages, des océans, des écosystèmes ;
  • destruction des réserves naturelles d’à peu près tout (pétrole, eau potable, phosphates, minerais…).

La question se pose, et se posera sans doute longtemps, de la nécessité, et même de l’utilité, de créer puis de prolonger ce régime d’exception alors que les pouvoirs publics disposent déjà de dispositions inscrites dans le code de la santé publique sans avoir à mettre en place de nouvelles mesures liberticides contraignantes assorties de sanctions disproportionnées élevant tout citoyen au rang de délinquant menaçant la sécurité nationale voire mondiale.

 

En dépit d’indicateurs épidémiologiques rassurants, quelle est « la menace sanitaire aussi grave qui justifie le maintien de ces mesures d’urgence » ?

Ces mesures sont-elles proportionnées aux risques courus et appropriées aux circonstances de temps et de lieu afin de prévenir et de limiter les conséquences des menaces possibles, sur la santé de la population mais imperceptibles à ce jour ?

 

Ces mesures sont-elles prescrites dans l’intérêt de la santé publique ou dans l’intérêt des entreprises biocidaires qui cherchent à imposer, à titre compassionnel, des médications innovantes contenant des OGM en contournant les règles habituelles d’enregistrement des médicaments ?

 

L’homme ne peut faire de loi que dans la limite permise par les lois du vivant qu’il a pour premier devoir de respecter ; d’où il s’en suit qu’en faisant des lois, les pouvoirs publics ne font le droit, qu’ils ne peuvent créer, que dans la limite où ils légifèrent en conformité avec le droit naturel et divin. De telle sorte qu’en dehors de là, les formules législatives ne sont que des fantômes de loi qui ne lient pas les consciences.

Et c’est parce que bon nombre de lois ont été conçues dans un esprit contraire à la vie ; qu’elles nient la biodiversité ; qu’elles nient la loi naturelle et la liberté humaine. 

Inquiétons nous de la dérive démocratique de ces lois et décrets et redoutons le néo-maccarthysme sanitaire qui l’accompagne et dont personne n’a socialement intérêt en l’absence de tout contexte de nécessité sanitaire désormais sous contrôle.

 

Il est de notre devoir d’obéir à la Loi qui doit être l’expression du droit. Mais devant un tel déferlement d’incohérences et de contradictions législatives, nous sommes en droit de nous interroger sur le devoir d’obéissance.

 

Notre président a déclaré que nous sommes en guerre et rappelons ici le code militaire qui édicte les Principes généraux de la subordination. — La discipline faisant la force principale des armées, il importe que tout supérieur obtienne de ses subordonnés une obéissance entière et une soumission de tous les instants ; que les ordres soient exécutés littéralement, sans hésitation ni murmure ; l’autorité qui les donne en est responsable, et la réclamation n’est permise à l’inférieur que lorsqu’il a obéi. »

Toutes les folies d’un pouvoir despotique qui appuie sa croyance sur une science dévoyée au service des lobbies industriels aboutiront, s’il persiste dans le mal, à la ruine de ce que des siècles de travail, de dévouement, de sacrifices et de courage avaient créé.

Pourquoi attendre avant de réclamer ? Ces folies, les laissera-t-on s’accomplir ? Les supportera-t-on, toujours, jusqu’au bout, jusqu’à la fin ?

Souvenons-nous aujourd’hui de la formule de Ludovic Trarieux, sénateur de la Gironde, fondateur en 1898 et premier Président de la Ligue des Droits de l’Homme, à propos des victimes des lois scélérates qu’il avait fait voter en 1894.

Je ne connaissais pas ces gens-là, au moment du vote. Manifestement, je consacrerai tous mes efforts pour faire abolir ces lois ”.

Régime transitoire, dites-vous ? Il aura fallu attendre 1992 pour voir l’abrogation de ces lois dites scélérates.

Quand l’autorité reprendra-t-elle conscience de ses devoirs et de la limite de ses prérogatives législatives ? Elle doit être au service du peuple, alors les droits et devoirs de l’obéissance seront enfin reconnus par le peuple et pratiqués.

Librement inspiré de « Commandement et obéissance »de Raoul Marie Donop. Paris, Éd. Nouvelle Librairie nationale, 1909.

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« L’urgence du moment est de rassembler nos forces vers un objectif commun, sauver l’État de Droit et les valeurs démocratiques associées pour faire barrage à l’avènement d’un monde désocialisé, déshumanisé, vacciné, numérisé. L’enchainement des scandales sanitaires mis en évidence pendant cette crise nous oblige à redoubler de vigilance et à continuer notre combat pour la liberté de choisir. »

 

Dr Jean-Pierre EUDIER pour Profession-Gendarme

Président de la Ligue Nationale pour

la Liberté des Vaccinations (LNPLV)

www.infovaccin.fr

 

 

 

 

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