Les données officielles du gouvernement suggèrent que les vaccins COVID mettent 5 mois à tuer, mais plus de 20 000 décès excédentaires au Royaume-Uni depuis mai 2022 le prouvent.

Les données officielles du gouvernement suggèrent que les vaccins COVID mettent 5 mois à tuer, mais plus de 20 000 décès excédentaires au Royaume-Uni depuis mai 2022 le prouvent.

Selon l’Office for National Statistics du gouvernement britannique, il y a eu 20 000 décès en excès en Angleterre et au Pays de Galles depuis mai 2022 par rapport à la moyenne des cinq années précédentes. D’autres données fournies par l’Écosse font état de 1 500 décès supplémentaires en excès dans le même laps de temps.

D’autres données publiées par l’Office for National Statistics montrent également que les taux de mortalité pour 100 000 sont les plus élevés parmi la population vaccinée en Angleterre. Une analyse de ces chiffres a montré qu’il faut environ 5 mois après la réception du vaccin Covid-19 pour que ce taux de mortalité élevé se réalise.

Alors qu’une campagne de rappel massive du Covid-19 aura lieu en décembre 2021, les plus de 20 000 décès supplémentaires enregistrés depuis mai 2022 constituent une preuve supplémentaire accablante que les injections de Covid-19 mettent cinq mois à tuer.

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Mais il s’agit d’une tendance qui se dessine depuis la fin du mois d’avril 2022. Le graphique suivant, créé par l’ONS, montre le nombre de décès par semaine par rapport à la moyenne sur 5 ans depuis le début de 2020 -.

Comme vous pouvez le voir ci-dessus, l’Angleterre et le Pays de Galles ont enregistré une surmortalité pendant la majeure partie de l’année 2021 avant de tomber soudainement sous la moyenne quinquennale au début de l’année 2022. Mais cela n’est dû qu’au fait que l’ONS a décidé de modifier la moyenne quinquennale pour inclure 2021, et comme vous pouvez le voir ci-dessus, il y avait des dizaines de milliers de décès en excès en Angleterre et au Pays de Galles au début de 2021.

Cependant, comme vous pouvez également le voir ci-dessus, les décès en période de récréation ont soudainement recommencé à augmenter à un moment donné en 2022, et n’ont pas réussi à se calmer. En examinant l’ensemble des données publiées par l’ONS, nous pouvons voir quand cette hausse a commencé.

L’édition 2022 du rapport Deaths registered weekly in England and Wales peut être téléchargée ici ou consultée sur le site de l’ONS ici.

Le tableau 1 de l’ensemble de données contient les « chiffres provisoires hebdomadaires sur les enregistrements de décès en Angleterre et au Pays de Galles, enregistrés en 2021 et 2022 et les moyennes sur cinq ans ».

Depuis la semaine se terminant le 22 avril 2022, des décès excédentaires ont été enregistrés chaque semaine en Angleterre et au Pays de Galles.

Le graphique suivant montre le nombre total de décès entre la semaine se terminant le 22 avril et la semaine se terminant le 12 août, par rapport à la moyenne sur cinq ans.

Au total, 181 885 décès ont été enregistrés depuis le 22 avril. Mais le nombre moyen de décès sur cinq ans, qui inclut l’année 2021 où une surmortalité a été enregistrée toute l’année, s’élève à 161 830 décès seulement. Cela signifie qu’il y a eu 20 055 décès en excès en Angleterre et au Pays de Galles depuis la fin du mois d’avril.

La question est de savoir pourquoi.

De nouvelles preuves publiées par l’Office for National Statistics suggèrent que c’est à cause de la vaccination Covid-19.

Le 6 juillet, l’ONS a publié un ensemble de données contenant toute une série de données horribles sur les décès par statut vaccinal en Angleterre entre le 1er janvier 2021 et le 31 mai 2022.

Le tableau 1 de l’ensemble de données de l’ONS contient des chiffres sur les taux de mortalité mensuels standardisés sur l’âge par statut vaccinal pour les décès survenus entre le 1er janvier 21 et le 31 mai 22. La première injection de Covid-19 a été administrée en Angleterre le 8 décembre 2021, et voici les chiffres sur les taux de mortalité par statut vaccinal au cours des 4 mois suivants.

Tout à coup, la population vaccinée dans son ensemble était plus susceptible de mourir que les non-vaccinés de toute autre cause que le Covid-19, et cette tendance s’est poursuivie mois après mois depuis. Il s’avère également que cette tendance se vérifie chez ceux qui ont reçu les injections de Covid-19 en premier.

En Angleterre, les personnes ont été vaccinées par ordre d’âge, les plus âgées se voyant proposer l’injection de Covid-19 en premier.

Le graphique suivant montre les taux de mortalité standardisés par âge pour 100 000 personnes-années, par statut vaccinal et par groupe d’âge, pour le mois de mai 2021.

En décembre 2021, le gouvernement britannique a offert à tout le monde un vaccin « Booster » Covid-19. C’était gratuit pour tous. Devons-nous vraiment croire que ce n’est qu’une coïncidence si les mêmes données de l’ONS montrent que les taux de mortalité pour 100 000 chez les personnes triplement vaccinées ont commencé à dépasser les taux de mortalité chez les personnes non vaccinées à partir d’avril et mai 2022, soit environ cinq mois plus tard ?

Le graphique suivant montre les taux de mortalité mensuels standardisés sur l’âge en fonction du statut vaccinal chez les 40-49 ans pour les décès dus au virus Non-Covid-19 en Angleterre entre janvier et mai 2022.

Comme vous pouvez le voir ci-dessus, le taux de mortalité triple vacciné a dépassé le taux de mortalité non vacciné en mai 2022, cinq mois après la campagne de rappel Covid-19.

Le graphique suivant montre les taux de mortalité mensuels standardisés sur l’âge par statut vaccinal chez les personnes âgées de 50 à 59 ans pour les décès dus au vaccin Covid-19 en Angleterre entre janvier et mai 2022.

Une fois encore, nous constatons le même schéma. Les données de l’ONS montrent la même chose pour les trois vaccinés dans chaque groupe d’âge à partir d’avril ou de mai 2022. Tout comme en 2021, environ cinq mois après l’administration de la première vaccination.

Il n’est donc pas surprenant qu’environ cinq mois après la campagne de rappel Covid-19, l’Angleterre et le Pays de Galles aient recommencé à enregistrer une surmortalité par rapport à la moyenne sur cinq ans, avec plus de 20 000 décès excédentaires enregistrés au 12 août.

C’est parce que les injections de Covid-19 mettent environ cinq mois à tuer les receveurs.

Source : Anna-Bellas

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