Landes : l’assassin présumé d’un homme de 40 ans à Tarnos déferré devant un juge d’instruction à Mont de Marsan

L'assassin présumé d'un homme de 40 ans dimanche matin à Tarnos sera déferré ce mardi devant le pôle de l'instruction de Mont de Marsan
L’assassin présumé d’un homme de 40 ans dimanche matin à Tarnos sera déferré ce mardi devant le pôle de l’instruction de Mont de Marsan © Radio France

L’assassin présumé d’un homme dimanche à Tarnos déferré ce mardi devant un juge d’instruction à Mont de Marsan. Une information judiciaire sera ouverte. Ce trentenaire, logeant sur Biarritz, a avoué avoir tiré sur le compagnon de son ex petite amie. Il devrait être mis en examen pour assassinat.

L’assassin présumé d’un homme de 40 ans dimanche vers 5 heures du matin à Tarnos, dans une maison du quartier des Barthes, sera déferré devant le pôle de l’instruction de Mont de Marsan ce mardi matin. Il sera déferré à l’issue de sa garde à vue à la Gendarmerie de Tarnos qui s’achève à 7 heures 15.

Une information judiciaire sera ouverte dans la foulée pour assassinat et tentative d’assassinat. L’enquête pilotée jusqu’ici par le parquet de Dax est donc confiée à un juge d’instruction de Mont de Marsan.

Le juge d’instruction de Mont de Marsan va devoir s’attacher à éclaircir les motivations de l’assassin présumé. Cet homme de 31 ans, logeant sur Biarritz, a déjà avoué en garde à vue à la Gendarmerie de Tarnos avoir tiré les coups de feu mortel sur le compagnon de son ex petite amie.

Les premiers résultats de l’autopsie du corps de la victime, un homme de 40 ans, sèment le doute sur la version des faits de l’assassin présumé.

Depuis son placement en garde à vue, dimanche matin, cet homme de 31 ans, explique qu’il était dépressif depuis sa rupture avec son ex-copine il y trois semaines, il voulait se suicider devant elle.

Deux balles dans la tête, une dans le coeur

Seulement, ce chômeur, natif de Tarbes, logeant sur Biarritz, finit par tuer le nouveau compagnon de cette femme de deux balles dans le crâne et d’une balle dans le coeur. Il lui aurait peut-être même porté un coup dans la tête avec l’arme du crime, un revolver 22 long rifle. L’autopsie révèle un fracas osseux derrière le crane.

Les enquêteurs ont déjà pu démontrer que l’assassin présumé avait acheté son revolver, quelques jours seulement avant le drame, qu’il s’était entraîné avec. Et puis, avant de tirer dimanche matin, il s’introduit par la garage dans la maison de son ex, quartier des Barthes à Tarnos et il charge le barillet de son arme avec six balles. Son ex copine sera légèrement touchée au niveau du crâne.

Crime passionnel ou motivé par une dépression sur fond de rupture amoureuse ? L’enquête confiée à la brigade de recherche de la Gendarmerie de et à la brigade de Gendarmerie de Tarnos se poursuit.

Source : France Bleu

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