L’aberration des injections géniques à risque de myocardites chez les enfants innocents du Covid

(Publié par Nicole Delépine)

Par Nicole Delépine

LES ENFANTS NE RISQUENT RIEN DU COVID MAIS PEUVENT MOURIR DE L’INJECTION ANTICOVID

Refusez l’injection inutile et dangereuse !

Les enfants ne font pas de formes graves et ne transmettent pas la maladie, ni aux enfants, ni aux adultes malgré les mensonges gouvernementaux et la multiplication des tests PCR non fiables et inutiles. Le réseau sentinelle montre que les enfants ne sont toujours pas malades de ce petit virus de moins en moins dangereux avec l’arrivée du gentil OMICRON.

Le bénéfice attendu pour les enfants sans comorbidité est NUL et le bénéfice collectif nul également. Qu’attend-on de cette nouvelle maltraitance des enfants ? Conditionnement politique à la chinoise, mise en carte-pass de toute la population en attendant le puçage ?

En novembre 2021,[1] nous insistions sur les nombreuses alertes déjà parues en Israël, aux USA, en Angleterre depuis plusieurs mois sans aucune couverture médiatique. Les morts de jeunes sportifs et de carrières brisées pour les plus chanceux restés en vie s’accumulaient déjà et le cortège morbide ne fait que se confirmer.[2] Les journalistes n’ont-ils pas d’enfant, sont-ils aveugles et sourds, ou corrompus ? ou menacés de perdre leur emploi s’ils relaient des informations qui gênent leurs patrons ?

La tragédie continue[3][4]

Une nouvelle étude, menée par des dizaines de médecins et de scientifiques de plusieurs universités, hôpitaux pour enfants et écoles de médecine des États-Unis, a été publiée dans le journal « Circulation » de l’American Heart Association (AHA) le 6 décembre 2021.

98 % de toutes les myocardites chez l’enfant sont liées à l’injection.

Les chercheurs ont enquêté sur 139 enfants et jeunes adultes avec 140 épisodes de myocardite suspectée, dont 49 confirmés et 91 probables (sexe masculin 126, âge médian 15,8 ans), injection de Pfizer responsable de 131 (94 %), 128 (92 %) survenus après la deuxième dose.

Le symptôme le plus courant était la douleur thoracique, survenant chez 99 % des patients ; 26 patients (19 %) ont été admis en soins intensifs en raison de la maladie.

En Grande-Bretagne, selon le UK Medicine Regulator, la MHRA, au 17 novembre 2021, 686 (6860) cas de myocardite et 578 (5780) cas de péricardite ont été signalés comme effets indésirables des injections.

 Cela fait partie des 18 354 (183 540) troubles cardiaques signalés avec 290 décès (2900). Cependant, on sait qu’il y a une sous-déclaration flagrante des effets indésirables, la MHRA indiquant auparavant que seulement 10 % des effets indésirables sont signalés. 

Le 29 novembre 2021, l’Agence britannique de sécurité sanitaire (« UKHSA ») a reconnu, après la FDA et l’EMA que les troubles cardiaques sont un des risques des injections de Covid.

 L’UKHSA a publié des directives cliniques pour dépistage et traitement des myocardites et de péricardites associées aux injections antiCovid. l’UKHSA énumère quelques points importants. Le cinquième étant qu’un pourcentage élevé d’enfants hospitalisés souffrent de myocardite.

Début septembre, le Comité conjoint sur la vaccination et l’immunisation (« JCVI ») n’avait pas été en mesure de justifier sa proposition de l’injection expérimentale aux enfants. On sait que les enfants souffrent rarement d’une maladie Covid-19 grave, et encore moins qu’ils perdent la vie, et les injections de Covid-19 n’empêchent pas l’infection ou la transmission. La décision du médecin-chef d’Angleterre Chris Whitty et de ses collègues d’injecter des enfants, et la décision du gouvernement de la mettre en œuvre étaient sans précédent. Avant cela, les conseils du JCVI avaient toujours été suivis.

Mais sous prétexte d’Omicron pourtant inoffensif de l’aveu même de la ministre anglaise, le conseil a été modifié et tous les enfants de plus de 12 ans se verront désormais proposer une deuxième dose, bien que les autorités sachent que les enfants sont beaucoup plus susceptibles de souffrir de myocardite après la deuxième dose, comme le confirme la nouvelle étude, publiée par l’American Heart Association. Vont-ils modifier leurs recommandations après l’aveu du Premier ministre et l’annulation des restrictions prévues ?

le Professor Salim Abdool Karim précédent responsable du Covid en Afrique du Sud pays qui a le premier détecté ce variant et qui vit avec depuis plus d’un mois a été très rassurant :

Nous voyons plus de cas asymptomatiques. Nous voyons maintenant moins de malades. Moins de malades nécessitent une hospitalisation et parmi ceux qui sont hospitalisés très peu ont besoin d’oxygénothérapie, encore moins ont besoin de soins de réanimation et encore moins en meurent !

Dans les faits, la semaine dernière en’Afrique du Sud, l’admission à l’hôpital n’a été nécessaire que dans 1,7 % des cas de Covid Omicron lors de la seconde semaine de la maladie contre 19 % lors de même semaine de la vague du Delta.

Omicron traite à la secte des covidistes ne veut pas alimenter la panique. Boris Johnson craque et annule les restrictions prévues pour Noël.

Radio-Québec revient l’interview de cette journaliste de Sky News qui en posant les bonnes questions à la ministre de la santé britannique l’oblige à dévoiler la nature très bénigne du variant Omicron dans son pays ; pour 80 000 cas dépistés chaque jour, dont 75 % d’Omicron :

dix malades hospitalisés, aucun en réanimation et 1️ mort (avec l’Omicron).

N’ayez pas peur d’Omicron qui constitue un cadeau de Noël susceptible de nous sortir du coronacircus en assurant enfin l’immunité de groupe que les pseudo vaccins sont incapables de fournir.

N’ayez pas peur d’Omicron qui ne peut faire de mal à votre enfant

Craignez plutôt l’injection qui peut le tuer !

Source : Nouveau monde

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