La troisième guerre mondiale. Maintenant qu’on sait, on fait quoi ?

Par WD

Il est révolu le temps où la connaissance du pouvoir ploutocratique qui veut diriger le monde n’était que le domaine privilégié des complotistes. Tout le monde connaît les raisons et le cheminement de la volonté hégémonique des milliardaires occidentaux pour atteindre ce but. Pour mémoire, la méthode autocrate utilise certes parfois la guerre directe, mais surtout la corruption, la subversion, les révolutions et les conflits sous faux drapeaux. Si l’herbe ne repoussait plus après le passage d’Attila, le chaos s’installe systématiquement après l’intervention de l’ineffable yankee qui se veut « gendarme » du monde.

À ce jour, nous sommes en Europe au seuil de notre effondrement. Au-delà de la porte déjà grande ouverte, la misère et les drames humains nous projettent des jeux d’ombre peu ragoûtants. La vision de Dante nous y attend.

La désagrégation sociale, les frasques de l’exécutif, la soumission aux volontés de Washington et donc la disparition de notre souveraineté émotionnent la France. La lucidité vient trop tard. Nous sommes poings et mains liés à la volonté américaine qui se résume aux délires mortifères d’une poignée de milliardaires. Ce constat fait déjà parti du passé. Nous n’avons pas su nous défendre depuis 50 ans, tant pis pour nous. Le pire nous attend. En effet, nous allons à pas cadencé vers la troisième guerre mondiale.

Pour Jean-Louis Bourlanges, président de la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale, l’envoi de chars occidentaux à l’Ukraine n’est pas un acte de co-belligérance. « l’accusation de Moscou est totalement injustifiée ». Il nous prend pour des truffes le gars ou est-il un rat de bibliothèque qui préfère manger les livres plutôt que de les lire ? Nous sommes en guerre contre la Russie depuis au moins les accords de Minsk, du propre aveu de Hollande et de sa camarade de jeu Merkel.

Depuis le début de l’opération spéciale, l’Europe et la France financent l’Ukraine au détriment de notre prospérité sociale et économique. Ces deux entités aux ordres de Washington fournissent des armes et des hommes. Elles sont dans une logique de guerre : propagande, appropriation des biens des ressortissants supposés ennemis, censure, embargos, sanctions économiques et sabotages. Nous sommes bien en guerre. Certes, nous ne le sommes pas encore en confrontation directe militairement parlant. Les pauvres Ukrainiens sont pour le moment sacrifiés, mais ça ne durera pas comme les impôts. Tôt ou tard, le bruit des canons se feront entendre dans notre périphérie. Il est à noter que les Ukrainiens meurent stupidement pour un pays qui ne leur appartient plus depuis l’appropriation ploutocratique américaine en 2014.

Macron nous avait prévenu, « nous sommes en guerre ». Tout le monde crut qu’il parlait de la pandémie, mais sa projection était bien de nous accoutumer aux conditions de vie en temps de guerre. Ce fut une simulation grande nature. Restrictions, surveillance de nos mouvements, couvre-feu, outrance de la censure, définition des gens non indispensables, muselage des esprits rétifs, favoriser la délation, assujettissement du collectif à des mesures ubuesques pour mesurer notre soumission et militarisation des forces de l’ordre, voilà notre formatage.

Macron n’est plus écouté à force de noyer le poisson. Pourtant il nous a bien dit que des sacrifices devront être faits « pour notre liberté ». Il ajoute que « l’abondance est finie » et pour cause. Il nous envoie des messages comme quoi il envisage de revenir à la conscription obligatoire et à doubler le nombre des réservistes. Son augmentation significative du budget militaire qui prend à contre-pied des décennies de coupes drastiques dans ce secteur prouve qu’il y a une projection conflictuelle.

Nous sommes en guerre, même les emmasqués de la rue, à défaut de l’admettre, le redoute. Ce n’est qu’une question de temps pour sauter allègrement dans l’affrontement armé. À travers le nombre exponentiel de manœuvres militaires conjointes de par le monde, nous pouvons déduire deux choses : les alliances acquises et que le monde entier s’apprête à la grande bagarre. Qui croit encore que l’Europe c’est la paix et la prospérité ?

En attendant, il y a peu de personnes qui manifestent contre le déroulé vindicatif qui est sous nos yeux. Êtes-vous prêts à mourir pour un futur paradigme sociétal qui en aucun cas ne vous sera favorable ?

Perso, crever pour Soros et consorts ne m’enthousiasme guère.

Source : WD

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