LA SURMORTALITE 2022 NE CONCERNE QUE LES VACCCCXXXXINES C’EST UNE COINCIDENCE DE PLUS/les secrets bien gardés des décès selon le statut vaccinal

Publié le 20 janvier 2023 par pgibertie

Personne ne conteste la surmortalité que les média ne veulent pas expliquer . Il suffirait pour trouver une réponse de comparer les décès toutes causes selon le statut vaccinal . Des parlementaires responsables exigeraient une publication de ces données mais tous ont peur de la vérité car la catastrophe est malheureusement trop importante

Les Britanniques ont fourni ce type de statistiques pour le premier trimestre 2022 et les résultats étaient stupéfiants :PEU IMPORTE L’AGE LA MORTALITE DES BOOSTES EST PLUS ELEVEE QUE CELLE DES NON VACCINES et de mois en mois c’est plus évident

1 Liens potentiels entre les doses injectées “anti-Covid-19″ et la surmortalité en Europe | FranceSoir

https://francesoir.fr/opinions-tribunes/liens-potentiels-entre-les-doses-injectees-anti-covid-19-et-la-surmortalite-en#.Y8kuSaQiIlo.twitter

la surmortalité 2022 concerne les jeunes vacccxxxxinés: covid et canicule hors de cause

– Pour toutes les tranches d’âge, les graphiques montrent qu’un grand nombre de doses ont été injectées pendant les pics de décès.

– Il existe une relation entre les injections des femmes enceintes qui peuvent se faire injecter, à partir de mai 2021, avec un pic en juillet 2021 et le décès de prématurés.

– Les deux pics d’injections des années 2021 et 2022 semblent induire des pics de mortalité pour toutes les tranches d’âge.

– En décalant les pics d’injections dans le temps, ils se superposent presque systématiquement aux pics de décès.

Un cas particulier a pu être mis en évidence pour la tranche d’âge 0-14 ans, où la vaccination des femmes enceintes semble s’accompagner d’effets désastreux sur les futures naissances et notamment le nombre anormal des décès d’enfants prématurés. Ce cas particulier est, par ailleurs, corroboré par trois autres études citées dans le paragraphe 0-14 ans.


-Pour répondre sans ambiguïté aux questions posées dans cette étude, le statut vaccinal des personnes décédées, toutes causes confondues, serait indispensable. Malheureusement, les pays européens ne semblent pas être prêts à rendre publiques ces données, ou tout du moins, à rendre publiques les bases de données qui permettraient simplement de constituer cette base pourtant réclamée par de nombreuses personnes (voir article FranceSoir).

Les statistiques des personnes décédées ou hospitalisées depuis décembre 2020 selon leur statut vaccinal anti-Covid n’existent pas ! Telle est la réponse stupéfiante faite, il y a quelques jours, par le ministère de la Santé à Laurent Toubiana, chercheur épidémiologiste à l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale). Directeur de l’équipe SCEPID (Système complexes et épidémiologie) et de l’IRSAN (Institut pour la valorisation des données de santé), Laurent Toubiana demandait depuis maintenant plus d’un an à avoir accès à ces chiffres dans le cadre de l’étude SurViVax menée dans le cadre du SCEPID. En effet, dès le début de la campagne vaccinale, en janvier 2021, des débats ont eu lieu autour de l’efficacité des nouveaux vaccins à ARNm. Des interrogations légitimes ont rapidement vu le jour dans la population, dans la mesure où le vaccin devait être administré à très grande échelle et sans recul sur d’éventuels effets indésirables.

Les seules études disponibles sur l’efficacité de ces vaccins, en amont de leur large distribution dans la population, sont celles publiées par les laboratoires pharmaceutiques qui produisent les vaccins. Or, la suite des événements a montré que ces études étaient particulièrement optimistes, voire douteuses au regard des résultats constatés (on rappelle les 95 % d’efficacité promis). De fait, sans validation externe et indépendante, nous sommes devant un cas typique de conflits d’intérêts mais, étonnamment, les autorités sanitaires n’ont pas semblé s’en inquiéter. Au contraire, le principe de précaution, assurément applicable en l’espèce, a été bafoué alors qu’il a été brandi avec force lorsqu’il s’agissait d’enfermer toute la population dans le cadre des confinements et autres mesures pharaoniques mises en place au cours de deux années de crise.   

Dès le début des campagnes de vaccination, jamais autant d’effets indésirables n’ont été déclarés pour des injections vaccinales auprès des centres de pharmacovigilance français, européens et américains. Les autorités répondent que corrélation n’est pas causalité et que ces effets indésirables peuvent être le fruit du hasard, sans lien avec la vaccination, sans toutefois produire les documents nécessaires à une analyse indépendante. L’immensité du nombre d’effets indésirables graves et de décès déclarés depuis le lancement de la campagne vaccinale Covid, comparée au nombre habituel d’effets déclarés pour tous les vaccins habituels (non Covid) depuis des décennies, balaye pourtant cet argument.

C’est la réponse à cette interrogation essentielle pour les Français que visent les travaux du SCEPID sur le sujet. Les statistiques d’hospitalisations et de décès toutes causes en fonction du statut vaccinal peuvent éclairer scientifiquement cette question. Or pour y répondre, il est nécessaire d’obtenir ces données qui, bien entendu, existent. Même si des données de ce type ne sont habituellement pas disponibles pour le grand public, la loi a prévu que la CADA devait les fournir à la demande des citoyens, a fortiori s’il s’agit de chercheurs voulant se saisir de cette question. 

2 LES STATISTIQUES DE DECES SELON LE STATUT VACCINAL ONT ETE PUBLIEES EN GB avant juillet2022

cet article mérite d’être relu cliquez ci dessous

PEU IMPORTE L’AGE LA MORTALITE NON COVID DES BOOSTES EST BIEN PLUS ELEVEE QUE CELLE DES NON VACCINES

Publié le 13 août 2022 par pgibertie

Le diable se cache dans les statistiques officielles. Ne recherchons plus dans les décès covid par statut vaccinal, elles sont soit non publiées (France depuis quelques semaines) soit faussées par la sous estimation du nombre de non vaccinés et surtout le classement des malades dans les 15j qui suivent l’injection parmi les non vaccinés.

Il faut être patient et plus subtil , s’interesser aux décès toutes causes et les ramener ensuite au statut vaccinal etpour 100 000 personnes années

LES DONNEES SUIVANTES METTENT LES 3 ET 4 DOSES DANS LA MEME CATEGORIE

Le travail effectué par THE EXPOSE est sans appel…

PEU IMPORTE L’AGE LA MORTALITE NON COVID DES BOOSTES EST PLUS ELEVEE QUE CELLE DES NON VACCINES MAI 2022

Pour 100000 personnes année

21,4 contre 14 pour les 18/39 ans

58 contre 82 pour les 40/49 ans

282 contre 332pour les 50/59

831 contre 1801 pour les 60/69

2081 contre 9417 pour les 70/79

5489 contre 14000 pour les 80/89

13000 contre 17000 pour les plus de 90 ans

CE QUI EST VRAI POUR LES DECES TOUTES CAUSES EST VRAI POUR LES DECES COVID

Royaume-Uni: « L’efficacité vaccinale (VE) de la troisième dose a été négative depuis le 20 décembre 2021, avec une proportion significativement plus élevée de cas, hospitalisations et décès liés au SRAS-CoV2 parmi les vaccinés. »

Il n’y a pas d’efficacité vaccinale discernable parmi la population âgée de ≥18 ans, vaccinée par la troisième dose depuis le début de la vague du variant Omicron.

https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2022.06.28.22276926v1

Augmentation des cas de SRAS-CoV2, des hospitalisations et des décès parmi les populations âgées vaccinées pendant la poussée de la variante Omicron (B.1.1.529) au Royaume-Uni.

Davos 2023 : Stéphane Bancel, patron de Moderna, critique le débat démocratique sur les vaccins et l’influence des réseaux sociaux

https://t.co/wjXNii2ln8

Source : PGibertie.com

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Si tous les boomers qui ont voté Macron font bien leur injection trimestrielle il sera possible de revenir rapidement à la retraite à 60 ans , les Japonais montrent l’exemple

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