La grande escroquerie de la fiscalité écologique

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Les chiffres non contestables de la production de gaz carbonique mettent en évidence l’escroquerie gouvernementale, la fiscalité punitive sur le carburant n’a pas de finalité écologique… La France émet 40% de CO2 de moins qu’en 1980. Le transport routier en France représente 0,1% de l’émission mondiale de CO2 et l’essence en produit plus que le diésel .Particules fines : l’essence autant que le diésel mais les véhicules électriques sont aussi responsables

 

Y Aurait-il urgence à augmenter les taxes pour sauver la planète ?.

La production de gaz carbonique ou co2 est indéniablement liée à l’ activité humaine, personne ne le conteste. Depuis 1960 elle a été multipliée par huit ce qui est étroitement indissociable du développement.

Oui il y a urgence mais aux Etats Unis ou en Chine :à pékin l’air contient vingt fois plus de particules fines qu’à Paris et la production de CO2 est trente fois supérieure à la notre

La France n’émet pas plus de CO2 qu’en 1960 , la baisse est de 40% depuis 1980

La France sauvera-t-elle la planète ? Elle représente …0 ,8% de la production mondiale de CO2 ; même si Jupiter nous appelle au sacrifice suprême notre disparition n’aura aucun impact.

Le tableau ci-dessous démontre que notre pays ne produit pas plus de CO2 qu’en 1960…

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Renchérir le coût de l’énergie dans notre pays relève du sado masochisme, car elle entraine une perte de compétitivité de nos entreprises et tout cela pour rien …

Le problème est ailleurs :

La Chine fabrique nos panneaux solaires, elle s’est fortement industrialisée, les Chinois le paient au prix fort avec une pollution délirante. L’émission de CO2 a été multiplié par 15 depuis 1960 et ce seul pays représente près du tiers du total mondial..

CHINE

Peu peuplés les pays du golfe représentent neuf fois plus d’émission que la France.

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Les Etats Unis, la Chine et les pays du golfe représentent la moitié de l’émission mondiale de CO2

Et Daniel Cohn Bendit en plein naufrage sénile félicite les Etats-Unis pour avoir inventé une file réservée au covoiturage…

Pourquoi faire du massacre des automobilistes français la solution pour la planète ?

 

Le transport routier en France représente 0,1% de l’émission mondiale de CO2 et l’essence en produit plus que le diésel

Les transports ne représentent que 13% de la production de CO2 deux fois moins que l’électricité et le chauffage domestique.

Le bilan Carbone de la production d’un kilo de tomates est le même que 20km en voiture diésel. Produire un ordinateur a les mêmes effets que parcourir 1500km en voiture

Tout dépend de la source d’énergie utilisée et nos amis allemands dont des choix surprenants

Emission de CO2 moyenne pour la fabrication et l’installation d’un panneau solaire rapport avec les autres sources d’énergie :

Panneaux solaires : 20 à 150 grammes de CO2 par kilowattheure produit (cela dépend de l’énergie utilisée lors de la fabrication.) et en Chine on utilise du charbon.

Eolien : 3 à 22 grammes

Nucléaire : 6 grammes

Hydraulique : 4 grammes

Charbon : 800 à 1050 grammes

Faut-il changer de voiture ?

La voiture électrique est-elle la solution ?

Sa fabrication et celle de ses batteries ont un bilan catastrophique, surtout si l’on utilise du charbon pour produire de l’électricité.

La comparaison essence diésel révèle des surprises :

https://www.challenges.fr/automobile/dossiers/le-diesel-emet-il-plus-de-co2-que-l-essence_500390

L’explication est à trouver, selon les experts, dans le basculement du marché de l’essence vers le diesel. En 2017, les ventes de diesel ont baissé de 5 points et représenté 47,3 % du marché.La motorisation diesel émet 20% de CO2 en moins par rapport aux moteurs à essence.

Pour le CCFA (Comité des constructeurs français d’automobiles), l’urgence est avant tout d’ »éradiquer les véhicules de plus de quinze ans, qui représentent le tiers du parc roulant en France, ce qui permettrait de faire baisser de 50 % les émissions de particules« .

La pollution liée au diesel n’est pas supérieure à celle des moteurs essence.

Particules fines : l’essence autant que le diésel mais les véhicules électriques sont aussi responsables

Contrairement aux idées reçues, les véhicules diesel ne sont pas les seuls émetteurs de particules fines à la sortie du pot d’échappement ; les nouveaux véhicules essence à injection directe contribuent également à ces émissions.

De leur côté, les véhicules essence étaient traditionnellement très faiblement émetteurs de particules. Mais l’introduction des technologies d’injection directe en essence (IDE) à partir de 2007, destinées à réduire la consommation de carburant, a changé la donne.

Ces véhicules émettent en effet davantage de particules fines, en particulier à froid et lors de fortes accélérations.

Or en 2016, les véhicules essence à injection directe représentaient 43 % des ventes de véhicules essence en Europe, affichant une nette progression. Et ces modèles se généralisent sur les gammes essence, une évolution qui explique en partie le nombre croissant de particules fines présentes dans notre atmosphère.

En 2015, la norme Euro 6b a étendu cette limitation aux moteurs essence, dont le seuil pour les émissions de particules en nombre devient donc identique à celui des véhicules diesel.

En fait, ce sont tous les véhicules, quel que soit leur système de propulsion, qui génèrent de telles particules ; tout simplement parce qu’une bonne part d’entre elles provient de l’abrasion des pneumatiques et des freins. Celles-ci représentent ainsi près de la moitié du total des émissions liées au transport routier dans les zones urbaines.

 

En 2015, l’Observatoire de la qualité de l’air en Île-de-France estimait que 41 % des particules fines en suspension émises par le trafic routier francilien provenaient de ces émissions hors échappement. Et, contrairement aux particules à l’échappement diesel, ces émissions de particules liées à l’abrasion n’ont diminué que de 5 % sur la période 2000-2012.

 

Ces niveaux dépendent de nombreux facteurs : caractéristiques du véhicule (masse, pressions de pneumatiques, etc.), profil de la route (sinuosité, pente, dévers), style de conduite (intensité des freinages et accélération, vitesse en courbe), conditions ambiantes (températures, pluie, neige, etc.) ou encore type de revêtement de la route.

https://theconversation.com/pollution-de-lair-diesel-essence-ou-electrique-tous-les-vehicules-emettent-des-particules-fines-95336

En décembre 1952, la ville de Londres fut touchée par une très forte pollution atmosphérique – « The big smoke » – provoquée par les fumées industrielles, les logements chauffés au charbon, et favorisée par le froid et l’absence de vent. Cet épisode, qui provoqua la mort de 4 000 personnes, déclencha une prise de conscience sur les dangers réels de l’air pollué.

 

Depuis une vingtaine d’années, les pays les plus riches mènent des actions pour réduire les sources de pollution en remplaçant le charbon par d’autres combustibles moins polluants, en réglementant les rejets industriels, automobiles, chimiques, agricoles, en se dotant d’outils de mesure et en informant la population. Si l’on note une baisse non négligeable de certaines substances chimiques en Europe, la qualité de l’air de certaines régions et grandes villes reste pourtant insatisfaisante.

 

En revanche, la pollution de l’air ne cesse de s’accroître dans les pays les plus pauvres et ceux en développement. Le niveau de particules fines en milieu urbain à l’échelle de la planète a progressé de 8 % au cours des cinq dernières années. La carte interactive de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) nous montre que les régions les plus polluées se situent en Afrique, au Proche et Moyen-Orient et en Asie. Les villes les plus polluées se trouvent au Pakistan (Peshawar et Rawalpindi) et au Nigeria (Kaduna et Onitsha), avec des niveaux dépassant 500 microgrammes par mètre cube. Par comparaison, le niveau est de 28 microgrammes par mètre cube à Paris.

Source : Agoravox

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