La crise sanitaire vue par un archevêque catholique

L’Abbé Viganò dit que la vérité l’emporte sur la peur : le covid-19, le vaccin et le Great Reset.

https://www.lifesitenews.com/opinion/abp-vigano-on-truth-over-fear-covid-19-the-vaccine-and-the-great-reset/

Cette crise sert à créer les conditions nécessaires pour rendre inévitable le Great Reset, c’est-à-dire le passage du monde basé sur la civilisation gréco-romaine et le christianisme à un monde sans âme, sans racines, sans idéaux. En pratique, c’est le passage du Royaume du Christ au Royaume de l’Antéchrist

25 mars 2021 (LifeSiteNews)

Ce que nous avons appris jusqu’à présent sur la pseudo-pandémie nous donne l’image d’une réalité inquiétante et d’une conspiration criminelle encore plus inquiétante ourdie par des esprits égarés. Cette réalité, cependant, n’est pas prise en considération par ceux qui, hypnotisés par l’endoctrinement médiatique, persistent à considérer une grave grippe saisonnière comme un fléau pandémique, les traitements connus comme inefficaces, et les prétendus vaccins reconnus inutiles et nocifs comme rien moins que miraculeux.

La réputation des entreprises pharmaceutiques

Nous savons que les géants de l’industrie pharmaceutique – AstraZeneca, Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson – non seulement n’ont pas suivi les protocoles ordinaires de test des médicaments, mais qu’ils ont une longue histoire de condamnations pour avoir précédemment causé de graves dommages à la population, en distribuant des vaccins dont il a été révélé qu’ils provoquaient des maladies invalidantes.

Les conflits d’intérêts

Nous connaissons les conflits d’intérêts gigantesques qui existent entre les entreprises pharmaceutiques et les organismes chargés de leur contrôle : dans de nombreux cas, les employés de ces entreprises sont passés par les entités qui doivent approuver et autoriser l’utilisation des médicaments, et il est difficile d’imaginer que ceux-ci – qui continuent souvent à avoir des liens professionnels avec Big Pharma – aient la liberté de procéder à une évaluation juste et prudente. En effet, nous venons de voir récemment avec le cas d’AstraZeneca en Europe que la nocivité évidente du soi-disant vaccin – qui a conduit certaines nations à suspendre sa distribution – n’est pas considérée comme une raison suffisante par l’EMA (Agence européenne des médicaments) pour en interdire l’adoption. Les récentes découvertes sur les effets secondaires graves ont été conçues pour exclure la majorité des cas et surtout pour ignorer délibérément la relation de cause à effet entre l’inoculation du vaccin et ses effets secondaires à court ou long terme.

L’immunité contre les effets secondaires

On sait qu’au mépris de tout principe juridique et de la protection de la population, les laboratoires pharmaceutiques ont exigé une immunité totale pour les dommages pouvant survenir aux patients, à qui l’on demande de signer une décharge avec leur consentement éclairé. Ainsi, en plus des profits scandaleux tirés de la vente des vaccins, les multinationales pharmaceutiques garantissent leur propre impunité pour une opération criminelle, menée avec la complicité des institutions internationales et des gouvernements.

Le secret sur les clauses contractuelles

Nous savons que les clauses contractuelles des accords passés par les nations et par l’Union Européenne avec ces entreprises pharmaceutiques sont inaccessibles et secrètes : même les parlementaires et les représentants politiques ne peuvent pas voir les clauses qu’ils ont dû approuver dans une boîte scellée. Et nous savons que ces mêmes entreprises pharmaceutiques non seulement n’assument aucune responsabilité pour les effets secondaires, mais déclarent également qu’elles ne garantissent même pas leur efficacité à fournir une immunité contre le virus.

L’origine chinoise du virus

On sait que le virus du SRAS-CoV-2 a très probablement été produit en laboratoire, avec la complicité de la dictature chinoise. La Chine étant l’un des principaux financeurs de l’OMS après la Fondation Bill & Melinda Gates, elle a pu empêcher toute enquête sur l’origine du virus ou les premiers stades de sa propagation.

La complicité du personnel de santé

Nous savons que toutes les nations, à de très rares exceptions près, ont immédiatement adopté les protocoles sanitaires les plus absurdes émanant de l’OMS, à commencer par la décision malheureuse de ne pas traiter les malades dès l’apparition des premiers symptômes, et de les soumettre à une ventilation profonde une fois que le syndrome grippal a dégénéré en pneumonie aiguë bilatérale. Et cela s’est produit avec l’exécrable complicité du personnel de santé – des médecins au personnel hospitalier – provoquant des milliers de morts non pas à cause de la COVID, comme nous le disent les grands médias, mais à cause d’un traitement incorrect.

Délégitimation et boycott des traitements disponibles

Nous connaissons également la campagne furieuse contre l’efficacité des traitements déjà existants, depuis l’utilisation de plasma hyperimmun jusqu’à l’utilisation de médicaments que de nombreux médecins, bien que violant les normes sanitaires imposées pendant ces mois, ont jugé de leur devoir d’administrer à leurs patients, avec succès. Et il n’est pas difficile de comprendre que le faible coût des traitements, le fait que beaucoup d’entre eux ne sont pas soumis à des brevets, et surtout leur efficacité immédiate dans le traitement représentent pour les entreprises pharmaceutiques et leurs complices une raison plus que suffisante pour s’y opposer et les discréditer, jusqu’à en interdire l’usage.

Un projet planifié depuis des années

Nous savons que pour mener à bien cette opération criminelle – puisqu’il faut parler de crime contre Dieu et contre l’humanité, et non d’un simple destin malheureux – il a fallu des années de planification, menées de manière systématique, afin d’affaiblir les plans nationaux de lutte contre la pandémie, de réduire drastiquement le nombre de lits dans les hôpitaux et les unités de soins intensifs, de créer une masse d’employés aveugles, sourds et muets, qui n’étaient plus médecins et qui faisaient passer leur propre sécurité au travail avant leur devoir de soigner les malades. Le serment d’Hippocrate a été violé au nom du profit des entreprises pharmaceutiques et de la poursuite d’un projet d’ingénierie sociale.

L’implication du système de santé

On sait que pour obtenir la complicité des médecins et des scientifiques, on a eu recours non seulement au système de corruption et de conflits d’intérêts qui existe depuis des décennies, mais aussi à la distribution de prix et de primes en espèces. Pour donner un exemple, en Italie, un médecin spécialiste reçoit 60 euros par heure pour administrer des vaccins dans les centres de vaccination ; les médecins généralistes reçoivent des primes pour chaque patient qu’ils ont vacciné ; un lit en soins intensifs est payé environ 3000 euros par jour par le service national de santé. Il est évident que ni les médecins généralistes, ni le personnel hospitalier, ni les agences régionales de santé n’ont intérêt à se priver d’énormes revenus, après que la santé publique ait été démolie au cours de la dernière décennie au nom de la réduction du gaspillage imposée par l’Union européenne. Pour donner une idée, l’Italie a reçu 72 invitations de Bruxelles à fermer tous les petits hôpitaux qui, aujourd’hui, sous le prétexte de la pandémie, ont été rouverts et financés avec des fonds que l’UE alloue à titre de prêt avec des contraintes et des conditions qui, à d’autres moments, auraient été jugées inacceptables. Pourtant, ces hôpitaux ont bien fonctionné, permettant d’offrir un service étendu aux citoyens, et ils ont pu éviter la propagation des maladies.

Le rôle fondamental des médias

Nous savons que des nations ont accordé des financements aux médias, afin de contribuer à l’information sur le COVID. En Italie, le gouvernement de Giuseppe Conte a alloué des sommes importantes pour que le système d’information national donne une version alignée de la pandémie, et a censuré toute voix dissidente. La diffusion des données sur les infections et les décès a été grossièrement manipulée, suggérant que toute personne ayant un résultat positif au test doit être considérée comme malade, même si les asymptomatiques ne sont pas contagieux – de l’aveu même de l’OMS et des organismes analogues aux États-Unis, au Canada, en Australie, etc. Et à côté de ces financements gouvernementaux, dans de nombreux cas, le conflit d’intérêts avec les entreprises pharmaceutiques a pu également interférer dans les choix des diffuseurs et des journaux, d’une part parce que BigPharma représente l’un des principaux acheteurs d’espaces publicitaires, et d’autre part parce qu’elle est présente dans les conseils d’administration des sociétés d’information. Il est difficile de croire que le rédacteur en chef d’un journal, même s’il est persuadé que la pandémie est une fraude, oserait aller à l’encontre du PDG ou priver le journal des bénéfices publicitaires de Pfizer ou Johnson & Johnson.

La responsabilité des réseaux sociaux

On sait qu’en plus de la complicité des médias, la machine infernale des médias sociaux, de Facebook à Twitter, de Google à YouTube, a mobilisé une opération de censure éhontée et scandaleuse, jusqu’à effacer les profils d’éminents scientifiques et de journalistes reconnus, pour la seule raison qu’ils n’obéissaient pas aux diktats du récit du COVID. Même dans ce cas, il n’est pas surprenant de découvrir les relations économiques et de parenté existant entre ces multinationales colossales, qui sont devenues au fil du temps les propriétaires de l’information et les arbitres de qui a le droit à la liberté d’expression et qui ne l’a pas.

Cui prodest ? – Qui profite ?

Nous savons aussi qui sont les premiers bénéficiaires de la pandémie, en termes économiques : les usuriers des banques, qui ont le pouvoir de maintenir à flot les entreprises idéologiquement alignées, et en même temps de faire échouer les petites entreprises si elles constituent un obstacle gênant à l’établissement du Nouvel Ordre Mondial. Ces petites entreprises, répandues surtout sur le Vieux Continent et en particulier en Italie, constituent le tissu social et l’identité économique de nombreuses nations. Leur large diffusion dérange les multinationales de la grande distribution, d’Amazon à JustEat, qui, pendant la période de blocage, ont augmenté leurs profits de manière scandaleuse, au détriment des activités commerciales normales, car ce livre que nous avions l’habitude d’acheter à la librairie du coin doit maintenant être commandé en ligne, tout comme le déjeuner, le toner de l’imprimante et le détergent pour lave-vaisselle. Cette « nouvelle économie » s’est imposée avec arrogance en quelques semaines seulement l’année dernière, grâce à la fermeture simultanée des magasins et à l’obligation de rester à la maison qui ont été imposées aux citoyens.

Éducation

Nous savons que la nécessité d’endoctriner les jeunes générations ne pouvait pas exclure de ce plan l’enseignement scolaire et universitaire, qui est aujourd’hui dispensé par « l’enseignement à distance » avec des conséquences psychologiques très graves pour les enfants et les jeunes. Cette opération jette aujourd’hui les bases pour qu’un jour l’enseignement offert via internet puisse être unifié, décidant quels professeurs sont autorisés à donner des cours et ce qu’ils doivent dire, et je ne serai pas surpris si bientôt cette forme d’enseignement aligné comprend un nombre de plus en plus restreint de professeurs : un seul professeur d’histoire pour tous les élèves d’une nation, avec un programme étroitement défini et contrôlé. Il ne s’agit pas d’une réalité lointaine, lorsque chaque élève sera obligé de se connecter en ligne et ne pourra plus faire appel à un professeur de sa propre école, mis à la retraite ou retiré de l’enseignement parce qu’il ne se conforme pas aux ordres du pouvoir. Nous ne pouvons pas non plus être surpris si les nouveaux enseignants sont des hologrammes qui élaborent des algorithmes, ou des intelligences artificielles inquiétantes qui endoctrinent des millions de jeunes dans la théorie du genre, la doctrine LGBT, et toutes les aberrations morales que nous avons anticipées ces dernières années.

Les promoteurs de la pandémie

Nous savons qui sont les théoriciens de la pandémie comme instrumentum regni, de Bill Gates à George Soros, dans un réseau de complicité d’intérêts si vaste et organisé que toute mesure d’opposition est pratiquement impossible. À leurs côtés, nous trouvons le répertoire le plus inquiétant d’organisations dites philanthropiques et de lobbies de pouvoir, comme le Forum économique mondial avec Klaus Schwab, l’OMS et toutes ses branches nationales, la Commission trilatérale, le groupe Bildeberg, le Conseil pour le capitalisme inclusif dirigé par Lady Lynn Forester de Rothschild sous la direction spirituelle de Bergoglio et, plus généralement, la phalange de multinationales, de banques et de groupes de pouvoir qui font partie de ce dôme de conspirateurs. Ne soyez pas surpris si, en parfaite cohérence avec leurs plans, les sectes et les mouvements satanistes mondiaux se mobilisent également, à commencer par l’Église de Satan qui exalte l’avortement comme rituel propitiatoire pour la fin de la pandémie, exactement comme BigPharma exige des pseudo-vaccins produits avec des cellules de fœtus avortés.

Asservissement de la hiérarchie catholique

Enfin, nous savons – et c’est certainement l’aspect le plus choquant – qu’une partie de la hiérarchie catholique est également présente dans ce plan, qui trouve en Jorge Mario Bergoglio un prédicateur obéissant du récit de la pandémie et le principal sponsor des vaccins, qui n’a pas hésité à les définir comme « un devoir moral », malgré les très graves préoccupations éthiques et religieuses qu’ils soulèvent. Bergoglio est même allé jusqu’à se faire interviewer par le vaticaniste Domenico Agasso, dans une conversation contenue dans un livre intitulé Dio e il mondo che verrà, pour recommander aux masses l’administration du sérum génétique et fournir une caution autoritaire et malheureuse à l’idéologie du mondialisme. Et depuis mars 2020, le Saint-Siège s’est montré parfaitement aligné sur le plan mondialiste en ordonnant la fermeture des églises et la suspension de la célébration et de l’administration des sacrements. Si cela ne s’était pas réellement produit, et qu’au contraire une forte condamnation de ce projet antihumain et antichristique avait eu lieu, les plus hautes instances de l’Église auraient eu du mal à accepter de soumettre les multitudes à des limitations absurdes de leurs libertés naturelles, au nom d’un asservissement non seulement idéologique mais évidemment aussi économique et social.

N’oublions pas que, en contrepartie de la perte de fidèles dans les églises et de la réduction drastique des offrandes pour les conférences épiscopales qui en résulte, il doit nécessairement exister une forme alternative de financement qu’il ne nous faudra pas longtemps pour découvrir. Je pense que ni la Chine communiste, ni de Rothschild, ni Bill et Melinda Gates (qui, comme je l’ai appris de source autorisée, ont ouvert un compte à l’IOR, la banque du Vatican), ni le réseau des partis démocratiques autoproclamés – la gauche internationale – obéissant à l’idéologie mondialiste, ne sont étrangers à cette opération. En revanche, le Great Reset envisage l’instauration d’une Religion universelle œcuménique, écologique et malthusienne, qui voit en Bergoglio son chef naturel, comme l’a récemment reconnu la Maçonnerie. L’adoration de la pachamama au Vatican, l’accord d’Abu Dhabi, l’encyclique Fratelli tutti et le prochain sabbat d’Astana vont tous dans ce sens, complétant l’inexorable processus de dissolution de l’Église qui a commencé avec le Concile Vatican II.

Si quelque chose ne fonctionne pas, on peut l’utiliser pour autre chose

Il faut reconnaître que l’illogisme apparent de ce que nous voyons se produire – le boycott des traitements préventifs, des thérapies erronées, des vaccins inefficaces, des confinements sans utilité, l’utilisation de masques absolument inutiles – prend tout son sens dès que nous comprenons que le but déclaré – vaincre la prétendue pandémie – est un mensonge, et que le but réel est la planification d’une crise économique, sociale et religieuse en utilisant comme outil une pseudo-pandémie provoquée avec art. Ce n’est qu’ainsi que l’on peut comprendre la simultanéité et l’univocité des dispositions adoptées par les différentes nations, la narration alignée des médias et le comportement des dirigeants politiques. Il y a un seul scénario sous une seule direction, qui utilise la collaboration et la complicité des politiciens et des gouvernants, des médecins et des scientifiques, des évêques et des prêtres, des journalistes et des intellectuels, des acteurs et des influenceurs, des multinationales et des banquiers, des fonctionnaires et des spéculateurs. Les profits et les gains y contribuent, car ils achètent et assurent la loyauté des subordonnés, mais cette guerre – ne l’oublions jamais ! – est une guerre idéologique et religieuse.

Deux mondes opposés

Cette crise sert à créer les conditions nécessaires pour rendre inévitable la Grande Réinitialisation, c’est-à-dire le passage du monde basé sur la civilisation gréco-romaine et le christianisme à un monde sans âme, sans racines, sans idéaux. En pratique, c’est le passage du Royaume du Christ au Royaume de l’Antéchrist, d’une société vertueuse qui punit les méchants à la société impie et méchante qui punit les bons. Cette idée détestable d' »égalité » qui nous a été inculquée par les libres penseurs a été utilisée pour mettre sur un pied d’égalité le bien et le mal, le bien et le mal, le beau et le laid, sous le prétexte de reconnaître la liberté d’expression ; aujourd’hui, elle sert à promouvoir le mal, l’injustice et le mauvais, et même à les rendre obligatoires, afin de délégitimer et d’interdire le bien, la justice et la beauté. Conformément à cette vision, l’œcuménisme aussi – qui a été initialement introduit dans l’enceinte sacrée par le Concile sous le prétexte de ramener les hérétiques et les schismatiques – montre aujourd’hui sa charge antichristique, en incorporant toutes les fausses religions dans un panthéon mais en proscrivant la Religion Catholique Romaine Apostolique, parce qu’elle est la seule vraie et qu’en tant que telle elle est inconciliable avec l’erreur doctrinale et la déviation morale. Nous devons donc comprendre que, si nous n’assistons pas passivement aux changements en cours et si nous ne nous laissons pas imposer l’idéologie mondialiste dans toutes ses formes les plus abjectes, nous serons bientôt considérés comme des criminels, hostes publici parce que nous sommes fidèles à un Dieu jaloux qui ne tolère pas le mélange avec les idoles et la prostitution. La supercherie de la liberté, de l’égalité et de la fraternité propagée par la Maçonnerie consiste précisément à usurper la primauté de Dieu pour la donner à Satan, avec le prétexte apparent – qui est de toute façon erroné et immoral – de placer Dieu et Satan sur le même plan de manière à permettre une prétendue liberté de choix qui moralement n’existe pas. Mais le but final, le vrai et l’inavouable, est fondamentalement théologique, car l’auteur de la rébellion est toujours le même, l’éternel Vaincu.

Nul n’est prophète en son pays

Bien sûr, ce que nous voyons se produire aujourd’hui sous nos yeux aurait pu être compris et prédit depuis des années, si l’on avait seulement prêté attention à ce que les théoriciens de la Grande Reset déclaraient impunément. En réalité, ceux qui ont dénoncé ce plan, qui est actuellement en cours, ont été traités de théoriciens du complot, ridiculisés ou pris pour fous, ostracisés par l’information grand public et criminalisés, chassés des chaires universitaires et de la communauté scientifique. Aujourd’hui, nous comprenons la clairvoyance des lanceurs d’alerte qui ont crié l’alarme et la puissance du mécanisme d’organisation mis en place par nos adversaires. Au nom de la liberté, nous nous sommes habitués à nous voir privés du droit de parler et de penser, et l’effort de pathologisation de la dissidence afin de légitimer les camps de détention et de limiter les mouvements sur la base du passeport sanitaire est déjà en cours.

La dissonance cognitive

Face à la réalité, il est toutefois difficile de comprendre la raison pour laquelle l’ensemble de la population mondiale s’est laissé convaincre de l’existence d’un virus pandémique qui n’a pas encore été isolé et a accepté sans broncher des limitations à la liberté individuelle qui, en d’autres temps, auraient conduit à une révolution et à des barricades dans les rues. Ce qui est encore plus incompréhensible, ce n’est pas tant l’absence d’une réaction sociale et politique véritable et appropriée que l’incapacité à voir la réalité dans toute son évidence crue. Mais cela est dû, comme nous le savons, à l’action scientifique de manipulation des masses qui a inévitablement conduit au phénomène que la psychologie sociale appelle « dissonance cognitive », c’est-à-dire la tension ou le malaise que nous ressentons face à deux idées opposées et incompatibles. Le psychologue et sociologue Leon Festinger a démontré que cet inconfort nous amène à élaborer ces convictions de trois manières, afin de réduire l’incongruité psychologique que la dissonance détermine : changer d’attitude, changer de contexte, ou changer de comportement. Les gens ordinaires, incapables de comprendre ou même de reconnaître une quelconque rationalité dans ce que les médias disent de manière obsessionnelle sur le COVID, acceptent l’absurdité d’un virus grippal présenté comme plus dévastateur que l’ébola, car ils ne veulent pas accepter que leurs dirigeants politiques mentent sans vergogne, dans le but d’obtenir la destruction sociale, économique, morale et religieuse d’un monde que quelqu’un a décidé d’annuler. Ils ne savent pas comment accepter que le mensonge puisse passer pour la vérité, que les médecins ne guérissent pas et tuent même leurs patients, que les autorités civiles n’interviennent pas pour arrêter les crimes et les violations flagrantes, que les politiciens obéissent tous à un lobby sans visage, que Bergoglio veut démolir l’Église du Christ pour la remplacer par une parodie maçonnique infernale. Ainsi, par cette volonté de ne pas accepter la tromperie et donc de ne pas vouloir prendre position contre elle et contre ceux qui la promeuvent, ils se réfugient dans le récit mainstream commode, suspendant leur jugement et laissant les autres leur dire quoi penser, même si c’est irrationnel et contradictoire. Des milliards de personnes se sont volontairement faites esclaves, victimes sacrificielles du Moloch mondialiste, en se laissant persuader de l’inévitabilité d’une situation aussi surréaliste et absurde. Ou mieux encore : l’absurdité de ce que nous voyons et de ce qu’on nous dit semble donner plus de force aux raisons de ceux qui, après deux cents ans de révolution au nom d’une prétendue liberté, acceptent la tyrannie comme un fait normal et montent à la potence avec la résignation de ceux qui sont convaincus, après tout, qu’ils sont coupables d’une manière ou d’une autre.

La consternation n’est pas moindre devant le comportement de ceux qui, au mépris de toute évidence scientifique, pensent pouvoir résoudre cette crise en déplorant l’inefficacité de la distribution des vaccins, ou remédier aux dégâts du confinement en garantissant des subventions aux entreprises et aux travailleurs. En bref, ils voudraient pouvoir choisir d’être exécutés par pendaison ou par guillotine, sans émettre la moindre objection quant à la légitimité de la sentence. Et ils s’énervent dès que quelqu’un formule des objections, l’accusant de théorie du complot ou de négationnisme, proclamant qu’il est en faveur des vaccins et donnant des attestations de fidélité à l’idéologie dominante. Et ils ne se rendent pas compte que, précisément en allouant des subventions aux entreprises lésées par le confinement, ils légitiment le revenu universel théorisé par la Grande Réinitialisation et qui est aussi fortement souhaité par le Vatican ; ils ne se rendent pas compte qu’il ne peut y avoir de vaccin contre un virus mutant, et que l’antigène qui garantirait l’immunité contre une grippe saisonnière ne peut exister tant que le virus n’a pas été isolé et non simplement séquencé. Ils nous rappellent ceux qui, dans la sphère catholique, déplorent les dérives doctrinales et morales de Bergoglio, sans comprendre qu’elles sont en parfaite cohérence avec les fondements idéologiques du Concile. Là aussi, on le voit, la rationalité est annulée pour faire place à la  » dissonance cognitive  » et accepter l’absurde.

L’homme n’est pas un robot

Il y a cependant un élément que les conspirateurs n’ont pas pris en compte : la faiblesse humaine d’une part, et la puissance de Dieu d’autre part. La faiblesse humaine fera que certains des complices de cette conspiration ne seront pas totalement obéissants aux ordres qui leur ont été donnés, ou bien ils penseront qu’ils peuvent tirer un avantage personnel de la pseudo-pandémie en dénonçant la tricherie et la corruption ; certains penseront d’abord à leur propre intérêt, d’autres imposeront l’obligation du vaccin à n’importe qui, mais ils auront quelques scrupules lorsqu’il s’agira de vacciner leur propre enfant ou leur parent âgé ; certains craindront que la farce pandémique ne les implique d’une manière ou d’une autre dans le scandale, et ils commenceront à avouer et à parler ; d’autres seront utilisés puis brutalement écartés, ce qui éveillera en eux le désir de vengeance et les conduira à révéler les dessous du plan. Petit à petit, ce colosse aux pieds d’argile s’effondrera, inexorablement, sur ses propres mensonges et ses propres crimes.

[…]

Carlo Maria Viganò, Archevêque 25 mars 2021

Septembre 2021

* Le pape Bergoglio sera en visite en Hongrie et en Slovaquie du 12 au 15 septembre 2021 : 10 allocutions sont prévues et deux messes.

Le pape a exhorté les fidèles à se faire vacciner le 18 août.

Le patriarcat catholique byzantin appelle les prêtres de Slovaquie à protester lors de la prochaine visite du pape.  

– Le 11 août 2021, des chercheurs catholiques polonais ont adressé une lettre ouverte aux évêques et aux prêtres.

« Nous nous adressons à vous concernant l’utilisation des églises et des paroisses en tant que centres de vaccination contre le Covid-19. »

« Le programme de vaccination utilise des cellules HEK-293. Les HEK-293 sont des cellules rénales embryonnaires humaines. Les cellules HEK-293 sont dérivées d’avortements. La lignée cellulaire HEK-293 est utilisée pour produire deux types de vaccins expérimentaux contre le Covid-19. N’est-ce pas là une raison de réfléchir plus profondément ? ».

– Les évêques catholiques de l’État américain du Colorado ont publié une lettre pastorale au sujet de la vaccination contre le Covid avec des vaccins expérimentaux. Cette lettre stipule que l’objection de conscience doit être respectée lors de la vaccination avec tous les types de vaccins. Cette attitude des évêques rejette la vaccination obligatoire. Cela contraste fortement avec la propagande criminelle pro-vaccin du pseudo-pape Bergoglio, qui ignore sciemment les avertissements alarmants des autorités médicales incorruptibles. Son slogan absurde « un vaccin pour tous » prouve que Bergoglio non seulement ignore la conscience des croyants, mais en abuse aussi en prétendant faussement que tout le monde doit être vacciné pour ne pas mettre en danger son prochain. Il a dit : « Nous devons le faire ! ». * Le Vatican forme une alliance avec le conseil pour le capitalisme inclusif initié par Lynda de Rothschild ( décembre 2020) : membres de ce conseil : BP, Dupont, Merck, Bank of America, Ford, Allianz, Mastercard, Cop26, OCDE…

Sur notre site :Le Vatican, George Soros, l’ONU et le changement climatique

Le symbolisme occulte de la crèche 2020 du Vatican

Source : Ciel Voilé

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