Israël : en attendant Godot.

Introduction

Si nous sommes pris par les « élites » pour les « idiots » que nous sommes devenus, c’est à nous seuls qu’il appartient de ne pas le rester.

Chers nouveaux lecteurs, permettez-moi, en quelques lignes, de « planter le décor ». Pour les plus anciens, vous pouvez passer directement au sujet du jour.

Les évènements que nous subissons et que nous allons encore subir sont annoncés sur ce blog, depuis 2012. Je n’utilise pas de boule de cristal, mais je collecte et recoupe énormément d’informations. Cela me permet d’extraire les plus pertinentes. Ce recul m’amène à formuler des anticipations cohérentes.

Accéder à une masse d’informations souvent payantes, les vérifier, les trier, prends beaucoup de temps. Dans la vie, il n’y a pas de repas gratuit. Mon travail de lanceur d’alertes à un coût et donc un prix. J’offre gratuitement à un large public, un grand nombre de billets qui traitent de l’écume des choses. Pour m’aider à poursuivre ce travail, je ne demande pas de dons et n’ouvre pas de « cagnotte ».

Si vous êtes prêts à regarder en face une réalité, parfois dérangeante, mais toujours porteuse d’espoir, abonnez-vous aux « Rendez-vous d’Hubert ». En plus de bénéficier de solutions pratiques pour affronter sereinement la période compliquée qui est devant nous, ce sera votre manière de m’aider concrètement à améliorer la qualité de mon travail.

Sujet du jour : Quand la réalité devient théâtre, à propos du Corona.

La pièce « En attendant Godot » a fait connaitre et reconnaitre le poète et dramaturge irlandais Samuel BECKETT. Pour ceux d’entre vous qui n’ont pas vu ce chef d’œuvre du théâtre de l’absurde, en voici un bref résumé : Les personnages principaux sont deux vagabonds, Vladimir et Estragon, qui se retrouvent sur une route de campagne pour rencontrer Godot, un homme qu’ils ne connaissent pas, et dont ils ne savent rien… Se joignent à eux deux autres personnages, Pozzo et Lucky. De Godot, nous n’apprendrons rien, et nous ne le rencontrerons pas.

C’est un peu comme notre « Arlésienne », on en parle toujours, mais on ne la voit jamais. Dans ces deux occurrences, c’est à se demander si les personnages existent vraiment. L’absurdité de la pièce de BECKETT m’amène à évoquer la situation Coronavidesque en Israël.

En effet, les médias du monde entier ne cessent de nous expliquer que le « Corona-contrevéritus » cause d’innombrables contaminations dans ce pays, mais… grâce à la politique volontariste des dirigeants, la campagne « injectionniste » donne des résultats tellement efficaces, qu’ils doivent inciter le monde entier à les copier.

Où est passé Godot ? Où est l’efficacité des « injections » ?

Des chercheurs sérieux (pas ceux qui ont un abonnement permanent sur les plateaux de télévision) ne la trouvent toujours pas.

  • Swiss Policy Research, citant les chiffres officiels, conclut : « Israël signale le taux d’infection à coronavirus le plus élevé au monde, montrant que ni les mandats de vaccination ni les « passeports de vaccins » ne sont des moyens appropriés pour limiter ou mettre fin à la pandémie».
  • L’animateur de la chaîne YouTube « Décoder l’Éco » est statisticien et analyste. C’est un fin connaisseur des méthodes statistiques utilisées par l’Insee. Il dissèque avec une rigueur professionnelle les chiffres officiels, donc vérifiables. Ses conclusions sont identiques :

« Nous avons vu qu’Israël est un pays qui n’a jamais connu de hausse de mortalité significative depuis le début la panique mondiale autour de la Covid-19

Nous avons vu que quelques hausses de mortalité inhabituelles ont été constatées chez les jeunes en période vaccinale. Ces décès sont survenus au moment où étaient enregistrés des records d’urgences cardiaques pour ces mêmes âges.

Enfin, nous avons vu que si on enlève les biais de comptage dû aux restrictions comme le Green Pass, les doubles injections ne présentent aucun impact sur les cas positifs.

Nous avons donc de nombreux décès remontés en pharmacovigilance, des décès visibles même chez les populations jeunes et aucun impact positif mesurable. Pensez-vous réellement qu’il soit raisonnable de continuer à multiplier ces injections ? »

Persistant dans la volonté de trouver Godot (alias, l’efficacité des « injections ») à tout prix, les autorités israéliennes redoublent d’efforts. C’est maintenant une troisième dose , voire une quatrième qui est censée les mettre sur la piste de l’introuvable Godot !!! Vous avez dit « théâtre » de l’absurde ??? Hélas, il s’agit de la santé physique et psychique d’humains !!!

C’est ce qu’ont bien compris trois des très rares survivants des camps de concentration nazis. Ils ont écrit à la cour pénale internationale (CPI), se joignant ainsi à la demande d’enquête formulée par plusieurs avocats. C’est un symbole particulièrement fort.

Des survivants de l’holocauste qui considèrent que les injections contre le Covid 19 constituent des crimes contre l’humanité et un génocide, me semble être une démarche de nature à ébranler certaines « certitudes scientifico politiques ». Je n’ai, hélas, que peu d’espoir en ce sens.

« Nous, en tant que survivants des camps de concentration, avons été témoins de nombreuses atrocités commises pendant la Seconde Guerre mondiale et on nous a dit que cela ne se reproduirait plus jamais, pourtant cela se reproduit. Quelle prise de conscience accablante : combien de personnes âgées ont été contraintes par la peur de prendre le “vaccin” ?

Combien ont survécu à l’Holocauste, mais n’ont pas survécu à l’injection de COVID-19 ? Combien ont-elles survécu aux expériences médicales d’Auschwitz et de Birkenau, mais n’ont-elles pas survécu à cette expérience médicale contemporaine ?

Nous vous implorons donc d’accepter la “demande d’enquête” conjointe du Royaume-Uni, de la Slovaquie, de la France et de la République tchèque et d’ouvrir immédiatement et sans plus tarder une enquête urgente sur les crimes contre l’humanité, le génocide et les violations du Code par de nombreux responsables, qui ont déclenché tant de morts inutiles et d’accidents graves et continuent de le faire quotidiennement.

La Cour pénale internationale, en tant que tribunal de dernier recours, a le devoir d’enquêter sur ces crimes les plus odieux et de traduire les auteurs en justice ».

« Ceux qui peuvent vous faire croire en des absurdités pourront vous faire commettre des atrocités »

(François-Marie Arouet dit Voltaire)

Chers lecteurs, vaccinés ou pas, je vous aime et vous salue.

Source : Sérénité Patrimoniale

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