Hier, pas de profs ; maintenant, manque de médecins ; demain, plus de pain

Pieter Kerstens 

Non aux apprentis sorciers. 

Il faut congédier les charlatans qui prônent l’égalitarisme absolu. Il faut renvoyer ces faux prophètes du diplôme garanti et de la réussite pour tous. Après avoir conduit l’économie française dans le gouffre, ces socialos menteurs et leurs laquais libéraux ont gangrené tout le système scolaire. Par des réformes successives, toutes plus opaques et plus médiocres les unes que les autres, voici que le ministre chargé de l’Éducation nationale imagine de nouvelles mesures, vecteurs d’émancipation. Dans ce fatras de propositions « transversales », tout est virtuel : « l’hétérogénéité » désignant le multiculturel imposé ou encore les « projets » concernant les utopies gauchistes et « l’école de la réussite » qui permettrait à tous les incapables un accès garanti dans le milieu universitaire ou professionnel. Encore une utopie. 

Assez de stupidités ! 

Depuis 30 ans, le système scolaire a produit une foule d’élèves ignares et vindicatifs. Le métissage des classes explique aussi le faible niveau d’acquisition des connaissances et il est clair que le Quotient Intellectuel (Q.I) d’un élève n’est pas égal à celui de son copain ! Nier cette évidence est infantile. Le savoir ne se distribue pas, il s’acquiert. Sans contrôle permanent des connaissances et de l’assiduité des élèves par des devoirs et des examens rigoureux, il ne sera pas possible d’inverser la tendance de la médiocrité généralisée qui a plongé le niveau scolaire de la France dans le classement des nullités. 

« Il n’y a pas de sot métier, il n’y a que de sottes gens » Nicolas Boileau. 

L’éducation, c’est le rôle des parents, l’enseignement des disciplines peut être dispensé par l’État ou par le clergé ou par l’armée, mais il n’est pas tolérable que les instituteurs et les professeurs doivent combler les carences familiales ! 

Cela fait très longtemps que le marché du travail réclame des secrétaires trilingues, des électriciens, des paveurs ou des bouchers. De son côté, Pôle Emploi recense 300.000 postes disponibles et de plus, 200.000 analphabètes hantent les statistiques depuis 20 ans : où est l’erreur ? 

Non aux classes poubelles 

Il est urgent de rétablir la discipline, d’exiger le respect du corps enseignant, dont les membres doivent cesser de se comporter en « copain » vis-à-vis des élèves et qui avec efficacité et bon sens feront preuve de compétence. Il est indispensable de renvoyer les quelques perturbateurs qui polluent la bonne entente dans les classes et si nécessaire supprimer les allocations familiales aux parents trop laxistes. 

En outre, nous ne devons plus accepter les touristes dans nos grandes écoles ou dans nos universités, ni tolérer des étudiants qui viennent à nos frais musarder dans les amphithéâtres pendant des années sans obtenir le moindre diplôme. 

Il faut stopper cette hérésie et restaurer le goût de l’effort et du travail 

Ces ministres suffisants et arrogants, ces idéologues irresponsables ont excommunié la mémoire, l’histoire et la liberté, en organisant une production à la chaîne d’élèves amnésiques, parfaits robots manipulables par des politiciens corrompus. Il faut s’opposer à ces dérives sectaires contraires aux intérêts de nos enfants, car elles interdisent toutes références à notre passé civilisateur et à nos valeurs ancestrales, racines indispensables au développement de notre culture et de notre avenir. 

L’école de demain doit être l’école de tous, mais garante de la qualité et de la différence au terme des études. La réussite pour tous est une vaste fumisterie socialiste. 

Par bêtise, par manque d’anticipation et courage politique, les princes qui nous gouvernent depuis 40 ans sont responsables de l’état de délabrement du système éducatif. Cette absence de vision explique le manque de médecins et la crise profonde des hôpitaux. Mais l’on retrouve également cette incapacité à prévoir ou à anticiper la hausse des matières premières depuis 2019 et bien sûr la gestion absurde de l’épidémie de Covid-19, des problèmes de sécurité dans nos villes, et surtout de la crise énergétique actuelle. 

Il faut en finir avec les chimères du Docteur Micron et le sous-développement général du pays. 

Source : Synthèse nationale

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