Explosion des Cancers et des maladies latentes ! (La suite)

A la suite de notre publication du 22 juin 2022 « DR RICHARD URSO – Explosion des Cancers et des maladies latentes !« , l’une de nos fidèles lectrice, Sophie, nous fait une excellent commentaire très instructif qui mérite d’être mis ici en exergue.

Merci également à JLG, collaborateur actif de Profession-Gendarme de nous avoir suggéré la présente publication :

Les commentaires de Sophie sur la « duplicité » russe mériteraient de faire l’objet d’une publication sur PG car beaucoup de commentaires, surtout s’ils sont longs ne sont pas lus par rapport à un article spécifique.

Je propose à l’Admin., en accord avec Sophie, à procéder à cette mise en exergue afin que « nul n’en ignore » et que chacun sache que la corruption de Bigpharma s’infiltre partout, même et peut-être surtout, dans le pays qu’on prend pour un pôle de résistance à l’ordre mondial. JLG

Sophie dit :

Pendant que l’on nous abreuvait du fameux discours de Poutine lors du Davos de St Peterbourg, on nous a pas parlé d’une réunion très étonnante qui a eu lieu aussi à St Petersbourg.

Vous découvrirez que les autorités russes ont exactement les mêmes préoccupations que le Davos de Schwab, soit piquer le plus de monde possible avec les injections tueuses. Ca parle même de collaboration étroite.

Pour vous éclairer, voici la traduction de quelques passages d’un des derniers articles d’Edward Slavquat paru le 20 juin :

https://edwardslavsquat.substack.com/p/israeli-pfizer-shill-tedros-pharma

Le 4 juin, un groupe de fanatiques insupportables de l’injection de caillots s’est réuni à Saint-Pétersbourg pour discuter d’un problème de santé mondial urgent : le monde a été béni avec des vaccins de « nouvelle génération », mais comment convaincre le public russe que ces vaccins génétiques sont-ils sûrs et efficaces ? Peut-être avons-nous besoin de « solutions de coopération internationale » pour « accélérer ce processus » ?

Leur table ronde « Lutter contre les infections : les risques futurs » fut l’une des nombreuses conversations tenues lors du Forum économique international de Saint-Pétersbourg (SPIEF) et s’est concentrée sur les sujets suivants :

La pandémie de COVID-19 a non seulement nécessité le développement rapide de vaccins efficaces et sûrs contre le coronavirus, mais elle a également lancé une tendance à la création de vaccins de nouvelle génération, avec la perspective d’utiliser des plateformes de vaccins dans d’autres domaines de la médecine. […]

Le défi sans précédent lancé à la communauté mondiale par la pandémie démontre clairement l’importance de la vaccination en tant que méthode la plus efficace pour prévenir de futures catastrophes. […]

Dans combien de temps la population mondiale sera-t-elle vaccinée et quelles solutions de coopération internationale peuvent être utilisées pour accélérer ce processus ? Est-il possible de garder le coronavirus sous contrôle à perpétuité ? Dans quelle mesure la nouvelle stratégie pour le développement de l’immunoprophylaxie en Russie est-elle efficace pour répondre aux objectifs d’amélioration de la politique gouvernementale dans ce secteur, de stimulation du développement scientifique et de la recherche clinique, et d’augmentation de la confiance et de la sensibilisation du public russe aux effets positifs de la vaccination ?

Un discours édifiant. Mais qui a participé ? C’est là que les choses deviennent vraiment intéressantes.
Voir document source dans l’article où sont énumérées les personnalités présentes :

– Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur de l’OMS
– Kirill Dmitriev directeur du fond d’investissement russe RDIF
– Mikhail Murashko, ministre de la santé de la Fédération de Russie
– Anna Popova, chef du Service fédéral de surveillance de la protection des droits des consommateurs et du bien-être humain – Médecin sanitaire en chef de l’État de la Fédération de Russie
– Nenad Popovic, ministre de l’innovation et du développement technique de la république serbe
– Alexey Repik, président de Delovaya Rossiya (Business Russia) et du Conseil d’administration de Groupe R-Pharm
– Pr Robert Stephen du département d’épidémiologie et de la prévention des infections de Zurich (Suisse)
– Yuli Edelstein, ministre de la santé d’Israel
– Deborah Waterhouse, présidente-directrice générale de ViiV Healthcare et membre de l’équipe de direction du laboratoire GSK
– Aleksandr Gintsburg du Centre d’épidémiologie et de microbiologie du ministère de la santé russe

L’auteur passe ensuite en revue chaque participant :

En tant que chef du fonds souverain russe RDIF, Dmitriev s’est associé à plusieurs sociétés dont la société russe R-Pharm et le géant pharmaceutique anglo-suédois AstraZeneca pour développer des médicaments et des vaccins COVID « sûrs et efficaces ». En fait, le nom «Spoutnik V» aurait été une idée originale de Dmitriev qui fut l’un des jeunes leaders mondiaux du Forum économique mondial de Davos (classe de 2009).

Dmitriev est un vrai génie. La Fondation Soros a repéré son potentiel dès son plus jeune âge et lui a accordé une bourse pour étudier aux États-Unis (il a fréquenté l’Université de Stanford et la Harvard Business School). Il a travaillé pour Goldman Sachs et McKinsey & Company avant de prendre les rênes du RDIF en 2011.

Le fonds de Dmitriev est le principal bailleur de fonds de Spoutnik V. Bien qu’il insiste sur le fait que le vaccin russe n’a pas d’égal, il a plaidé pour la création d’un « cocktail » Spoutnik V-AstraZeneca.

Quant à Mikhail Murashko, ministre de la santé, il est également membre du Conseil exécutif de l’OMS de 2020 à 2023. Et oui ! Vous savez l’OMS, cette association de malfaiteurs principalement financée par Washington, Bill Gates et la Chine qui essaye en ce moment même de nous piquer notre souveraineté sanitaire !

Allez taper sur votre moteur de recherche « OMS Composition du Conseil Exécutif » pour le vérifier. Vous y retrouverez également Jérome Salomon, le croque mort de Macron qui faisait tous les soirs en 2020 le faux décompte des morts Covid relégué par la Johns Hopkins University. Comme le faisait d’ailleurs tous les jours sur sa première page le site russe Sputniknews.

Bien sûr de cette étonnante réunion à St Petersbourg, Vladimir Poutine s’est bien gardé d’en parler dans son discours. Et connaissant l’omnipotence de cet homme en Russie, croyez vous qu’il ne soit pas au courant de ce genre de réunion et de ce qui s’y dit ?

Ne trouvez vous pas dérangeant que d’un côté il affirme que les gouvernants occidentaux se conduisent en despotes mais de l’autre son gouvernement collaborre avec le principal instrument de la dictature sanitaire de ces mêmes despotes ?

L’auteur de l’article poursuit sur Anna Popova :

Son agence pour le «bien-être humain» dicte des règles de masque et des décrets obligatoires sur les injections Covid dans les régions de Russie.

Lorsque Moscou est devenue la première région de Russie à introduire la vaccination obligatoire en juin 2021, Popova a salué l’intervention médicale coercitive comme un « nouvel outil » qui pourrait être utilisé pour « arrêter la propagation ». Parce qu’elle est sociopathe.

Récemment, Popova a été occupé à créer des tests PCR monkeypox et a même réussi à enregistrer un nouveau vaccin génétique en moins d’un mois.

En tant que médecin sanitaire en chef de l’État russe, elle joue également un rôle central dans le théâtre permanent de biosécurité du pays : le « Bouclier sanitaire ».

Kommersant a récemment partagé une anecdote amusante sur Anna. Selon des informations, elle se promenait sans masque au SPIEF (Davos de St Petersbourg) (coquine !) mais a ensuite mis à la hâte une couche sur son visage alors qu’elle se trouvait dans une zone très fréquentée par les journalistes :

Malgré les exigences de Rospotrebnadzor et Roscongress de porter des masques sur le territoire du SPIEF-2022, personne dans la salle, à l’exception du ministre de la Santé Mikhail Murashko, n’a obéi à ces exigences. C’est-à-dire que seuls ceux qui ont fait pression pour eux ont obéi aux règles… Et ainsi la chef de Rospotrebnadzor, Anna Popova, est entrée dans la salle, a regardé autour d’elle et a mis un masque, confirmant cette règle.

Cela ne vous rappelle pas exactement le comportement de tous les dirigeants occidentaux ? Bref, le foutage de gueule est total et même en Russie.

On continue :

Le Groupe R-Pharm d’Alexey Repik a été l’un des principaux bénéficiaires de la pandémie en Russie. Lorsque le virus redouté est arrivé au début de 2020, Repik a vendu au gouvernement russe de délicieuses pilules anti-VIH. Puis il a produit du Remdesivir pour le marché russe. (Voir documents source dans l’article)

Mais la plus grande arnaque dans la casquette de Repik est sans aucun doute son étroite collaboration avec AstraZeneca. En juillet 2020, AstraZeneca a annoncé que R-Pharm deviendrait « l’une des plaques tournantes pour la production et la fourniture de [son] vaccin aux marchés internationaux ».

Aux termes de cet accord, le géant pharmaceutique anglo-suédois a accepté de transférer son vecteur adénoviral en Russie. R-Pharm serait alors chargé de « finir » les doses et de les expédier à l’étranger.

AstraZeneca et R-Pharm, les meilleurs amis.

Lorsque le duo s’est associé au RDIF de Dmitriev afin d’entamer une coopération pour les injections Covid en décembre 2020, le PDG d’AstraZeneca, Pascal Soriot, a rayonné :

« En Russie, nous avons un partenariat de longue date avec R-Pharm, et nous sommes de bons amis avec Alexey [Repik] et l’équipe R-Pharm. Nous avons décidé de transférer la technologie à R-Pharm en raison du noyau technologique avancé et des capacités biopharmaceutiques en Russie. Ils ont développé ces capacités sur un certain nombre d’années, et plus récemment, surtout, avec le soutien du Fonds russe d’investissement direct (RDIF). C’est un autre bon exemple de collaboration entre les organisations et les entreprises. »

AstraZeneca, RDIF, R-Pharm et le Gamaleya Center : c’est une grande famille heureuse. Une famille soucieuse de votre santé et de votre longévité.

A propos de Yuli Edelstein :

Ukrainien de naissance, Yuli a fait son Aliyah en 1987 et s’est rapidement hissé au sommet de la politique israélienne. Vétéran du Likud, il a été président de la Knesset pendant sept ans (2013-2020) avant de devenir ministre de la Santé. Il a quitté son poste en juin 2021. Comme l’a documenté le Financial Times en janvier 2021, Edelstein a joué un rôle essentiel dans la stratégie israélienne de la campagne d’injections. Grâce à ses vaillants efforts, aucun Israélien n’a été privé de l’honneur de se faire injecter du jus Pfizer.

« Ce que nous leur (Pfizer) avons promis, et nous tenons les promesses, vous pouvez le voir, que si nous obtenons le vaccin, nous serons très efficaces », a déclaré Edelstein. « Nous allons vacciner un grand nombre de la population israélienne, une énorme proportion de la population israélienne très bientôt. Et Pfizer pourra voir comment cela influence le niveau de maladie en Israël, la possibilité d’ouvrir l’économie, différents aspects de la vie sociale, s’il y a des effets de la vaccination. »

A propos de Deborah Waterhouse :

Certains médias ont affirmé qu’aucun homme d’affaires occidental n’avait participé au SPIEF de cette année. Les gars, comment avez-vous pu oublier Deborah ?

Pour être parfaitement honnête, nous ne comprenons pas pourquoi ce dirigeant de GlaxoSmithKline en particulier a été invité à participer à ce panel. Évidemment, c’est parce qu’elle est un cadre qui travaille pour une grande entreprise pharmaceutique qui produit des vaccins en Russie, mais pourquoi Deborah, plus précisément ?

Nous devrons faire plus d’espionnage et revenir à cette question plus tard. Pour l’instant, vous pouvez être tranquille en sachant que cette société pharmaceutique britannique de renommée mondiale développe sa propre gamme de « caillots » :

« En plus de nos travaux sur les vaccins avec adjuvant, nous travaillons avec CureVac pour développer des vaccins à ARNm potentiellement efficaces contre plusieurs variantes de la COVID-19. Nous avons annoncé des résultats de tests précliniques encourageants en 2021, les tests cliniques devant commencer en 2022.

Cet accord s’appuie sur la relation existante entre GSK et CureVac pour développer jusqu’à cinq vaccins à base d’ARNm et des anticorps monoclonaux. Nous avons également investi 130 millions de livres sterling dans CureVac. »

Peut-être qu’une fois cette nouvelle bouillie prête, elle sera produite en Russie ?

A propos d’Alexander Gintsburg :

Voici un charmant commentaire scientifique qu’il a fait le 20 juin. Gintsburg a ajouté que la seule façon de résoudre tous les problèmes liés au COVID-19 est l’introduction du vaccin Spoutnik V dans le calendrier national de vaccination :

« Au niveau législatif, cela signifiera que toute la population, comme à l’époque soviétique, devra être vaccinée sans faute. De plus, l’Institut Gamaleya a créé un vaccin pour tous les groupes de population, à l’exception des enfants de 0 à 6 ans jusqu’à présent… Si ces essais sont financés plus tôt, nous donnerons plus tôt ce vaccin à la population de 0 à 6 ans. Et puis toute la gamme de personnes aura un vaccin avec lequel se protéger, dans le cadre du calendrier national de vaccination », a-t-il souligné.

En conclusion, comme l’a rappelé très justement hier une internaute en commentaire sur Profession Gendarme, il est indispensable d’avoir une autre grille de lecture comme ce que publie le site d’Edward Slavquat qui a l’avantage de présenter des faits concrets qui dévoile une duplicité certaine de la gouvernance russe. En tous cas en ce qui concerne cette fausse pandémie. D’ailleurs, observez comme personne n’en parle, pas même les merdias. La collusion à ce niveau est totale.

Il vous suffira de faire comme moi, c’est à dire faire un copier coller du texte des articles en anglais sur un traducteur automatique. C’est gratuit. Il est vrai que cela demande un peu d’effort et de temps mais ça en vaut la peine afin d’éviter de se faire rouler dans la farine une fois de plus. Pour se faire la meilleure opinion, il faut avoir accès aux informations les plus larges.

Car il y a ce qui se passe sur le devant de la scène et tout ce qui se déroule derrière en coulisse. Bref, ce que l’on ne veut surtout pas que vous sachiez. Et ce qui vient d’être relaté dans cet article et qui a eu lieu au Davos russe de St Petersbourg en fait partie. Malheureusement, la situation est particulièrement compliquée et vicieuse car ne doutez pas que la propagande a lieu dans les deux sens. Nous sommes aussi dans une guerre de l’information.

En complément avec en source les articles de presse .

Vous verrez, c’est que « du bonheur » ! A la russe comme chez nous !
https://edwardslavsquat.substack.com/p/russia-moving-towards-making-covid

La Russie « s’oriente » vers l’obligation de vacciner contre le COVID dans le calendrier national de vaccination – ministre de la Santé
Mikhail Murashko dit qu’il travaille avec les législateurs pour faire appliquer la vaccination COVID obligatoire au niveau fédéral

Komsomolskaïa Pravda, 16 juin 2022 :
Le chef du ministère russe de la Santé, Mikhail Murashko, a déclaré que la vaccination contre l’infection à coronavirus pourrait devenir obligatoire dans le calendrier national des vaccinations préventives.
« Nous devons maintenant acquérir de l’expérience, obtenir des données sur le développement ultérieur du processus, mais nous nous dirigeons vers cela. On voit aujourd’hui qu’un certain nombre de confrères étrangers commencent à combiner le vaccin contre la grippe et le vaccin contre l’infection au COVID, c’est aussi en cours », a-t-il déclaré en marge du SPIEF (Davos de St Petersbourg)

Sophie

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