Euthanasiés parce qu’ils avaient le Covid !

Chers amis, Il y a quelques jours, en Chine, trois chats ont été euthanasiés… parce qu’ils avaient été testés positifs au Covid-19[1]. Ces trois chats appartenaient à la même personne, une habitante de Harbin (province du Heilongjiang). Les vétérinaires ne lui ont pas demandé son avis pour la mise à mort de ses chats. Pire, malgré son opposition désespérée et ses suppliques, ils les ont tués pour « le bien de la collectivité ».  Cela vous choque ? Si l’objet de mon message vous a choqué… c’est bien. Si le détail de cette nouvelle apparemment sans importance – après tout, des milliers d’animaux sont euthanasiés chaque jour sans que cela n’émeuve personne – vous choque aussi… c’est encore mieux. C’est qu’il y a encore de l’espoir. Il y a encore deux ans, que l’on euthanasie ces trois animaux au lieu de tenter de les soigner aurait ému bien au-delà du cercle des défenseurs des animaux. Pire, que cette triple euthanasie soit opérée sans le consentement de leur propriétaire et pour assurer la « sécurité » d’une ville chinoise… serait passée pour une extravagance supplémentaire de ce régime autoritaire. Exactement comme le confinement d’une ville entière, Wuhan, nous avait paru si « exotique » : « ça, ça n’est possible qu’en Chine ! », s’était-on dit… pas vrai ? Jusqu’à ce que cela se produise à nos portes – en Italie – et finalement… bel et bien chez nous. Il y a deux ans également, le port du masque généralisé nous semblait un « trait culturel » typiquement asiatique… … Les vaccinodromes, une manifestation de l’autorité que des régimes d’un autre âge exercent sur des masses dociles… … La nécessité de devoir présenter un QR code dévoilant des informations sur votre santé pour obtenir la permission de vous asseoir à la terrasse d’un café ou de monter dans un train, une trouvaille issue d’un roman d’anticipation de George Orwell ou Philipp K. Dick… Tout cela, qui nous paraissait inouï, inimaginable chez nous, a pourtant eu lieu, a lieu en ce moment-même. Cela a choqué plusieurs d’entre nous, et j’en fais partie, vous le savez. Mais cela a, en fin de compte, a été accepté et intégré par la majorité de la population avec une rapidité et une facilité déconcertantes. Cette façon de nous « accoutumer », par petites touches, à des mesures toxiques, porte un nom : la mithridatisation. Et nous vivons, aujourd’hui, une forme de mithridatisation collective, sociale et sanitaire. Comment on s’accoutume au poison Ce mot un peu compliqué de « mithridatisation » vient du roi antique Mithridate le Grand, qui régnait sur le Pont-Euxin au Ier siècle avant J.-C. Buste en marbre de Mithridate VI le Grand, musée du Louvre Mithridate avait de nombreux ennemis, à l’intérieur de son royaume comme à l’extérieur, qui en voulaient à sa vie – et le roi en avait parfaitement conscience. Or, la méthode la plus discrète et radicale à la fois pour se débarrasser d’un rival ou d’un adversaire politique était à l’époque l’empoisonnement. Sachant qu’il lui était impossible de contrôler toute boisson et toute nourriture dans laquelle un espion aurait pu verser du poison, Mithridate adopta une méthode originale : il devint lui-même expert en poisons… et en ingéra chaque jour, à petites doses. Alors qu’une dose massive et unique de poison aurait pu le tuer, ces petites doses quotidiennes de poison non seulement ne le tuaient pas, mais le rendaient plus résistant. C’est l’accoutumance de son organisme au poison qui protégea Mithridate du risque d’empoisonnement. Cette méthode fut un succès au-delà de toute espérance… qui se retourna contre lui. Finalement détrôné, Mithridate voulut se suicider en absorbant une dose massive de poison, mais n’y parvint pas : son corps s’y était trop accoutumé ! Mithridate fut donc passé au fil de l’épée par les soldats de son propre fils, qui lui avait ravi son trône. Une fin déshonorante et brutale. La mithridatisation des esprits La mithridatisation, c’est donc cela : l’absorption à faible dose d’un poison, auquel on s’accoutume. On commence par de toutes petites doses, qu’on augmente à mesure que l’on y devient insensible. Lorsque l’organisme ingère une quantité plus importante de ce même produit toxique, le cas échéant, on y survit. La crise du Covid-19 a sonné le départ d’une étrange mithridatisation des esprits. Le poison de cette mithridatisation, ce n’est pas le virus, ce sont les mesures qui s’accumulent pour, nous dit-on, nous en « protéger ».  L’énormité de cette mithridatisation nous dépasse déjà. Il y a deux ans, le principe du pass sanitaire, hormis peut-être quelques technocrates fadas biberonnés aux GAFA[2], nous aurait semblé révoltant. Plus qu’inapplicable : inimaginable. Mais la privation de liberté « pour le bien de tous » s’est faite à petites doses. Il y a eu certes le choc du premier confinement, mais tout, ensuite, s’est déroulé par touches subtiles, comme sur un tableau impressionniste : Les attestations de sorties ; Le port du masque obligatoire ; Le couvre-feu ; La quarantaine ; Les tests obligatoires, gratuits, puis payants ; La vaccination « conseillée », puis « encouragée » et finalement de facto obligatoire… Nous avons avalé toutes ces mesures empoisonnées. Une à une. Chacune allant un peu plus loin que la précédente, jusqu’à cet état de fait inquiétant : la discrimination pour raisons médicales.     Nos sociétés championnes de la lutte anti-discrimination ont beau jeu Nos démocraties occidentales modernes, qui se targuent de lutter : contre la discrimination raciale, contre la discrimination religieuse, contre la discrimination sexuelle, contre la discrimination pour préférences sexuelles… … ont en fin de compte créé de toutes pièces une toute nouvelle discrimination : la discrimination vaccinale. L’être humain est un animal social, d’accord, mais c’est surtout un animal discriminant.  Il faut qu’il discrimine, c’est comme ça. S’il ne peut plus discriminer selon que vous êtes blanc ou noir, homme ou femme, chrétien ou musulman, homo ou hétéro, français, belge ou marocain… il trouvera autre chose.

Il vous discriminera parce que vous avez les pieds grecs ou égyptiens, parce que vous êtes riche ou pauvre, parce que vous êtes plutôt thé que café. Les problèmes sérieux commencent quand l’État prend en charge cette discrimination.  C’est-à-dire quand l’État légifère sur l’achat de certains hommes comme esclaves par d’autres réputés « libres », sur les droits accordés à une confession religieuse et pas à une autre, sur la possibilité ou non des femmes d’accéder à l’éducation. L’État français, ni pionnier, ni bon dernier, vient de créer une société dotée de deux nouvelles « classes » de citoyens : les vaccinés et le non-vaccinés, les premiers ayant plus de droits que les seconds.   Oh, nous pouvons nous enorgueillir, dans nos pays occidentaux développés, d’avoir conquis la liberté de confession, la liberté d’orientation sexuelle… Mais nous sommes, en parallèle, en train de mettre fin à la liberté de choix médical.   Nous vivons depuis si longtemps déjà dans l’invraisemblable que nous avons laissé passer cette discrimination inédite sans y prendre garde. Par mithridatisation. Nous vivons depuis si longtemps dans l’épouvante, entretenue par les médias, que cette discrimination nous paraît presque « normale », et même pour certains… indispensable. Par mithridatisation. Nous vivons depuis si longtemps dans l’intimidation, entretenue par les gouvernements, que nous acceptons d’une âme égale qu’ils décident à notre place à quelle heure entrer et sortir de chez nous, ou si nos enfants doivent ou non se faire injecter des produits pharmaceutiques créés il y a moins d’un an. Par mithridatisation. Par petites touches. C’est ainsi que nous laissons cette politique toxique nous empoisonner en tant que société, et en tant qu’êtres humains. Mais attendez : ce n’est pas terminé. Voici deux autres exemples d’une actualité brûlante de cette mithridatisation en marche. Suisse : 50 francs pour l’incitation à la vaccination En Suisse, le Conseil Fédéral a, dans le sillage de la France, instauré autoritairement l’obligation de présenter un « certificat Covid », équivalent de notre pass sanitaire.   La mesure a choqué bon nombre d’habitants de ce pays à très forte tradition démocratique et la Suisse, pour la première fois depuis des décennies, connaît depuis régulièrement des manifestations à Berne, sa capitale, contre cette mesure. Mais, cette semaine, le Conseil Fédéral a décidé d’aller plus loin dans sa politique « tout-vaccin » en ayant l’idée d’offrir un « bon-cadeau » de 50 francs suisses à toute personne convaincant un proche de se faire vacciner[3]. A priori ça n’est pas « nouveau ». Aux États-Unis, le gouvernement du New Jersey offrait une bière à toute personne allant se faire faire une injection anti-Covid[4]. Le gouvernement chinois de Hong-Kong incitait, lui, à la vaccination en offrant aux bons élèves des billets de loterie pour gagner une Tesla ou un appartement de luxe[5]. Mais cela s’adressait à toute personne susceptible de se faire vacciner… Pas à son entourage, pour la convaincre d’y aller ! Le Conseil Fédéral suisse a bel et bien franchi un pas supplémentaire, qui en dit long sur la conception qu’ont nos gouvernements de la santé : quelque chose qui s’achète… et que l’on peut vendre. À présent je vous demande : cela vous choque-t-il ? Israël : 3ème dose obligatoire pour garder un pass sanitaire valide Israël est, vous le savez, le pays « en avance » en termes de politique vaccinale anti-Covid. Ils ont été : les premiers à vacciner en masse, les premiers à instaurer un pass sanitaire (et rappelez-vous, à ce moment-là, Emmanuel Macron a juré ses grands dieux que JA-MAIS il ne mettrait en place un système équivalent)… et les premiers à connaître un rebond spectaculaire des contaminations et des décès dans la population vaccinée. Ce terrible désaveu n’empêche pas le gouvernement actuel de s’entêter dans sa politique vaccinale : « Les passeports verts, délivrés aux personnes vaccinées ou guéries du Covid-19, seront remplacés dès ce dimanche en Israël. Ceux déjà délivrés seront annulés. Près de deux millions de citoyens ne pourront plus accéder à certains espaces publics sans un résultat de test négatif.[6] » En Israël comme en France, la troisième dose a d’abord été présentée comme « optionnelle »… jusqu’à aujourd’hui, où elle est de facto obligatoire. Les promesses n’engagent décidément que ceux qui y croient… Quant à ceux qui ont encore l’innocence de se dire « bon, allez, une troisième dose, et c’est enfin terminé »… sachez qu’en fait de « troisième dose » la nouvelle réglementation israélienne stipule que le pass sanitaire sera valide pendant six mois après l’administration de la dernière dose.  Cela vous choque-t-il ? Le poison de la lassitude Si tout cela vous choque, comme je vous l’écrivais plus haut, c’est qu’il y a encore de l’espoir. Car le propre de la mithridatisation, c’est de nous rendre insensible. Nous regardons tous ces pas supplémentaires vers l’indignité, vers la confiscation de notre consentement, vers la discrimination pour raisons médicales, d’un œil las. Moi le premier. Que croyez-vous ? Je me lasse de vous parler du Covid… du pass sanitaire… des injections et de ses effets secondaires… des milliers de morts directes ou indirectes sacrifiées sur l’autel du « bien collectif »… C’est usant. J’en ai marre, comme vous. J’ai envie de penser à autre chose. De passer à autre chose. Or, c’est précisément là qu’est le danger. Je me lasse de vous en parler, je deviens désabusé… mais les mesures qui continuent à être appliquées, celles qui s’apprêtent à être prises (la prolongation du pass au-delà du 15 novembre, la généralisation de la troisième dose…), elles, n’ont pas cessé d’être problématiques : elles sont même pires !   Mais nous sommes habitués. Anesthésiés. Mithridatisés. C’est ce qui permet à l’inimaginable il y a encore quelques semaines ou mois de se produire sous nos yeux. Pas à pas. Par petites touches. L’air de rien. Aujourd’hui ce sont des chats qui sont euthanasiés en Chine. Pourquoi pas demain ici en Europe ? Et pourquoi pas, demain, des patients humains ? Toujours pour la même raison : le « bien collectif ». Aujourd’hui c’est la Suisse qui propose un billet de 50 pour « inciter » votre ami, votre cousin ou votre petit frère à se faire vacciner. Pourquoi pas la France demain ? Et puis, ce cadeau pour l’incitation ne pourrait-il pas devenir un cadeau pour… délation de non-vaccination ? Pour le « bien collectif ». Aujourd’hui c’est la troisième dose qui est obligatoire en Israël. Et demain, pourquoi pas en France ? Et puis, pourquoi pas la quatrième dose, et puis la suivante ? Vous ne croyez pas à tout cela ? Mais il y a deux ans, auriez-vous cru au confinement du pays entier ? Il y a six mois, auriez-vous cru que nos gestes quotidiens seraient déterminés par une injection médicale ? On vous dira que c’est pour le bien collectif. Même si toutes les données indiquent le contraire. La Norvège, la Suède, le Danemark, n’ont pas ou plus de pass sanitaire. Y’a-t-il une hécatombe dans ces pays ? Non. Mais en France, en Suisse, en Italie, en Israël évidemment, les gouvernements soutiennent que c’est la seule voie de sortie possible de la crise. Ces mêmes pays qui s’assoient allègrement sur le million d’effets secondaires des injections anti-Covid officiellement reconnues par l’OMS… pour la seule Europe[7]. Oui, la mithridatisation, l’anesthésie, la lassitude, sont dangereuses. C’est cela qui nous fait baisser la garde : nous sommes choqués, révoltés au départ (certains d’entre nous en tout cas). Puis résignés. Puis habitués. Mais la force de l’habitude ne change rien au caractère moralement indigne de cette politique de santé, ni surtout aux dégâts qu’elle provoque. Le caractère choquant de mon mail reflète mon dégoût quand j’ai appris l’euthanasie de ces animaux. Que cela me choque, m’a rassuré : je ne suis pas entièrement mithridatisé. Peut-être vous non plus, si vous avez ouvert ce message. Alors… Alors il faut continuer. Je continue à protester par ces lettres et surtout à lutter, à ma modeste échelle, contre les dégâts provoqués par cette insensée politique sanitaire. Que faire contre cet empoisonnement ? Distribuer l’antipoison Je ne peux pas immobiliser ce rouleau-compresseur qu’est l’injection en masse, voulue par un accord gouvernemental et pharmaceutique, d’un produit médical dont les effets secondaires commencent à être aussi effrayants que documentés. Mais je peux, je l’espère, réunir les moyens de vous aider à prévenir et traiter ces effets secondaires si, pour X raison, vous vous êtes fait vacciner ou connaissez quelqu’un qui en souffre. Ces moyens, je ne les sors pas de mon chapeau : il s’agit de solutions appliquées par des thérapeutes intègres et courageux, qui sont aujourd’hui dans une situation de résistants face à une armée d’occupation : ils continuent à traiter leurs patients, coûte que coûte, et surtout en bravant les intimidations, les menaces. J’organise, ces tout prochains jours, une rencontre avec deux de ces thérapeutes sur ce sujet de la prévention et du traitement des effets secondaires des vaccins. Vous connaissez peut-être déjà l’une de deux résistants : c’est Anne Portier, présidente de l’OMNES. Si vous souhaitez assister à notre entretien et poser en avance vos questions, vous pouvez vous pré-inscrire en cliquant ici. Portez-vous bien, Rodolphe Bacquet



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