Du renfort à la gendarmerie

Le gendarme Mathieu Langlade.
Le gendarme Mathieu Langlade.

La brigade de gendarmerie de Puy l’Evêque vient de recevoir du renfort avec l’arrivée d’un nouveau gendarme. Commandée par l’adjudant-chef Méchin, elle compte dorénavant douze représentants de l’ordre dont deux gendarmes féminines ; elle fait partie de la communauté de brigade commandée par le lieutenant Gillet. Nous avons rencontré le nouvel arrivant Matthieu Langlade dans les locaux de la gendarmerie.

Est-ce votre première affectation ?

En effet, je sors de l’école de gendarmerie de Tulle en Corrèze. Ma formation dans une promotion de 120 élèves a duré huit mois. À la sortie de l’école, j’ai choisi d’être affecté dans la région Midi-Pyrénées, mon épouse ayant de la famille dans la région. Par contre ma nomination à Puy l’Evêque m’a été signifiée par mes supérieurs.

Pouvez-vous nous parler de vous ?

Bien sûr : âgé de 26 ans, je suis originaire de Toulon dans le Var ; mon père était marin dans un des plus importants ports militaires de France. J’y ai poursuivi mes études et ai obtenu un master en finances d’entreprises section comptabilité.

Qu’est-ce qui vous a poussé à intégrer la gendarmerie ?

J’ai toujours souhaité exercer une carrière militaire, et si possible en contact avec la population : la gendarmerie m’a semblé être la meilleure voie pour atteindre cet objectif. De plus, j’ai un frère gendarme. Je resterai au minimum 3 ans à Puy l’Evêque et j’envisage d’obtenir de l’avancement.

Quelle est votre spécialité ?

Mon titre exact est «Technicien d’identification criminelle de proximité». En clair, je m’occupe de la partie scientifique et des opérations techniques sur des scènes d’infractions. Une phase importante dans la lutte contre les cambriolages, une des priorités de la brigade.

Votre opinion sur le Lot ?

Un très beau département, dans lequel je suis très heureux de résider et où je peux pratiquer le sport, un de mes passe-temps favoris ; j’espère intégrer un club de football qui est mon sport préféré.

Propos recueillis par notre correspondant L. Fournié

Source : La Dépêche

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