Doubs : le cadavre d’un nouveau-né retrouvé dans une rivière

Le corps sans vie d'un nouveau-né a été retrouvé mercredi dans une rivière du Doubs (image d'illustration)
Le corps sans vie d’un nouveau-né a été retrouvé mercredi dans une rivière du Doubs (image d’illustration) AFP PHOTO. PHILIPPE HUGUEN

Un bébé mort a été découvert mercredi dans une rivière du département du Doubs.

C’est un riverain qui a fait la terrible découverte. Le corps sans vie d’un nouveau-né a été retrouvé mercredi dans une rivière, au niveau d’une écluse à Roset-Fluans dans le Doubs, à une vingtaine de kilomètres de Besançon, a fait savoir le parquet de Besançon.

Doubs : le cadavre d’un nouveau-né retrouvé dans une rivière

Paris Match ||Mis à jour le

Le corps sans vie d'un nouveau-né a été retrouvé mercredi dans une rivière du Doubs (image d'illustration)
Le corps sans vie d’un nouveau-né a été retrouvé mercredi dans une rivière du Doubs (image d’illustration) AFP PHOTO. PHILIPPE HUGUEN

Un bébé mort a été découvert mercredi dans une rivière du département du Doubs.

C’est un riverain qui a fait la terrible découverte. Le corps sans vie d’un nouveau-né a été retrouvé mercredi dans une rivière, au niveau d’une écluse à Roset-Fluans dans le Doubs, à une vingtaine de kilomètres de Besançon, a fait savoir le parquet de Besançon.

Le nouveau-né «venait probablement de naître» d’après les premières constatations des enquêteurs, a indiqué la gendarmerie. «L’Est Républicain» précise que le bébé avait encore son cordon ombilical et qu’il ne portait aucun vêtement. D’importantes recherches ont été menées par la gendarmerie, un hélicoptère a même survolé le site, indique le journal.

Une autopsie pratiquée jeudi

Une enquête a été confiée à la section de recherches de la gendarmerie de Besançon pour retrouver la mère de l’enfant. Toutes les hypothèses sont ouvertes, ajoute «L’Est Républicain» qui précise qu’il était pour l’heure impossible de dire si l’enfant était mort avant d’être jeté à l’eau ou s’il s’est noyé.

Une autopsie, qui devrait notamment permettre de dater le décès, devait être pratiquée jeudi par l’institut médico-légal de Besançon.

Source : Paris Match

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