Deux nouvelles failles béantes

l y a bientôt deux ans, à l’installation du Corona  Circus, j’ai eu rapidement le  mauvais pressentiment qu’on filait droit vers un traquenard vaccinal. Le moins qu’on puisse dire, c’est que cette prémonition s’est vérifiée puisque les fanatiques de la seringue veulent absolument nous vaxxer jusqu’au dernier. Le chef de la junte covidiste française l’a encore répété hier soir dans son adresse comminatoire aux 6 millions de Gaulois réfractaires. Mais très tôt aussi,  j’ai eu l’agréable intuition que cette fausse pandémie virale nous offrait la chance historique de bazarder le paradigme médical fondé sur les erreurs de Louis Pasteur. Le virus couronné d’épines venait clairement jouer le rôle de faux coupable et son évidente innocence allait permettre de réhabiliter nos « amicrobes » pour (re)découvrir l’importance primordiale du terrain. Contrairement aux apparences, nous ne sommes pas loin de ce grand renversement car la campagne de vaccination est en train d’échouer lamentablement. À mesure que les injectés remplissent les hôpitaux, il devient de plus en plus flagrant  que la solution constitue en réalité le problème et que l’immunisation artificielle est ridiculement moins performante que l’immunité naturelle. Dans le prochain numéro de Néosanté, il y a aura encore un dossier démontrant par A + B  que le fantasme pasteurien de faire mieux que la nature est totalement invalidé à l’occasion de cette « crise sanitaire ». Ce qui est chouette, c’est que son virus émissaire peut également compter sur des copains microbes pour assurer son acquittement. Récemment, deux études scientifiques viennent d’apporter la preuve que la présence de germes supposément pathogènes n’était nullement suffisante pour expliquer le développement des pathologies qu’on leur impute.
 
 
Crash d’hélico
 
La première de ces études (1)  portait sur la bactérie Helicobacter Pylori. Vous savez, c’est ce micro-organisme en forme d’hélice que la médecine juge responsable des ulcères gastro-duodénaux et des cancers de l’estomac. Il y a quatre ans, je plaidais déjà sa cause dans mon infolettre « Pas de pilori pour H. Pilory »  . Elle est présente chez un être humain sur deux et seuls 10 à 20% de ceux qui l’hébergent souffrent d’affections gastriques, ce qui oblige à admettre l’implication d’autres facteurs dans leur éclosion. L’un d’entre eux , la composition de la flore intestinale, vient précisément d’être identifié par les chercheurs qui ont examiné 375 personnes se plaignant de troubles gastro-intestinaux. Leur étude a mis en évidence que seuls 83 ( 22%) d’entre  eux étaient porteurs de HP, parmi lesquels 15 avaient des symptômes sévères. Par exemple, seulement 30% des patients atteints de gastrite étaient hôtes de la bactérie et à peine un ulcéreux sur deux était HP+. En revanche, les auteurs ont trouvé qu’un bas niveau de Bifidobactérium dans le microbiote était associé à l’incidence des ulcères et cancers gastriques, ce qui ouvre la voie au traitement et à la prévention de ces affections par des probiotiques. Certes, les scientifiques ne  veulent  pas encore admettre l’évidence : ils en concluent que la colonisation des voies digestives par la bactérie et sa toxine est « non suffisante » mais toujours « nécessaire » à l’ulcération et  à la cancérisation des tissus. Or leur étude démontre bel et bien que les symptômes les plus sévères surviennent souvent en l’absence des présumés fautifs. On savait déjà qu’une grande majorité de contaminés ne souffrait de rien, on sait maintenant  qu’une grande majorité de souffrants n’est pas contaminée.  L’hélico s’est crashé et il n’y a clairement pas de lien causal entre H. Pylori et les troubles qu’on lui attribue. Encore un petit effort, et la science finira par reconnaître que le terrain intestinal  – et donc le mode de vie en rapport avec la composition du microbiote – suffisent à expliquer les petits et grands maux de l’estomac. En amont des désordres intestinaux, il y a bien sûr le mal-être psycho-émotionnel, mais ce serait déjà pas mal que la médecine renonce à trucider un agent infectieux non-responsable du sort des ulcéreux et cancéreux.
 
Y’a du bacille dans l’air
 
La deuxième étude  (2)   qui fera date concerne la tuberculose. Selon la médecine « moderne », cette maladie infectieuse est due à la bactérie Mycobacterium tuberculosis, aussi nommée bacille de Koch d’après le nom de son découvreur. Jusqu’à présent, on croyait que la mycobactérie se transmettait via les expectorations.  C’est en toussant que les tuberculeux pouvaient répandre le microbe et contaminer l’entourage. Patatras : des chercheurs sud-africains viennent de réévaluer complètement le mode de transmission.  Pour cela, ils ont mesuré à quel point le bacille était émis par les personnes infectées lorsqu’elles respiraient normalement, profondément, ou qu’elles toussaient. Et dans les trois cas, ils ont observé que des nuages de particules contenant la bactérie étaient produits au bout de 5 minutes.  Certes, le fait de tousser produisait trois fois plus de germes aéroportés que le fait de respirer. Mais selon les expérimentateurs, le fait que l’on respire continuellement  pourrait impliquer que 90% des bactéries projetées dans l’air le soient par cette voie-là !  Vous voyez le topo ? Ça signifie que théoriquement, la tuberculose est aussi contagieuse que la grippe saisonnière ou la grippe covid. Pour cette dernière, un consensus a émergé cette année pour dire que les aérosols représentaient un mode  de transmission majeur de la maladie et qu’il fallait ventiler et se masquer pour s’en protéger. Et pour la grippe annuelle, on sait depuis quelques années que le virus Influenza  reste lui-aussi suspendu dans l’air en embarquant sur des micro-gouttelettes. La recherche sud-africaine vient donc bouleverser les connaissances en indiquant que la terrible tuberculose pourrait se choper aussi facilement que la grippe banale ou le covid. Ce qui est assez incroyable, c’est que cette affirmation a été énoncée sérieusement et que personne  dans l’assistance ne s’est écroulé de rire. Car si l’assertion était vraie, combien d’entre nous seraient vivants pour se gondoler ?
 
À poil Pasteur !

Durant la première moitié du siècle dernier, la tuberculose n’avait pas encore  déserté les  pays industrialisés. Et dans les sanatoriums où les malades étaient isolés  – à l’époque on n’isolait  pas encore stupidement les gens bien-portants –  ils étaient soignés sans protection particulière.  Pas de masques, peu de gestes barrières et désinfection minimaliste. Si le fléau était si contagieux, les toubibs et les infirmières auraient massivement été contaminés et de puissantes vagues épidémiques auraient occasionné des hécatombes dans la population générale. Ce ne fut pas le cas et les soignants eux-mêmes ne tombaient pas malades au contact des patients.  Dans mon infolettre du 17 juin 2020   sur le mythe de la contagion, je vous ai d’ailleurs communiqué quelques témoignages édifiants sur la non-contagiosité de la tuberculose. Mais en même temps, comme dirait le despote élyséen, on ne peut pas nier que les chercheurs sud-africains ont mis le doigt sur une réalité : le bacille de Koch n’est pas seulement expectoré, il se balade dans l’atsmosphère dès que ses porteurs ont la vilaine manie de respirer. Dès lors, on ne peut qu’en déduire la nullité du paradigme pasteurien : le microbe n’est rien, le terrain est tout. Chaque année, la tuberculose tue encore 1,5 millions de personnes. Mais cette tragédie annuelle se produit quasi-exclusivement dans les pays où règnent encore la misère, l’insécurité alimentaire et le manque d’hygiène la plus élémentaire. Chez nous, c’est la maladie pulmonaire des migrants et des sans-abris à la santé déjà précaire. Selon l’OMS, près d’un quart de la population mondiale est infectée  par la bactérie mais seuls 5 à 15% des infectés  développent la maladie. Bref, l’innocence du prétendu coupable ne devrait plus faire aucun doute maintenant que la volatilité du bacille est établie. Avec l’étude sur Helicobacter pylori, voilà deux nouvelles failles béantes dans la théorie du germe et, par voie de conséquence, dans le dogme vaccinaliste. Déjà bien dépouillé de ses oripeaux scientifico-médicaux, l’empereur Pasteur est  désormais nu comme un ver. Et il est certain que le brave coronavirus ne va pas aider à le rhabiller, que du contraire !

Source : Néo Santé

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