Callac menacée, Nicole Delépine condamnée, la Secte dans tous ses états

Les Résistants, les vrais, ceux qui dès 40 étaient au maquis sans attendre l’ordre de Moscou, défendaient les frontières de l’art de vivre à la française et non pas à la façon nazie ou soviétique ; oublié ce temps glorieux pour la poignée de bureaucrates retraités qui sont venus à Callac dernièrement oser se comparer à ces braves de 40 en préférant s’entêter à participer frénétiquement, le mépris aux lèvres, à des expériences d’injections de populations étrangères n’en demandant pas tant et qui n’auront en plus qu’une seule idée en tête ensuite, celle de rejoindre la grande ville et non pas de fusionner avec un village étranger, sa campagne et surtout son histoire…

Narcissisme des vainqueurs se drapant honteusement du combat « antifa » alors que la plupart de ces soutiens aux expérimentateurs ourdis de la Secte globaliste n’ont jamais été inquiétés, eux, dans leur soutien effectif aux assassins des millions de morts du communisme dont ils en sont en fait et toujours les porte-voix odieux.

Il est en effet tout à fait honteux de croire qu’en dissolvant ainsi et de fait les frontières, en détruisant ainsi et sciemment un être-ensemble, même menu, saignant de la sorte un peuple, sa culture au cœur même des petites contrées de l’âme française, alors que tant de personnes du cru là-bas attendent des logements et du travail,  on combattrait donc « le » fascisme ; on participe plutôt en réalité à la normalisation accélérée d’une doctrine idéaliste dite transhumaniste réduisant la citoyenneté à un décor, un paysage, dans lequel on plante qui l’on veut, dans une certaine jouissance de jardinier écervelé, prenant ainsi les hommes pour des tournesols que l’on pourrait alors à sa guise replanter ici ou là, et ensuite admirer voire pourquoi pas en peindre à l’ancienne les courbures… Mais attention aux plus jeunes qui viendront y coller leur main, vous rappelant que pour eux, il faut d’abord éliminer les producteurs humains de… CO2…

Et tous ces écervelés, jeunes ou vieux, ont la dent dure, surtout lorsqu’ils savent au fond que peu importe s’ils se trompent ou sont dans le mauvais camp puisque l’essentiel consiste à conquérir de la surface symbolique monnayable, c’est à ce prix, et ce n’est pas nouveau  : lorsque l’on lit en effet, par exemple, la prose de ces hauts fonctionnaires s’étant réfugiés à Vichy en 40, faisant également la navette entre Bordeaux puis Paris après l’armistice de 40, il est bien plus question de lutte de places, lutte d’influences, alliances et désaccords entre lilliputiens voguant de coucheries en dîners luxueux que de réelles luttes politiques se hissant à hauteur de vue tels ceux partant à Londres. Cela grouillait de m’as-tu-vu s’auréolant de quelques glorioles, dans les salons, en 14-18, ou dans les Colonies, mais sans plus, de la piétaille à retraite dorée et Légion d’honneur en veux-tu en voilà, rien de nouveau sous le soleil…

Les autres, eux, les vrais, vont s’organiser là où l’on se bat réellement pour défendre les frontières de la France, c’est-à- dire sa culture, sa civilisation ; de même aujourd’hui lorsque une poignée de gens courageux, comme Nicole Delépine, se sont levés pour défendre des traitements précoces trouvés à « l’arrache » mais trouvés quand même contre le virus trafiqué on ne sait trop encore comment et surtout dans quel but au sein du P4 de Wuhan (échappé in/volontairement ?), traitements donnés aux malades sur la base d’expérimentions de plus en plus vérifiées par les équipes de Raoult (plus de 300 malades au départ, 40 000 à l’arrivée…) et celle de Perronne à Garches (et aussi en Afrique et en Asie) et aussi nombre des médecins utilisant un des traitements ( “Je ne pouvais pas les laisser mourir de Jean-Jacques Erbstein, “Laissez les médecins prescrire” de Violaine Guérin), tous ces gens ces battants courageux intrépides se sont lancés dans la “guerre contre le virus” sur des bases réelles vérifiables quotidiennement dans les services, et non pas sur la base abstraite de réfutations biaisées comme celles parues dans le Lancet et jamais pourtant remises en cause par ces mêmes Autorités qui osent maintenant condamner Nicole Delépine dans un combat d’arrière-garde avec un langage si biaisé mais alambiqué pour faire “objectif” ; alors que l’on voit bien là qu’il ne s’agit pas seulement de rappel à la « discipline » mais d’un projet scientiste totalitaire déjà dans son esprit : faire plier tous ceux qui ne veulent pas « croire », tous ceux qui s’appuient plutôt sur des pratiques vérifiées que des injections douteuses, puisqu’en science il s’agissait, du moins autrefois, de démontrer, de vérifier, et, en pratique médicinale, de traiter avec des molécules que l’on sait polyvalentes mais peu dangereuses…

Mais tout ceci, cet esprit pionnier et rigoureux, a été perdu désormais…

Car en effet, et alors que tous les indices affluent désormais pour prouver définitivement que ces injections sont bien plus nocives que bénéfiques et qu’il y avait des traitements – que l’on s’est cependant empressé de disqualifier afin de faire ces affaires de plus en plus sordides avec ces stimulants immunitaires artificiels ne durant que quelques mois et avec effets secondaires carabinés pour de plus en plus de monde, comment encore prendre  au sérieux ces lilliputiens, là aussi paradant dans ces « chambres disciplinaires », médecins aussi efficaces que ceux de Molière et cousins en réalité du docteur Knock ?… Comment peuvent-ils encore pérorer alors que tout montre le caractère inopérant de cette « médecine », et que dans le monde entier, sauf en France, l’on réintègre, en coulisses, les soignants, en leur faisant même des excuses dans certains endroits ?…

Reste maintenant ce dernier entêtement d’un monde anglo-saxon à l’abandon, succombant à ses succubes. Plus dure sera la chute tant après avoir triomphé du nazisme et du communisme, l’hubris de la victoire se transforme en furie façon Médée détruisant ses propres enfants au nom de « la Terre », au nom d’un transhumanisme se prétendant divin, ou l’acrasie à l’état pur, mettant en cause les lois humaines fondamentales aussi bien que celles de la vie voire de l’univers en prétendant contrôler vents et marées (éoliennes plutôt que nucléaire) ; allant jusqu’à empêcher plus prosaïquement qu’enfin une réelle entente se fasse sur le continent de l’Eurasie alors que depuis des décennies, comme le relate Dostoïevski dans son Journal, les élites européennes ont méprisé tout ce qui venait de cette Russie orthodoxe qui les concurrençait cependant dans les arts et lettres, la musique (moins la peinture) et s’élevait de plus en plus en mathématiques, psychologie, et physique (Sakharov comme l’un des derniers géants de la physique quantique et de l’astrophysique surtout) malgré les errements d’un idéalisme de la « matière » qui a failli tout emporter et qui aujourd’hui trône dans les plus hautes sphères à l’Ouest réitérant les mêmes expériences sur « l’homme nouveau » à fabriquer…

Et devant cette aboulie exponentielle anglo-saxonne et aussi germanique, la France, au lieu de la freiner, l’accélère. Il est temps encore de dire stop.

Lucien Samir Oulahbib

Source : Riposte Laïque

Nicole Delépine, oncologue retraitée, sanctionnée par la chambre disciplinaire pour ses propos sur le Covid et l’hydroxychloroquine

Crédit photo : S.Toubon

Alors que la plainte contre le Pr Christian Perronne a été rejetée en début de semaine par la chambre disciplinaire de première instance d’Île-de-France de l’Ordre des médecins, la Dr Nicole Delépine, figure des covido-septiques, vient, elle, d’y être condamnée.

Dans une décision rendue le 21 octobre, l’ancienne oncologue pédiatrique, écope d’un blâme. Une sanction qui fait suite à une plainte déposée en février 2021 par le Conseil national de l’Ordre des médecins (Cnom), relevée par « APM News ».

Selon la décision disciplinaire, que « Le Quotidien » a pu consulter, la Dr Delépine, désormais retraitée, a notamment manqué à ses obligations déontologiques lors de deux interviews médiatiques en 2020, l’une sur « France Soir », l’autre sur « Sud Radio ».

Hydroxychloroquine

Ainsi, en juin 2020, l’ancienne cheffe de service en cancérologie pédiatrique à l’hôpital de Garches (AP-HP) a fustigé dans les colonnes de « France Soir » l’interdiction de l’hydroxychloroquine. « Il s’agit en réalité d’un coup d’État sanitaire marqué par l’interdiction du ministre de la chloroquine trop dangereuse pour des aînés destinés à être euthanasiés au Rivotril dans les Ehpad rappelant ainsi les tristes heures de l’eugénisme médical nazi », écrivait ainsi la Dr Delépine.

Quelques semaines plus tôt, interrogée sur « Sud Radio », l’oncologue remettait une couche sur le traitement préconisé par le Pr Raoult, indiquant aux auditeurs que « la chloroquine (était) le meilleur de ce qu’on peut proposer ». Le « seul traitement efficace », selon la retraitée, qui soulignait alors que l’hydroxychloroquine n’etait même pas proposée à des patients « que de toute façon ils vont les euthanasier ».

« Caractère outrancier »

« En s’exprimant dans la presse nationale et sur les réseaux sociaux pour relayer des propos dépourvus de toute nuance et dommageables aux intérêts de la santé publique, alors qu’elle dispose de l’autorité que lui confère sa fonction médicale, le Dr Delépine a contrevenu » au Code de déontologie, a plaidé le Cnom lors de l’audience.

Si la chambre disciplinaire n’a pas retenu l’intégralité des fondements du Cnom, elle considère que Nicole Delépine a manqué à deux articles du Code de déontologie, à commencer par l’article 13. Ce dernier précise que les médecins, lorsqu’ils communiquent ne doivent faire « état que de données confirmées », faire « preuve de prudence » et avoir « le souci des répercussions de ses propos ».

Or, selon la décision, « il est constant que la Dr Delépine a donné, sur les médias sus-indiqués, des informations qui ne s’appuyaient sur aucune donnée confirmée, sans faire preuve de la prudence nécessaire et dans des termes parfois excessifs, alors qu’ont existé très rapidement de profondes incertitudes sur les traitements appropriés au Covid ». Aussi, « ces propos sont de nature, par leur caractère outrancier, à déconsidérer la profession de médecin », juge la chambre disciplinaire.

L’oncologue a, pour sa part, fait valoir que la plainte ordinale portait « gravement » atteinte à la liberté d’expression.

Masques, vaccins…

Depuis le début de la pandémie, la Dr Delépine s’est à plusieurs reprises exprimée en faveur de l’hydroxychloroquine. Reprenant les arguments controversés des antivaccins, elle critiquait également une « pseudo-vaccination » Covid, qui risquerait « de modifier l’ADN des générations futures ». Pour l’oncologue, cette vaccination « accélère la progression des cancers » et « réveille les cancers en rémission ».

Sur le masque, – « une imposture » – Nicole Delépine a dénoncé « un outil d’enfermement », qu’elle qualifie de « muselière ». « Ce masque n’est pas seulement une fausse protection, mais bien une poursuite de la destruction de notre Humanité, vers le transhumanisme », écrivait-elle. Plus généralement, l’oncologue est connue pour son opposition au vaccin anti-HPV depuis une dizaine d’années.

Source : Le Quotidien du médecin

Lire également un article Publié le 07/07/2014, Mis à jour le 25/04/2016 : Le Figaro – Nicole Delépine, la guerre est déclarée

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