Avec ce manuscrit, je souhaite traiter, uniquement selon les règles d’une argumentation scientifique libre et réelle, le thème du CO2 qui semble actuellement si important pour les médias et la politique, mais aussi poussé par ma conscience en tant que physicien actif dans ce domaine depuis environ 1960 et par une obligation morale impérative pour mes concitoyens . ARTICLE DE DECEMBRE 2020 .

Mais le CO2, on peut l’oublier sans crainte ! Son élimination ne nous apporterait que des malheurs. »

par bellinaanne, publié dans classée

Mémorandum sur le CO2
6 décembre 2020 par Soleil froid
Par Albert Köhler

Avec ce manuscrit, je souhaite traiter, uniquement selon les règles d’une argumentation scientifique libre et réelle, le thème du CO2 qui semble actuellement si important pour les médias et la politique, mais aussi poussé par ma conscience en tant que physicien actif dans ce domaine depuis environ 1960 et par une obligation morale impérative pour mes concitoyens, auxquels on s’apprête à imposer dans les années et les décennies à venir des sacrifices financiers de l’ordre de billions de dollars et des pertes très nettes de qualité de vie, bien que le CO2 n’ait pratiquement rien à voir avec un changement climatique.

Après avoir joué un rôle important dans la mise en place et l’exploitation du réseau allemand de stations de mesure de la pollution atmosphérique de fond pour le LFA et l’UBA, j’ai eu l’occasion, en tant que Chief Environment Division, d’acquérir une grande expérience à l’Organisation météorologique mondiale (OMM) des Nations unies, notamment dans la mise en place et l’exploitation d’un réseau de mesure mondial correspondant. J’ai également été responsable du bureau du « Panel of Experts on Meteorological Aspects of Environmental Pollution » de l’OMM. Les membres de ce panel, présidé à l’époque par le professeur Chr. Junge, directeur du MPI für Chemie de Mayence, étaient les plus grands experts du monde, pour la plupart des directeurs d’instituts universitaires, dont certains étaient également les auteurs des manuels de référence de l’époque.

Ce panel s’est également penché sur l’intérêt qui vient de naître pour le CO2 et son influence présumée sur le climat. Il était alors très clair que si l’on considérait le CO2 de manière quantitative, et non plus seulement qualitative, il devait être quasiment insignifiant. En effet, la vapeur d’eau omniprésente dans l’atmosphère (H2O sous forme de nuages, de brouillard, etc.), dont la concentration est bien plus élevée (10-20 litres/m3), absorbe dans toutes les fréquences IR et 1000 fois plus que le CO2 anthropogène, dont la concentration est très faible (20-40 millilitres/m3) et dont l’absorption est bien plus faible dans seulement deux bandes IR. Le CO2 anthropique est sans effet sur le bilan radiatif IR. Les fréquences propres des deux molécules sont si différentes parce que l’atome relativement plus léger de O=C=O (poids moléculaire 44) et l’atome relativement plus lourd de H-O-H (poids moléculaire 18) se trouvent au milieu (H:1, C:12, O:16). Ainsi, les deux molécules sont fondamentalement différentes dans leur comportement IR. Le CO2 n’est pas prévu par la nature comme paramètre climatique, il sert, grâce à son long temps de séjour, à transporter le carbone organique réactif dans les zones de végétation.

Or, les données d’observation ont permis d’établir une corrélation statistique entre la concentration de CO2 et la température de l’atmosphère. Il faut savoir qu’une telle corrélation n’indique pas laquelle des deux variables est la cause et l’effet, mais surtout, elle ne permet pas de savoir si la relation est directement causale. En effet, une corrélation entre deux variables semble également exister lorsque les deux sont corrélées dans le même sens avec une ou d’autres variables. Il faudrait pour cela disposer d’une population de données suffisante. Comme la corrélation supposée n’a été vue que qualitativement dans un premier temps, des hypothèses fantastiques sont à la disposition d’une hypothèse, il suffit qu’elles paraissent plausibles. Il ne peut être question d’un critère rempli. Le lien supposé reste une pure hypothèse tant que tous les doutes n’ont pas été sérieusement examinés et débattus.

Mais cela ne s’est plus produit, car ce thème physique a été soustrait à la science classique dès les années 1970, pris en main avec détermination par la politique et les médias et utilisé avec zèle pour nous faire croire que le CO2 était un « gaz à effet de serre ». Les scientifiques sérieux n’ont plus eu le droit de s’exprimer et, depuis, seule l’hypothèse du « CO2, gaz climatique », forgée par les médias, les politiques, les profanes fanatiques, les médias en mal de catastrophes, les sachants autoproclamés de toutes les facultés et les partis politiques, fait foi. Face à la masse de suiveurs devenus plus verts et peu objectifs, les partis conservateurs se sont vus contraints d’essayer par tous les moyens de conserver leurs électeurs, mais surtout de reconquérir ceux qu’ils avaient perdus. C’est ainsi que sont nés les nombreux slogans sur la protection du climat et, finalement, les lois sur la « protection du climat » consolidées par le Parlement, pour lesquelles la physique ne s’applique pas pour l’essentiel.

La lutte pour le climat est une question de vie ou de mort. C’est ce qu’a montré la première action des Verts, qui a choyé le moteur diesel. Selon les lois de la thermodynamique, il a un rendement légèrement meilleur que le moteur Otto, car la pression dans le cylindre du diesel est plus élevée, ce qui produit des poussières fines extrêmement dangereuses. La littérature scientifique spécialisée des années 1960 avait mis en garde avec véhémence contre le moteur diesel, car ses poussières fines, uniques en leur genre, pénètrent directement dans les cellules humaines et y provoquent des cancers (surtout dans les poumons et le cerveau), aidées en cela par tous les gaz nocifs dont les molécules adhèrent fortement à ces poussières fines. C’est pourquoi des milliers de grands voyageurs doivent mourir plus tôt chaque année. Mais en matière de protection du climat, une vie humaine ne vaut manifestement rien.

Autrefois, la protection de l’environnement se préoccupait aussi et surtout de la santé humaine. Aujourd’hui, une vie humaine pour quelques molécules de CO2 épargnées est une bonne nouvelle pour les défenseurs verts du climat. D’ailleurs, les conducteurs de diesel ont choisi des moteurs plus puissants en raison du carburant bon marché et ont ainsi plus que compensé le CO2 économisé, on continue à assassiner sans scrupule et en toute bonne conscience parce qu’on économise soi-disant du CO2, une morale très macabre. Les poussières fines du diesel ne peuvent être retenues par aucun filtre pouvant être installé dans une voiture. Des filtres capables de faire cela devraient avoir une surface énorme ou une résistance à l’écoulement si élevée que le moteur ne pourrait plus tourner. On peut donc comprendre que les constructeurs automobiles doivent recourir à des astuces, car ils ne peuvent pas modifier les lois physiques, même si les politiques semblent penser que c’est possible. Il n’y a qu’une seule possibilité : le moteur diesel doit être retiré de la route si l’on voulait éviter des milliers de meurtres chaque année, mais cela ne semble plus être à l’ordre du jour. Tuer pour la « protection du climat » ? Tout simplement incroyable ! Mais même une voiture électrique n’économise guère d’énergie, car elle doit traîner son énorme batterie, alors qu’une voiture à carburateur obtient gratuitement de l’air l’oxygène dont elle a besoin, un élément essentiel.

En ce qui concerne la thermodynamique que nous venons d’évoquer, le degré d’efficacité de toute transformation d’énergie est déterminé par celle-ci. Ainsi, lorsque nous transformons de l’énergie chimique (pétrole, charbon, gaz) en d’autres formes d’énergie (mouvement, pression, énergie électrique ou potentielle, etc.) à l’aide de notre technique hautement intelligente, cela ne se fait que partiellement selon la thermodynamique, avec un rendement généralement inférieur à 50%, en moyenne environ 20-40%. Les 60 à 80 % restants sont inévitablement perdus de manière irréversible sous forme de « chaleur perdue » (waste heat) et provoquent un réchauffement de l’environnement, principalement des couches inférieures de l’atmosphère. Il existe certaines possibilités d’utiliser la chaleur résiduelle, par exemple dans le cadre d’une association de centrales électriques et de chaleur, mais la loi sur la chaleur résiduelle s’applique ici aussi à chaque transformation. Lors de toutes les transformations d’énergie, nous rejetons donc environ le double de l’énergie utilisée sous forme de chaleur résiduelle dans les couches inférieures de l’air, ce qui est considérable. (D’ailleurs, chaque adulte est également un radiateur de 75 watts). Rien que notre consommation d’énergie réchauffe donc déjà l’environnement. Et cette consommation d’énergie est bien sûr proportionnelle au nombre de personnes qui peuplent la Terre. Elle leur permet de bénéficier de tout le confort que la science et le progrès technique nous offrent.

Cette relation entre la consommation d’énergie et la température de la Terre, imposée par la physique, nous ne l’attribuons jusqu’à présent, sans jamais vouloir en douter, qu’au CO2 produit par la consommation d’énergies fossiles. Le CO2 provient en fin de compte des océans. Au fond des océans, la croûte terrestre n’est éloignée que de 7 km de l’intérieur brûlant de la Terre. Et les volcans au fond de la mer libèrent du magma dans la mer. Il en résulte divers composés, dont le CO2 dissous dans la surface de la mer. Là, il s’évapore, toujours selon la loi de la pression partielle, et grâce à son temps de séjour extraordinairement long dans l’atmosphère, il parvient également à l’intérieur des grands continents, où la végétation en a besoin. L’augmentation de la concentration de CO2 s’est accompagnée d’une augmentation des surfaces vertes sur la Terre, comme le prouvent les observations de la NASA. Une nature intelligente.

Le CO2 sert donc avant tout à notre alimentation et à l’approvisionnement de la biosphère en oxygène libéré lors de la photosynthèse. C’est pourquoi le CO2 atteint son maximum pendant 24 heures la nuit. Malgré cela, il n’a aucune importance pour le bilan de l’énergie rayonnée par le soleil pendant la journée et de l’énergie renvoyée dans l’espace la nuit sous forme de rayonnement infrarouge, soit bien plus de 90% de l’énergie rayonnée. Comme expliqué plus haut, cet équilibre est presque exclusivement réglé par la teneur en eau de l’atmosphère. Nous en avons la preuve chaque matin. Après une nuit nuageuse, la température matinale est à peine inférieure à celle de la veille, mais en plein air, elle est jusqu’à 10°C et plus fraîche que la veille au soir, malgré le maximum de CO2 anthropique enregistré pendant la nuit. Si l’on cherche à s’imaginer les énormes quantités d’énergie en jeu, on comprend aisément que le peu de CO2 anthropique est alors totalement « perdu ».

La forte augmentation de la densité de population depuis à peine 150 ans, avec le début de l’industrialisation, qui n’a duré qu’un clin d’œil dans l’histoire de la Terre, et qui a été multipliée par dix, un ordre de grandeur, s’est déroulée parallèlement à la légère augmentation de la température de l’atmosphère, qui s’est produite de manière relativement brutale. Comme je l’ai dit, cela n’a pas grand-chose à voir avec le CO2, mais on peut tout à fait considérer le CO2 comme un indicateur de la consommation d’énergie, et non comme la cause du réchauffement. Vouloir réduire le CO2 n’est pas seulement impossible, c’est aussi totalement inutile. Nous pouvons nous épargner toutes les mesures planifiées, coûteuses et douloureuses qui réduisent notre qualité de vie sans influencer l’évolution des températures.

Il n’y a donc que deux possibilités d’éviter la « catastrophe climatique ». Et ce sont les suivantes : Réduire considérablement la consommation d’énergie de toutes sortes et, ce qui est encore plus utopique, réduire la population de la Terre, ce qui prendrait beaucoup de temps si c’était possible, ce serait un défi de plusieurs siècles. Pour nourrir encore plus d’habitants, la chimie des engrais ne suffirait plus. La planète est probablement déjà surpeuplée. Il ne reste donc plus qu’à économiser l’énergie. C’est là que la politique, les médias, les fanatiques, les écologistes, les personnes mal orientées, les sachants notoires et les experts autoproclamés de tous bords doivent s’unir pour abandonner la stratégie consensuelle et confortable qui a prévalu jusqu’à présent et laisser à nouveau à la nature le CO2 si vital pour nous. Sans les hydrates de carbone de notre alimentation d’origine végétale, il n’y aurait plus de vie humaine. Mais nous ne brûlerions pas dans une catastrophe climatique apocalyptique, car sans l’oxygène fourni par le CO2, nous serions asphyxiés avant.

Mais tous ceux qui, dans leur manière désormais si habituelle de menacer avec éloquence (et fatigue) et d’organiser avec imagination les « conséquences climatiques », se présentent avec tant de dévouement et d’assurance comme les empêcheurs d’une apocalypse, devraient reconnaître qu’on ne peut pas changer la nature, qu’il nous manque la force, l’équipement mental et aussi la foi en la nature qui veut nous protéger. L’homme ne peut pas s’opposer aux événements naturels, il ne veut pas s’y opposer. Il devrait s’en accommoder avec une certaine modestie, mais aussi avec satisfaction, et peut-être même s’enthousiasmer. Ce serait tout à fait conforme à l’exigence de l’homo sapiens, qui s’est développée et acquise au fil des millénaires. Il ne faut pas non plus, à cause de son imagination débordante, que nos enfants imaginent sans cesse des catastrophes comme un avenir sûr, ce qu’ils ne peuvent absolument pas assimiler et qu’ils doivent donc aussi traiter psychologiquement, probablement même Greta Thunberg.

Il existe encore d’innombrables possibilités d’économiser l’énergie, pour le chauffage, la cuisine, la réfrigération, le transport, etc. Nous le savons déjà. Juste un petit exemple. Lors de la préparation des repas, une famille, même petite, peut facilement économiser 1 à 2 kWh par repas si les casseroles ne sont pas remplies d’eau. Quelques gouttes et un couvercle lourd bien adapté suffisent pour cuire à la vapeur de manière saine à une température de cuisinière réduite, car pour chauffer de l’eau de 20° à 100°, il faut environ 80 kcal par ml, mais pour évaporer l’eau à 100°, il faut encore environ 540 kKal par ml. Là où l’on voit de la vapeur, on gaspille massivement de l’énergie. Cela dit tout. Avec un peu de réflexion, chacun peut trouver de nombreuses possibilités d’économiser de l’énergie, l’imagination n’a guère de limites. Et en plus, on économise même de l’argent. Mais le CO2, on peut l’oublier sans crainte ! Son élimination ne nous apporterait que des malheurs. D’ailleurs, même si nous parvenions à éliminer totalement le CO2 anthropique, la nature se contenterait de le récupérer dans les océans. L’enfouissement du CO2 ne servirait à rien non plus.

Quelques mots encore sur les modèles climatiques souvent cités. Ces modèles sont adaptés aux données météorologiques connues du passé et sont ensuite extrapolés dans le futur. Aucun modèle n’a donné des prévisions acceptables au-delà d’une période de prévision de quelques mois. Il est donc légitime de se demander dans quelle mesure les modèles peuvent prédire le temps pour des décennies et des siècles. En tout cas, rien de ce que les premiers modèles climatiques avaient prédit en 1970 pour aujourd’hui ne s’est réalisé, pas d’élévation du niveau de la mer de plusieurs mètres, pas de hausse des températures de 4 à 5°. Trop de choses avaient été ignorées dans les modèles, ils contiennent aussi quelques exposants dont la valeur ne peut pas être déterminée expérimentalement et doit être estimée arbitrairement. On est donc facilement tenté de les choisir de manière à se rapprocher du résultat espéré. – Mais comme l’influence de l’H2O a été largement sous-estimée dans les modèles, il a fallu surestimer par calcul l’effet du CO2 pour obtenir la courbe de prédiction souhaitée, comme l’a récemment rapporté un travail universitaire finlandais.

Avec les modèles, on a d’ailleurs également calculé combien l’Allemagne pouvait contribuer à la baisse de la température en réduisant comme prévu le CO2. Résultat : 7/100 de degré, en théorie, et non mesurable. Pas de résultat tangible pour deux mille milliards d’euros. La Création ne se laisse pas faire. L’homme ne peut pas changer le monde. Il ne peut pas mobiliser les énergies nécessaires, comme nous l’avons déjà évoqué. – Voici quelques exemples à ce sujet : Chacun des quelque 7000 orages quotidiens transforme en une heure l’énergie de la bombe d’Hiroshima (ce que celle-ci a fait en une fraction de seconde) ; un seul cyclone tropical a l’énergie correspondant à la consommation globale de l’homme en énergie électrique pendant un an ; et si l’on voulait produire la chaleur que transporte le petit Gulf Stream, il faudrait faire fonctionner 110000 (cent dix mille) centrales nucléaires à travers l’Atlantique, c’est-à-dire une tous les 50 mètres (et non km). Cela montre à quel point l’homme est faible. Merci au ciel, car si l’homme pouvait faire la pluie et le beau temps, il aurait déjà une nouvelle arme de guerre. Heureusement que nous connaissons si peu la météo que nous ne pouvons pas la faire nous-mêmes. (On peut influencer les précipitations de manière très limitée dans l’espace et dans le temps, c’est tout). Ainsi, la nature sage finit par nous protéger.

Une autre observation donne des indications sur la chronologie de la chaleur et de la concentration en CO2. Des études paléoclimatiques récentes montrent qu’au cours de l’histoire de la Terre, la chaleur a toujours augmenté en premier, suivie d’une augmentation du CO2. Il ne faut pas oublier que, comme nous l’avons déjà mentionné, la majeure partie du CO2 présent sur Terre se trouve dans les océans. Les concentrations en profondeur sont plus élevées que dans les couches supérieures, en raison des nombreux volcans actifs au fond des océans. Le CO2 présent dans les océans sert d’ailleurs aussi à permettre aux plantes aquatiques calcaires (comme les coraux) de vivre.

Il est régulièrement fait référence au consensus mondial sur la question du CO2. Celui-ci est principalement dû au fait que les scientifiques qui doutaient ont été muselés de manière souvent abusive, leurs travaux n’étant plus publiés (notamment par crainte des éditeurs de voir des fanatiques prêts à faire régner la terreur). Les sceptiques, volontiers traités de « négationnistes climatiques », sont réduits au silence sous la menace ou en refusant de faire carrière. Les instituts de recherche scientifique (recherche sur les conséquences du climat), gérés par l’Etat à grands frais, devraient pourtant être fermés s’ils acceptaient le CO2 comme insignifiant. De nombreux emplois seraient perdus. On ne peut pas prendre ce risque. Mais un consensus dans lequel la grande majorité des personnes ne peuvent pas être des experts en la matière – il n’y en a pas tant que ça – n’est justement pas un critère scientifique. Le consensus comme preuve ? Seulement pour les ignorants !

Actuellement, une véritable expérience est même en cours, qui ne serait pas possible en temps normal, à savoir mesurer l’effet d’une réduction de 30% du CO2 anthropogène à l’échelle mondiale en raison de la pandémie Corona. Un refroidissement, même s’il existe physiquement, est incommensurablement faible, et il serait difficile de le prouver à 100%. La nature a besoin du CO2 et ne se laisse pas priver. Nous pouvons en être reconnaissants au ciel.

Un bref résumé et une nouvelle intéressante :

Le système de climatisation de la planète régule le rayonnement infrarouge avec la vapeur d’eau et les nuages. La réduction du CO2 anthropogène, qui entraîne des coûts énormes et une perte de qualité de vie, n’est pas appropriée en raison de sa faible sensibilité aux IR. La chaleur dégagée par 9 milliards d’habitants de la Terre, conformément à la physique de la thermodynamique, ne peut être réduite que par des économies d’énergie strictes ou, un jour, par une diminution de la population. Cela se fait toutefois, comme nous l’avons déjà mentionné, par le biais du moteur diesel, notamment en tant que SUV. La question de savoir si la politique souhaite continuer à utiliser cette possibilité est laissée à son exigence éthique.

Ce qui est nouveau, c’est que des climatologues chinois ont récemment fait état de plusieurs cycles de température à long terme, avec des périodes de différentes durées, qui auront un minimum à peu près simultané au cours des prochaines décennies, ce qui entraînera des températures nettement plus basses, d’abord en Asie centrale. – Il n’est pas exclu que le reste du monde soit également touché.

Albert Köhler MSc.

https://archiv.klimanachrichten.de/co2-memorandum/embed/#?secret=Waaeb4KVPw

Source : Anna Bellas

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