Attentat à Marseille « opportun et annonciateur »

Dimanche 1er octobre 2019, gare Saint-Charles à Marseille. Un attentat terroriste se solde par l’assassinat de deux femmes, égorgées à l’arme blanche sur le parvis, sur fond d’émeutes à Aulnay-Sous-Bois pour venger « Yacine ».

Tous les prétextes sont bons pour laisser libre cours aux instincts primitifs.

L’assaillant serait connu pour des faits de droit commun sous différentes identités. Comme c’est surprenant !

L’auteur ayant eu la complaisance de crier « Allahu akbar » devant des centaines de témoins avant d’être abattu par les militaires du dispositif « Sentinelle », les médias auront du mal à nous servir la thèse du « déséquilibré ».

Déjà, Marseille a été récemment secouée, à la mi-septembre, par une attaque à l’acide contre deux touristes américaines, attaque commise par une personne « dont on peut penser qu’elle présente des troubles psychologique » (arrêtez de vous foutre du monde !!! plus personne n’est dupe.), justement à la Gare Saint-Charles.

De quoi vous donner l’envie de prendre plutôt l’avion…

On peut dire que cette attaque phocéenne est opportune, en plein débat sur l’impératif de transcrire l’état d’urgence dans les textes législatifs permanents.

A croire que les excités et autres « radicalisés » prennent un plaisir pervers à servir l’agenda des promoteurs du « Nouvel Ordre Mondial » (encore un « Machin », comme dirait le Général). Le monde est plein de coïncidences en faveur des dictatures.

C’est vrai que ce meurtre prémédité tombe à pic : qui aurait maintenant l’outrecuidance de contester les mesures confiscatoires des libertés que s’apprête à prendre le gouvernement Macron ?

Le remède au terrorisme est pourtant simple : alors qu’on s’achemine paisiblement vers la barre des trois cent morts en France, prendre quelques fleurs qui font toujours plaisir, quelques déclarations politiques à peine frémissantes (il faut verbaliser les traumatismes), un cachet de Padamalgam et deux ou trois tours de vis supplémentaires aux libertés publiques qui ne seront bientôt plus qu’un lointain souvenir.

On remarquera toutefois que les victimes de ces deux actes d’un remarquable courage sont des femmes, manifestement les cibles privilégiées des « troublés psychologiquement », lesquels n’ont cependant pas perdu la raison au point de s’attaquer à un troupeau de rugbymen…

Question commerce, l’élevage de « troublés psychologiquement » que l’Etat entretien avec constance sur le sol national (et continue à faire proliférer à grand renfort de mesures humanitaires européennement correctes) n’est pas sur le point de s’effondrer. Peut-être faudra-t-il songer à les exporter pour renflouer le PIB ?…

En attendant, une chose est certaine : les familles de ces femmes brisées dans leur corps par un barbare, se retrouvent sans préavis submergées par un immense et injuste chagrin, avec tout ce qu’on ne peut pas imaginer de déchirement devant l’impuissance face à l’inacceptable.

Saint-Exupery aurait peut-être évoqué ce « cri de bêtes qui perdent leurs petits ». D’autres parleront sans doute de la conséquence d’une succession de félonies envers une Nation qui se sent irrémédiablement trahie.

Jusqu’à quand le Peuple Français supportera-t-il – admirablement impassible et stoïque – d’entendre dans ses campagnes mugir ces féroces soldats, qui viennent jusque dans nos bras égorger nos fils et nos compagnes ?…

Nous sommes à chaque coup de couteau, à chaque jet d’acide, à chaque rafale d’AK47, un peu plus près de l’effrayante issue, qu’il ne faut pas être devin pour prédire. Un responsable du Renseignement Intérieur évoquait « qu’encore deux Nice ou deux Bataclan et la France basculera vers la guerre civile ».

Est-ce le but recherché ?

Ou sinon, comment expliquer que d’une part l’expert européen du terrorisme Gilles de Kerckhove pointe du doigt 17.000 combattants « prêts à passer à l’acte en France » mais que, d’autre part, aucune mesure d’expulsion ne semble prise, alors même qu’Europol, le bureau de coordination des polices nationales de l’UE, a identifié de son côté pas moins de 30 000 sites jihadistes actifs sur Internet !

A un tel niveau de désastre, il est difficile de parler d’incompétence.

Si l’on considère ces effectifs effarants, les liens jihadistes actifs sur Internet, et le « ballon d’essai » que pouvait constituer l’opération de viols collectifs commis simultanément Noël dernier en Allemagne (dont le gouvernement allemand a reconnu qu’ils étaient « coordonnés » par téléphone portable), il est manifeste que nous sommes à la merci d’une ATTAQUE GENERALE COORDONNEE sur l’ensemble du territoire national.

Le fait qu’elle soit le fait d’individus « troublés psychologiquement », ne rassurera je crois personne, à part les fleuristes.

Le procédé qui consiste à découper un phénomène général en tranche, et d’en « requalifier » de façon anodine chaque rondelle sera inopérant à « enfumer » des citoyens de plus en plus sceptiques et avisés, qui se défient désormais de la « langue de bois » officielle, devenue répressive jusque dans l’intimité des conversations privées car la désinformation a fait long feu.

Le mutisme éloquent de la presse envers les crimes de radicalisés qui se multiplient (comme par exemple l’attaque brusquée d’un fourgon de maréchal-ferrant dans le Var par quatre individus barbus et armés de marteaux, visant à la tête) risque de ne pas suffire non plus à masquer « l’effroyable imposture » des élites.

Mais derrière le sentiment de solitude des familles françaises, légitimement et dramatiquement inquiètes pour leurs proches, les femmes comme les enfants, offert en proie à une sorte de « cinquième colonne », demeure que la France est un vieux pays.

Cette Nation a traversé des heures sombres, comme la Terreur ou l’occupation nazie.

Qu’on se souvienne alors du discours du 18 juin d’un certain Général :

« Certes, nous sommes submergés. Mais le dernier mot est-il dit ? »…

VALMY

Source : Volontaires pour la France

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