Allez les Congolais !

La vie de journaliste anticovidiste est parfois pénible : pour savoir ce que les plandémistes  covidingues nous préparent, il faut bien continuer à lire la presse qui déverse leur propagande et leur délire totalitaire à longueur de pages. Malgré mon dégoût, je reste donc abonné au journal Le Soir (alias Le Suaire) qui est le principal canal de désinformation et le fer de lance de l’intox provax en Belgique. Et il y a des jours, comme aujourd’hui, où la lecture de ce torchon est particulièrement écœurante.  Dans son édition de ce matin, le quotidien pousse un cocorico et annonce que la Belgique va bientôt distribuer  3,8 millions de doses de vaccins, ce qui fera un total  de 7,3 millions  de doses d’ici la fin de l’année. Mon pays dépensier a en effet décidé de doubler ses promesse de dons – c’est-à-dire ses achats aux labos avec l’argent du contribuable – et de rétrocéder ses ruineuses emplettes aux États pauvres dans le cadre du programme Covax, un machin piloté par L’ONU et Big Pharma à travers le GAVI (l’Alliance pour le Vaccin).  Les « heureux » bénéficiaires de cette fausse générosité sont bien entendu surtout les pays africains. Et la Belgique, histoire coloniale oblige, se montre particulièrement soucieuse d’approvisionner la République Démocratique du Congo. Rien d’étonnant donc à ce que Le Soir contribue à la manœuvre en louant les efforts de coopération entre les deux pays. Dans son édition de ce mercredi, le journal  covidiste interviewe notamment  l’ «éminent virologue » congolais Jacques Muyembe et met en exergue une déclaration ahurissante  de ce virocrate local : pour lui,  le faible taux de vaccination atteint actuellement en RDC  (à peine 0,04% de la population) serait dû à la méfiance de cette dernière, laquelle méfiance serait imputable aux fausses nouvelles propagées par les antivaccins !

Méfiance ou bon sens ?
 
C’est vraiment incroyable d’énoncer une telle connerie et de prendre ainsi les Congolais pour des cons : ceux-ci sont réfractaires à l’injection pour la bonne et simple raison qu’il n’y a pas de pandémie en Afrique noire.  Au Sud du Sahara et au Nord de l’Afrique du Sud, toute la partie subtropicale du continent est en effet très largement épargnée par le fléau. Comparativement aux autres régions du monde, l’Afrique subsaharienne est  étrangement boudée par le virus et ne lui paie qu’un très léger tribut. C’est un fait et les faits sont difficilement discutables.  Le Dr Muyembe l’admet lui-même puisqu’il reconnaît dans le même entretien que le Congo s’attendait à un tsunami  et n’a eu affaire qu’à une « pandémie douce ». Cette expression est déjà le contraire d’un euphémisme. En trois vagues, l’ex-Zaïre n’a déploré que 1053 décès  attribués au Covid, soit 0,001  % de la population puisque ce pays gigantesque compte 90 millions d’habitants. Absolument dérisoire. Alors, pourquoi faudrait-il que ces mêmes habitants s’inquiètent et se ruent sur la « solution » vaccinale d’un problème qui n’existe pas ? En fait de méfiance, les Congolais  font preuve d’un remarquable bon sens ! Dans mon infolettre du 6 janvier 2021, j’analysais les explications probables à l’exception africaine  et je ne vais donc pas me répéter ici. Je vais cependant rappeler un élément qui figurait dans un autre billet, à savoir l’absence de notre « suspect » vaccinal antigrippal. Sous l’équateur et les tropiques, la grippe est endémique et circule donc à bas bruit toute l’année en faisant très peu de victimes. Elle n’a pas le caractère saisonnier et relativement agressif que nous connaissons sous nos latitudes. Ceci expliquant cela, le vaccin annuel contre les Influenza ne fait pas partie des armes antivirales déployées là-bas. Or, comme nous l’avons souligné à plusieurs reprises dans Néosanté, il y a tout lieu de penser que les vaccins antigrippaux de dernière génération  sont responsables des pics de mortalité anormaux observés en Occident. Là où l’on a vacciné massivement contre  la grippe, les infections à corona ont flambé et mis l’hôpital sous tension.  Là où on ne l’a pas fait,  la «  terrible pandémie » a été  discrète, voire inexistante. Je ne sais pas dans quelle mesure le Congo a bénéficié  de la seconde situation, mais une chose est sûre : les Congolais sont un exemple de flegme anglais et ils ont bien raison de boycotter les injections anticovid puisque la maladie est quasiment inconnue chez eux.
 
Une admirable résistance
 
Leur résistance à l’hystérie vaccinaliste est d’autant plus admirable que leur pays, comme d’autres en Afrique,  a été soumis à d’intenses pressions propagandistes. Si vous l’ignorez, je rappellerai d’abord que quatre chefs d’État africains sont mystérieusement décédés en 2020 et 2021 : le premier ministre ivoirien  Hamed Bakayoko, son homologue du Swaziland  Ambrose Dlamini, le président  burundais Pierre Nkurunzziza et son collègue de Tanzanie, John Magulfi.  Comme par hasard, ces quatre leaders africains ne voulaient pas faire paniquer leurs concitoyens, étaient réticents à décréter des confinements et ne voulaient pas (encore) entendre parler de vaccinations au moment de leur disparition. Et comme par hasard aussi, leurs successeurs ne sont plus de vilains « négationnistes », respectent beaucoup mieux les consignes de l’OMS et sont enclins à promouvoir le vaccin. Un jour ou l’autre, il faudra sérieusement enquêter sur ces quatre morts douteusement naturelles. Je mentionnerai ensuite que deux grandes ONG, Amnesty International et Human Rights Watch, ont curieusement délaissé leur « core business » des droits humains pour se lancer dans un lobbying intense en faveur du vaccin. Est-ce parce que ces deux organisations  humanitaires sont financées en partie par la galaxie  du multimilliardaire George Soros, lui-même associé à Bill Gates dans le développement de vaccins anticovid  ? Toujours est-il que les deux multinationales non-gouvernementales militent depuis des mois pour que les pays riches déversent sur les pauvres leurs doses excédentaires. Aux motifs d’égalité et de justice sociale, elles souhaiteraient que deux milliards de vaccins soient donnés d’ici la fin de l’année. Et bien entendu, elles incitent les dirigeants africains à les quémander et à les administrer. Je pointerai enfin que l’Afrique noire a reçu des dons  saugrenus en provenance d’autres organismes caritatifs. Par exemple, le Congo a reçu de la Banque Mondiale des ambulances spécialement conçues pour  « affronter le covid » et venir en aide aux patients secourus.  Si vous ne me croyez pas, vous pouvez le vérifier en regardant cette photo où l’on voit un véhicule floqué des  mots « urgence covid ». Sorry, je n’ai pas retrouvé le reportage d’où est extrait ce cliché mais je me souviens qu’il était tourné à Kinshasa.  Aussi fou que cela paraisse, les habitants de la capitale de la RDC (et d’autres villes peut-être) ont  donc assisté à un ballet d’ambulances dont les interventions étaient prétendument destinées à réanimer des covidés agonisants. Pour préparer le terrain au vaccin, il fallait d’abord affoler les gens et leur faire croire que le terrifiant assaillant était  omniprésent. Les Congolais ont bien du mérite d’avoir résisté à cette immonde et sournoise propagande.

Le scandale Mosquirix
 
Mais comment vont-ils résister à la suivante ?  Le 6 octobre dernier, l’Organisation Mondiale de la Santé  a recommandé que le  vaccin Mosquirix soit utilisé en prévention du paludisme. Cette recommandation est présentée comme étant fondée sur les résultats d’un programme pilote  qui a permis de vacciner plus de 800.000 enfants africains.  Le vaccin Mosquirix  a été développé  depuis 30 ans en Belgique par le laboratoire  anglo-américain GSK. Selon les études concluant les essais, le vaccin aurait montré une réduction de 30% des cas de paludisme  grave et mortel. Et concernant la sécurité, l’OMS évoque un profil d’innocuité « favorable » sur la base de 2,2 millions de doses déjà administrées. Une aubaine pour les pays en proie aux ravages de la malaria ?  Rien n’est moins sûr. En janvier 2020, un article publié dans le British Medical Journal  et signé par plusieurs épidémiologistes expérimentés  a révélé les terribles effets adverses du Mosquirix. Selon les auteurs, « les données de toxicité sont catastrophiques », avec notamment  une incidence majorée des méningites chez les enfants vaccinés,  une augmentation des malarias cérébrales et un doublement de la mortalité féminine. Ce sont ainsi des centaines de fillettes  qui ont été immolées sur l’autel des appétits industriels. Et des dizaines de milliers d’autres Africains qui vont subir ses graves inconvénients maintenant  que ce vaccin est approuvé et encouragé par les autorités sanitaires. Si vous voulez en savoir plus sur cet énorme scandale, prenez la peine de visionner la conférence de presse qui s’est déroulée jeudi dernier à Namur et qui a été filmée par mes confrères du journal  Kairos. Elle met en présence l’ancien député européen Paul Lannoye et le docteur en sciences luxembourgeois Pierre Lutgen.  Vous l’avez reconnu ? Oui, il s’agit bien du scientifique qui apparaît dans le documentaire « Malaria Business » (film de Bernard Crutzen) et qui œuvre inlassablement pour que soient reconnues les vertus antipaludiques de la tisane d’Artémisia. Au cours de cette conférence de presse bien évidemment snobée par la presse conformiste,  Pierre Lutgen  a lancé un énorme pavé dans la mare car il a annoncé que, selon des études cliniques récentes, l’armoise en tisane  serait également capable de traiter la tuberculose en 15 jours !  N’oubliez pas de télécharger le document en bas de la vidéo, c’est une mine d’infos sur cette affaire du Mosquirix.
 
Une attaque via GSK ?
 
 Si je vous en parle , ce n’est pas seulement parce que cela concerne mon sujet du jour et que le docteur et chercheur congolais Jérôme Munyangi   joue un rôle moteur dans la reconnaissance de l’armoise comme remède  prodigieux aux fléaux infectieux affligeant l’Afrique.  Si j’évoque ce dossier, c’est aussi parce que « j’ai progressé en complotisme », comme je l’ai confessé lors de le dernière émission de L’Info En Questions à laquelle m’avait amicalement invité notre ancien collaborateur Jean-Jacques Crèvecœur (*). En d’autres termes, je ne rejette plus l’hypothèse d’un vaste complot manigancé depuis longtemps et  scénarisé dans ses moindres détails. Dès le début du Corona Circus, je me suis demandé pourquoi la firme GSK  ne se lançait pas réellement dans la course au vaccin  et se contentait de fournir l’excipient huileux aux autres fabricants. Et si la répartition des rôles entre eux  prévoyait  précisément l’arrivée en fanfare du Mosquirix ? L’approbation officielle de ce vaccin  anti-palu tombe au moment où la campagne vaccinale covid fait un bide au Congo et se plante aussi dans d’autres pays d’Afrique. Si elle voulait vacciner la terre entière, comme l’a ambitionné ouvertement Bill Gates, la clique de Davos ne pouvait plus miser sur cette seule injection et devait trouver d’autres prétextes à des inoculations massives. Le double feu vert de l’OMS et de l’EMA (Agence Européenne du médicament) s’allume pile poil pour pouvoir inonder le continent noir de fioles fallacieusement salvatrices contre la malaria. Si j’ai une suggestion à faire, c’est que le Mosquirix attire l’attention des médecins et  techniciens qui ont analysé les vaccins covid au microscope électronique  et y ont découvert, notamment, des vers parasites, de l’oxyde de graphène et d’autres nanoparticules métalliques toxiques. Pour moi,  l’hypothèse d’une nouvelle attaque à la seringue empoisonneuse et spécifiquement dirigée contre l’Afrique n’est pas aussi tordue qu’elle n’en a l’air. Les oppresseurs covidistes nous ont déjà allègrement prouvé que le traquenard vaccinal était le piège global tendu et prévu depuis le début. Il faudra tabler sur la lucidité et l’indocilité du peuple congolais pour faire échec à ce qui apparait de plus en plus comme une machination diabolique.  
Yves Rasir

Source : Néo Santé

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