Un bilan 2015 positif pour la brigade territoriale autonome de gendarmerie

Sécurité

Les gendarmes de la brigade territoriale autonome de Puylaurens ont invité les élus et les retraités à leur traditionnelle inspection annoncée pour l’année 2015. Cette année encore, les résultats obtenus par les militaires sont positifs.

Comme l’explique Stéphane Radaëlli, le commandant de la brigade : «Elle compte 14 militaires, 3 véhicules et 25 communes à couvrir, soit 11 890 personnes ou 850 habitants par gendarme. Deux nouvelles communes se sont rattachées à la brigade, avec la mise en place des nouveaux cantons. La brigade de Puylaurens est donc compétente sur trois cantons.» Le commandant poursuit par le bilan des actions : «Les résultats obtenus sont positifs. La délinquance générale est en baisse. Les cambriolages aussi. Les réunions de prévention faites dans les différentes communes portent leurs fruits puisque les habitants n’hésitent plus à nous contacter quand ils voient quelque chose de suspect. Côté sécurité routière, il n’y a pas eu de mort en 2015, mais une hausse des accidents, dus aux conduites addictives et à la vitesse excessive. Pour ce qui concerne les fêtes de village, il y a deux communes à problèmes. Il faut réfléchir à la mise en place du même dispositif qu’à Puylaurens lors des fêtes générales et qui a fait ses preuves.»

Puis le commandant Emmanuel Garrigue, de la compagnie de gendarmerie de Castres, a pris la parole : «Les militaires de la brigade ont fait un travail remarquable et notamment pour les fêtes de village, qui se sont bien passées, en apportant plus de tranquillité et de sérénité aux familles. Je salue aussi le travail de proximité réalisé avec les élus et les habitants, soit grâce aux différentes réunions de prévention, soit en cherchant le renseignement sur le terrain.»

Anne Laperrouze, maire, conseillère départementale, a conclu en remarquant que «les gendarmes ont un rôle social important» et en évoquant «la future gendarmerie. Quand l’autoroute Toulouse-Castres sera mise en œuvre, il y aura plus d’effectif et il faudra un autre bâtiment. Nous gardons un terrain à leur disposition sur Puylaurens. Mais il faudra attendre que le projet soit définitif.»

Source : La Dépêche

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *