Santé Responsable – Réapproprions nous notre santé

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Réapproprions nous notre santé (Site en cours de création)

La Santé

Sujet fondamental qui concerne chacun.

Je suis vivant. Cette vie qui m’anime reste pourtant bien mystérieuse car je me suis souvent vu comme simple témoin de ses effets en moi avant de m’autoriser à en devenir l’acteur. Un acteur étonné.

Avoir la santé c’est être sain (sans ‘T’) !

Et nous opposons à cet état de santé la notion de maladie. Curieusement, la notion de maladie fait fonction de rivale de la notion de santé. Comme si nous étions cernés d’ennemis belliqueux toujours prêts à se saisir de nous au moindre faux pas.

J’ai opté depuis fort longtemps pour un autre scénario : je suis vivant car la vie m’a accueillie en son sein, et ce cadeau est immense, car il m’implique également comme acteur de moi même. Je vis dans un monde temporel et cette temporalité me permet de m’affranchir de mon ignorance d’être en vie. L’ouverture à la conscience ne s’arrête jamais. Même lorsque je dors, mes cellules poursuivent leur action de cellules, mon cœur continue son œuvre de gardien, et mon esprit apaisé par l’absence temporaire du mental peut se replonger dans son espace initial pour s’y ressourcer.

L’ouverture à la conscience est une œuvre lente, mais édifiante. Mon seul ennemi est ma propre ignorance. Comme d’ignorer le toit de ma maison. Si une fuite survient ou si elle s’écroule, c’est mon insouciance qui est en cause, pas la toiture. Cette comparaison semble hardie, mais c’est bien ainsi que je considère les choses lorsque je ne tient pas compte des messages de mon propre corps.

Car mon corps sait qu’il m’abrite. Nous avons une œuvre à accomplir, lui et moi. Nous unir !

Dans les pages qui vont suivre, je vais essayer de poser les notions qui m’ont aidé à m’affranchir de cette duplicité, comme des balises guident un navire pour lui éviter les dangers.

Je tiens d’abord à remercier les chercheurs que j’ai croisé sur mon chemin et qui m’ont offert ces balises :

Lynn Margulis, biologiste spécialisée sur la vie anaérobie avant l’apparition de l’oxygène sur la terre.

Antoine Béchamp, médecin, physicien et pharmacien, qui découvrit et étudia les microzymas, ces ouvriers du vivant sans lesquels aucune cellule n’existerait.

Corentin Louis Kervran, chercheur en médecine, il met en lumière tout un pan de la chimie organique passée sous silence : les transmutations biologiques.

Marc Henry, enseignant chercheur à Strasbourg, spécialiste de l’eau.

Jacob Liberman, ophtalmologue, auteur de “Lumière”, un excellent ouvrage qui replace la lumière à sa juste valeur.

Je salue au passage son traducteur, Maxence Layet, avec qui je compte bien faire avancer la notion harmonieuse de la santé !

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