Nous partageons avec vous cette information (vérifiée), qui fait *grand bruit* au sein de la Famille des anciens de la Légion Étrangère

Régis Ollivier

101208832_2660432524200874_489727478353362944_nLes bras m’en tombent. Nous ne sommes pas du même camp. Mais je ne suis légionnaire donc… //RO

Monsieur Didier LALLEMENT, préfet de police de Paris, se verra remettre la distinction de légionnaire de 1ère classe d’honneur par le Général Denis MISTRAL, commandant la Légion étrangère, à l’occasion d’une cérémonie qui se tiendra au Groupement de Recrutement de la Légion étrangère (GRLE) au Fort de Nogent, demain mercredi 3 juin à 17 heures.

Allez voir également sur le site de l’AALE ce qu’en pensent les légionnaires, lisez les commentaires. https://www.facebook.com/Aale80/

Source : Le Colonel.net

Au sujet de cette information un commentaire de Gilbert K. qui mérite d’être reproduit ci-dessous :

Des honneurs?

déshonneur !!!

Un service policier aux ordres d’un régime oligarchique, n’a aucune valeur souveraine.

J’accuse pour le non respect de la liberté et de la sécurité citoyenne, par mon droit de naissance et en vertu de la loi souveraine :

Art. 3. Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément.

Art. 2. Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression.

Art. 9. Tout homme étant présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable, s’il est jugé indispensable de l’arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s’assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.

Art. 12. La garantie des droits de l’Homme et du Citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.

Art. 16. Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.
En vertu de cette loi, monsieur Didier Lallement se voit coupable du non respect de ces fonctions .

A cet effet aucun mérite pour son service non rendu et se voit donc démit ce mardi 2 juin 2020 de ces fonctions en tant que préfet de police, fonctions non valables devant la loi des droits de l’homme.

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