Loi bioéthique ?

ADNLa majorité parlementaire vient de payer sa dette à la rue Cadet, qui a grandement œuvré à sa mise en place : elle vient de voter à une majorité de 60 voix contre 37 et 4 abstentions un texte de loi sur la Bioéthique qui ne fait que témoigner de leur amoralité et de leur perversité.

Les circonstances dans lesquelles ce vote à été perpétré est en soi un scandale : Sur 577 députés élus et rémunérés, il n’y avait- apparemment- que 101 présents ! Ce qui est scandaleux quand on lit la portée à peine voilée de cette loi qu’auraient approuvé les nazis. Ce premier scandale donc, est la manière dont l’olympe a manœuvré : Comment un texte d’une telle portée pour la morale publique et la morale tout court à pu être voté en catimini par une « majorité » qui dans les faits ne représente que 4% des Français ? En 2017 les suffrages officiellement exprimés représentaient 38,43% des inscrits. Les 60 voix représentent 10,3% de l’assemblée nationale élue par 38,43% du peuple dont elle ne représente donc qu’une infime minorité : 4% des inscrits…C’est ce que « la gauche en marche » appelle la démocratie populaire !

Mais le pire du scandale est ailleurs : que signifie « Bioéthique » ? Pour simplifier on peut traduire par « morale de la vie, ou morale appliquée à la vie » ; en effet Littré définit l’éthique, du latin éthieus comme « la science de la morale ». Le même définit la morale comme « l’ensemble des règles qui doivent diriger les activités libres de l’homme » ; Voltaire nous précisait : « Que la morale n’est point dans la superstition, ni les cérémonies, qu’elle n’a rien de commun avec les dogmes ( ! )…et que la morale est la même chez les hommes qui font usage de leur raison. » (dict. Philosophique).

C’est grand dommage que ces élus, par paresse, obscurantisme ou analphabétisme ne relisent pas les bons auteurs : toute cette crasse intellectuelle, lobotomisée sans s’en être rendu compte, est incapable de faire usage de raison, de réfléchir : Ils sont mus par le « dogme », la grande pensée socialo-communiste adepte de la table rase, du démantèlement de la famille, de la société, pour obstinément y substituer une utopie mortifère. Le seul but de ces gens, qui agissent par automatisme comme une colonie de fourmis consiste à détruire la civilisation qui les a formés. Ces individus à l’inconscient troublé relèveraient selon Freud de la psychiatrie : dans leur phantasme ils ne rêvent que de tuer l’autorité morale qui s’oppose à leur frustration (complexe d’Œdipe). Ces malades vivant dans l’espace clos de leur parti et de leur classe sociale se considèrent comme l’émanation du monde, les idées absconses qu’ils ressassent entre eux sans vraiment les analyser ni les comprendre donnent lieu à une surenchère verbale qui réclame un besoin toujours plus grand de transgressions.

Ainsi de tolérances en tolérances, on en vient à pervertir la sémantique, et faisant fi de l’étymologie à changer le sens même des mots. Ainsi pour ces dangereux psychopathes, la « morale » ne peut être que leur conception égocentrique du bien, c’est-à-dire de leur intérêt propre et immédiat ; c’est ce « Dogme » que Voltaire rejette et combat. Lorsqu’on y regarde de près, les idées de ces gens vont à l’encontre du bien commun : elles ne s’intéressent qu’aux souhaits égoïstes, débridés et sulfureux d’une infime minorité d’irresponsables qui veulent imposer à la majorité leurs élucubrations, leurs dérèglements et leur folies. Nous sommes aujourd’hui en pleine hystérie délirante, cette minorité agissante récuse et bafoue toutes les lois « naturelles », celles qui s’appliquent à tout ce qui vit sur notre planète. Rejetant l’héritage civilisationnel bimillénaire, ils prônent un retour à la barbarie la plus débridée. Après le « genrisme » : femelle ou mâle on sait ce que cela veut dire, mais neutre ? Existe-t-il un sexe « neutre » dans la nature… ?

Nous avons eu la PMA qui peut se comprendre pour de vrais couples qui ont des difficultés à procréer. Mais n’en déplaise à messieurs-dames-neutres LGBT La « location » d’un ventre n’est autre que du commerce d’être humain, c’est-à-dire de « l’esclavage légalisé » ! De quel Droit prennent-il la liberté de priver volontairement un enfant de celui d’avoir un père ou une mère ? Qui leur permet de disposer du corps et de la vie d’un autre ? Pourtant tous les pédiatres et les spécialistes du comportement de l’enfant sont unanimes : les deux sont nécessaires au bon développement psychique et intellectuel de l’enfant ; et ceux qui prétendent qu’un homme peut remplacer une mère, ou une femme un père, ne sont que de pompeux imbéciles, ou de dangereux psychopathes. Ces élucubrations sont des crimes contre l’espèce humaine !

La loi Léonetti à ouvert la porte, avec le scandale Vincent Lambert, à l’eugénisme : une partie de nos élus est décidément admirative des crimes nazis, au point de reprendre leurs idées…  La loi Veil a ouvert la porte à l’assassinat légal et remboursé par la SS (sécurité sociale) de vies en devenir, sous les applaudissements de féministes hystériques et de députés décervelés. Dès lors que la vie n’est plus sacrée, toutes les dérives, même les plus immorales, sont permises : on va maintenant accélérer les « fins de vie », bientôt « euthanasier » les malades mentaux, les infirmes et pourquoi pas le « suicide assisté » obligatoire au delà de l’âge légal de la retraite (quelle économie financière, des logements libérés… !) Ne souriez pas, le mentor de Jupiterne, conseiller spécial de l’Elysée, qui se veut philosophe, a publiquement émis l’idée que les retraités devenaient une « trop lourde charge pour la société »… ! Ces conseillers et ces élus semblent avoir apprécié les idées professées dans « mon combat » d’un certain Adolf….

Quelle est la morale de ces gens, quelle conception ont-ils de l’homme, de la nation, de la famille ? Ces individus assoiffés de puissance et de domination ne jugent des choses qu’à travers leur valeur financière, leur rentabilité et leur utilité dans leur volonté d’ascension financière et sociale. Pour eux, tous les coups, même les plus bas, les plus indignes, sont permis pour arriver à leurs fins : Honneur, respect, amitié, fidélité, pitié sont des sentiments et des mots qui leurs sont étrangers. Alors, quelle « morale » ces immoraux ou plutôt ces « amoraux » par nature, peuvent-ils appliquer aux sciences de la vie, puisque dans leurs principes et dans leurs faits ils n’ont aucun respect pour cette « vie » qui ne représente pour eux qu’une valeur marchande.

Oser parler de « Bioéthique » et voter une loi portant ce nom serait à mourir de rire, si cela ne donnait pas envie de pleurer…de rage ! Nous touchons au fond de la veulerie, de l’ignominie…Le Régent avait eu la sagesse de répondre à ceux qui étaient venus lui demander la grâce du comte de Horn « Quand j’ai du mauvais sang, je me le fais tirer ! » La France aura-t-elle le courage et la sagesse d’en faire de même ? Jusqu’à présent, l’exécutif avait fait preuve d’incapacité à gouverner, d’orgueilleux mépris pour les Français, il nous avait montré en bradant à l’étranger nos fleurons technologiques, nos entreprises stratégiques, qu’il avait été mis en place par des puissances financières pour dépecer notre pays. Aujourd’hui ce qui se passe est gravissime : le pays est à vau l’eau, des minorités s’érigent avec l’aide des politiques et des médias corrompus en dictateurs des mœurs et de l’économie. La camarilla qui s’est emparée du pouvoir relève de l’asile psychiatrique : ils n’ont qu’une obsession détruire notre pays, notre civilisation, du passé faire table rase…

Montjoie saint Denis !

Michel ROGER

Source : Volontaires Pour la France

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