La vaccination, pionnière de l’identification numérique mondiale

Pendant que Linky vous espionne, Gazpar vous détecte, et Alexa vous écoute, on prépare le monde d’après :

La vaccination, pionnière de l’identification numérique mondiale

www.kla.tv/Coronavirus-fr

qgF-ERF-oactlONSWaun9oULIRQ@740x49929.06.2020

Plus la crise du Coronavirus dure, plus la politique mondiale redouble d’efforts pour imposer les vaccinations de masse. « La pandémie et les contraintes sanitaires ne finiront que quand on disposera d’un vaccin. » C’est là la ritournelle unanime dans les déclarations des politiques et des représentants de l’Institut Robert-Koch.

Les assouplissements temporaires des mesures coercitives ne sauraient faire illusion. Dans le contexte des vaccinations contre le coronavirus et des discussions incessantes au sujet de la preuve d’immunité, il est envisagé de faire un recensement numérique complet de la population.

Bill Gates disait à ce sujet, le 18 mars 2020 : « Un jour nous aurons des certificats numériques qui nous permettront de savoir qui est guéri de l’infection du coronavirus, qui a reçu le vaccin et quand. » Les identités numériques servent à enregistrer et identifier les personnes et les objets. Pour cela, on utilise fréquemment les cartes à puce et les codes PIN ou des données biométriques comme les empreintes digitales ou l’iris de l’œil. En 2018, l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) a vanté les avantages du recensement numérique. Dans le bulletin de l’OMS –

« Programmes de vaccinations et informations sur les événements d’importance vitale » il est dit : « ID4D et l’Alliance ID 2020 s’engagent à mobiliser les gouvernements, la société civile, les organisations internationales et le secteur privé pour utiliser efficacement les technologies numérique d’identification sur une vaste échelle. » Mais quels buts, et les intérêts de qui, ces organisations poursuivent-elles ? ID4D est une initiative du Groupe de la Banque Mondiale qui aide les pays à réaliser des systèmes d’identification, c’est-à-dire à « créer d’ici 2030 l’enregistrement des naissances et l’identité légale ».

Le partenaire principal et le financier de ID4D est la Fondation Bill et Melinda Gates. ID2020 est une alliance qui prétend vouloir améliorer la qualité de la vie par l’identité numérique. Dans un article publié en 2018, ses membres décrivent les vaccins comme le moyen parfait pour introduire l’identité numérique dans le monde. Les fondateurs et principaux partenaires d’ID2020 sont tous en relation étroite avec Bill Gates et l’industrie vaccinale.

L’Institut de Technologie du Massachussets (MIT) a publié, en décembre 2019, les résultats de la recherche initiée et financée par la Fondation Bill et Melinda Gates. En même temps que le vaccin, on introduit sous la peau des données codées dans un motif formé de pigments invisibles à l’œil nu, c’est-à–dire qu’on implante une identification numérique. Le 12 avril 2020, lundi de Pâques, Bill Gates déclarait dans une interview dans l’émission allemande Tagesthemen : « Finalement, nous administrerons le vaccin à 7 milliards de personnes. » Ce qui veut dire en clair que chaque être humain devra recevoir une identité numérique. Mais voilà le hic ! Quel est l’inconvénient de l’identité numérique qui doit être administrée en même temps que les vaccinations ? L’acceptation d’une identité numérique était jusqu’à présent, théoriquement, librement consentie ; dans les faits, pourtant, elle était une contrainte inéluctable.

En Indonésie, par exemple, n’obtiennent du gaz liquide subventionné, pour cuisiner, que ceux qui ont une identité numérique. C’est-à-dire, déjà, 41 millions d’Indonésiens. Au Bangladesh, le gouvernement, en accord avec ID2020 et l’Alliance vaccinale GAVI, dote les nourrissons et les enfants, lors de l’enregistrement de leur naissance, ou d’une vaccination, d’une identité numérique. Au Nigeria, on s’est servi de drones pour détecter qui n’a pas été vacciné contre la polio, ce qui est contrôlable à tout moment grâce à l’identité numérique. Cette vaccination, combinée à l’identité numérique, c’est donc la porte ouverte à un contrôle et à un conditionnement absolus. Il est maintenant de la responsabilité de chacun de prendre conscience des esclavages à venir et d’opposer de la résistance.

Coronavirus : « Les chiens renifleurs reconnaissent les positifs mais aussi les faux négatifs »

Dépistage du Covid 19 : des essais menés avec des chiens renifleurs montrent des résultats « bluffants »

Source : Stop Linky 28

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *