Du mouvement à la gendarmerie

Sécurité

En 2015, il y a eu du mouvement à la brigade.
En 2015, il y a eu du mouvement à la brigade.

2015, à la brigade de Vic qui, avec celles de Maubourguet et de Castelnau-Rivière-Basse, constitue la communauté de brigades sous les ordres du lieutenant Serge Dumanoir, aura été marquée par deux départs et deux arrivées. Départs de Philippe Labayle-Pardeilha, accédant au club des retraités, et de l’adjudant Nicolas Burou vers un service de la compagnie de Tarbes dans la capitale bigourdane ; arrivées du gendarme Stéphan Bonneton et de l’adjudant-chef Philippe Collongues, deux nouveaux venus parmi les 19 militaires en fonction pour une communauté de brigades à l’effectif potentiel de 24 hommes.

Parcours. Précisément douze ans au sein de la gendarmerie pour Stéphan Bonneton qui a démarré en 2003 dans la tenue de gendarme adjoint volontaire à Périgueux, avant d’entrer en école de sous-officier à Chatellerault jusqu’à son affectation à l’escadron du Havre, en 2005. L’étape suivante le conduira de la Seine-Maritime en Normandie, à l’Aveyron de Midi-Pyrénées, en 2013, à Saint-Chély-d’Aubrac. La dissolution de cette unité lui vaut son arrivée à Vic. L’adjudant-chef Collongues affiche quant à lui un périple commencé en 1989 dans cette même école de Chatellerault. Suivront, depuis 1990, des affectations dans les escadrons de gendarmerie mobile à Guéret, dans la Creuse, Tarbes, avant différentes étapes dans des brigades de proximité à Parthenay, dans les Deux-Sèvres ; Léguevin, en Haute-Garonne ; Riscle la gersoise, qui le rapproche de ses racines, Rabastens, entre 2009 et 2015, et aujourd’hui Vic. Hors conditions professionnelles dans la communauté de brigades du lieutenant Dumanoir et de la brigade du major Jean-Pierre Quadri, les deux nouveaux venus, qui habitaient en collectif, ont apprécié leurs quartiers de résidence dans les pavillons individuels.

Source : La Dépêche

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