Dialogues. Confession de Philippe B., ancien du GIGN

c-est-la-premiere-fois-qu-un-membre-du-gign-se-livre-a_4393983_311x330pC’est la première fois qu’un membre du GIGN se livre à visage découvert. (Marion Philippe)

En tête d’une colonne d’assaut du GIGN durant quinze ans, Philippe B. se confie à visage découvert dans un livre coécrit avec Jean-Luc Riva, ancien militaire spécialise? dans la recherche du renseignement. Il sera à la librairie Dialogues, le mercredi 13 février.

Élevé à la dure, l’aptitude aux arts martiaux de Philippe B. l’a amené très tôt aux frontières de la violence et de la délinquance. Pourtant, depuis qu’il a suivi en direct à la télévision le célèbre assaut du GIGN sur un Airbus à Marignane, alors qu’il avait 16 ans, Philippe B. a nourri pour nouvelle ambition d’intégrer le « Groupe ». Après un parcours sinueux et semé d’embûches, il a passé les tests de sélection et a fini parmi les premiers de sa promotion.

Parcours hors du commun

Les psychologues se sont opposés à sa candidature en raison de son profil pour le moins atypique et de ses erreurs de jeunesse. Les instructeurs en ont décidé autrement. Ils savent qu’ils vont pouvoir canaliser son énergie et lui offrir une nouvelle vie, celle d’un opérationnel du GIGN. Voici donc l’histoire de Philippe B., un « ops » au parcours hors du commun (chuteur opérationnel, instructeur en sports de combat, expert en explosifs et tireur d’exception dont l’adresse sera déterminante pour la réussite de certaines missions). Entre son éducation « spartiate » et ses interventions en Libye, dans le golfe d’Aden, en Irak, ou ses dernières opérations antiterroristes sur le territoire national, comme à Dammartin-en-Goële avec les frères Kouachi en janvier 2015, il lève le voile sur le quotidien des opérationnels du GIGN.

dialogues-confession-de-philippe-b-ancien-du-gign_4393984_540x808pPratique
Rencontre dédicace, le mercredi 13 février, à partir de 18 h, à la librairie Dialogues, avec Philippe B., auteur avec Jean-Luc Riva de « GIGN, confessions d’un ops ». Prix conseillé : 21 €.

Source : Le Télégramme

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *