Deuxième vague de mensonges

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1 juillet 2020

Vous pensiez que tous les festivals estivaux étaient annulés ? Détrompez-vous : cette année, nos autorités et les médias qui leur servent de porte-voix occupent la scène et nous offrent un grand show de désinformation  ! Au programme : une flopée d’infoxs, un défilé de contre-vérités et une kyrielle de mensonges nouveaux ou resservis en guise de deuxième vague.

Puisque la première n’a pas été le tsunami annoncé, les confineurs-baratineurs mettent tout en œuvre pour camoufler le fiasco de leurs prédictions et l’absurdité de leurs réglementations liberticides sous une couche de tromperie supplémentaire.

Ce Corona Circus m’écœure tellement que je commence à somatiser et que je souffre depuis quelques jours de véritables nausées. Toujours interdite, la compétition de football amateur me manque énormément car ce n’est pas le footing  ou le vélo qui peuvent remplacer ce sport très défoulant. Heureusement, j’ai pu participer samedi soir à une belle fête sans masque ni distanciation sociale et ça m’a redonné le moral. Et pour surmonter mes haut-le-cœur, je compte sur l’effet cathartique de cette infolettre intentionnellement colérique. Parmi les bobards épandus à la pelle dans les journaux et les émissions télé en ce début d’été, en voici 6 qui me donnent littéralement envie de vomir.

Désolé si je vous refile mon dégoût mais ça me fait vraiment du bien de dénoncer cette épidémie de fausses nouvelles débitées par des confrères qui me paraissent de moins en moins frères et  de plus  en plus ….

1er mensonge : Novak Djokovic est un inconscient

Il y a  quinze jours, Novak Djokovic a organisé  un tournoi de tennis en Serbie et en Croatie. Ce n’était pas une compétition mais bien une exhibition  ludique destinée à récolter des fonds pour des œuvres caritatives tenant à cœur au champion serbe.

Les joueurs invités  à cet « Adria Tour » ont aussi joué au foot et au basket sans porter de masque  ni respecter la distanciation sociale. On les a vus – quelle horreur ! – se toucher sans gants et même s’étreindre sur le court  pour se féliciter.  Étrangement,  les sportifs, leurs soigneurs et leurs coaches ont fait l’objet d’un dépistage express et une quinzaine d’entre eux  – dont « Djoko » lui-même – ont été testés positifs au Covid-19.

Depuis lors, c’est la curée : tous les médias ont hurlé à l’abomination et accusé le tennisman d’avoir joué avec le feu et  avec la vie d’autrui. En fustigeant son « comportement inconscient », les inquisiteurs à micro ou à stylo ont souligné qu’il aggravait son cas car on le sait adepte des médecines naturelles, du régime sans gluten et  de la méditation. Un mec très dangereux, quoi,  un gourou  sans scrupule capable d’égarer ses disciples en leur conseillant de veiller à leur immunité  et à leur microbiote plutôt que de se laisser terroriser par un microbe.

Malgré ses excuses publiques,  le quintuple vainqueur des Masters a perdu tout crédit aux yeux du tribunal médiatique. Mais de quoi est-il coupable ?

À ma connaissance,  aucun participant potentiellement « contaminé »  lors du tournoi n’a développé la maladie, ni même le moindre symptôme. Comme ils le font depuis deux  mois, c’est-à-dire depuis que la virose saisonnière a quasiment disparu des radars sanitaires, les journalistes assimilent allègrement le test  et le Covid, l’agent viral et la pathologie,  les infections et les « cas confirmés ».

À les lire ou les entendre, les joueurs et leurs proches ont été « touchés par le virus » et exposés à un péril mortel. La vérité, c’est que ce risque est infinitésimal et que les gens catalogués  comme  infectés sont toujours en parfaite santé. Je vous parie tout ce que vous voulez qu’ils vont le rester mais que les justiciers médiatiques vous le cacheront.

2ème mensonge : Les fêtards nous mettent en danger

Parmi les  généreux participants au tournoi de bienfaisance, il y avait Alexandre Zerev. Négatif au test, le joueur allemand avait néanmoins battu sa coulpe et promis de se mettre en quarantaine pendant 14 jours. Hélas pour lui, il a été filmé samedi en train de danser en charmante compagnie dans une soirée : quel crime épouvantable, aux yeux de l’Inquisition pasteurienne !

En Belgique, il y a dix jours, ce sont des centaines de fêtards qui ont défrayé la chronique en se rassemblant à Bruxelles sur la place Flagey. Experts, politiques et éditorialistes ont condamné à l’unisson ce rassemblement festif risquant de rallumer l’épidémie et de ruiner le déconfinement. Le maire écologiste (!) d’Ixelles, qui avait dépêché la police sur les lieux,  a même menacé les contrevenants de graves sanctions s’ils reprenaient ce « risque insensé ».

Le problème , c’est que ces procureurs autoproclamés ne disposent d’aucun élément à charge pour étayer leurs accusations.  Rien, absolument rien, ne prouve que le regroupement de nombreux individus au même endroit ait joué un rôle quelconque dans la dynamique de la « pandémie ».  Ce ne sont que des spéculations et des modélisations théoriques .

En février, les épidémiologistes alarmistes nous ont déjà fait le coup avec la Foire du Livre. Puis en mars avec le salon de la construction Batibouw. À la veille du confinement, ils s’alarmaient des  lockdown parties  organisées par de  jeunes « irresponsables ».

Début juin, les mêmes experts ont annoncé que les manifestations contre le racisme auraient inévitablement des conséquences. Et suite aux événements ixellois,  ils ont pronostiqué un  funeste « effet Flagey ».

À chaque fois, ces prophètes foireux pérorent mais ne fournissent aucun indice permettant de vérifier qu’il y a eu départ d’un foyer et  début d’une « chaîne de transmission » dans les rassemblements de foules.

La vérité, c’est que les rebonds prédits ne se produisent pas et que les faits donnent raison aux fêtards. Le Covid est mort et enterré et les 2.000 « traceurs » belges engagés  pour le pister téléphoniquement se tournent les pouces avant d’être licenciés prochainement. Un gâchis financier  de plus ….

3ème mensonge : Les masques ont fait leurs preuves

Surréalisme à la belge : alors que l’épidémie s’est évaporée, 450 médecins viennent de publier une lettre ouverte alertant sur  un manque d’adhésion de la population pour l’endiguer. Ils déplorent notamment que le gouvernement n’ait pas rendu le port du masque obligatoire. Ce dernier est déjà imposé dans les transports  en commun mais  les toubibs inquiets voudraient que l’obligation soit étendue et renforcée.

Argumentation ? « Les masques buccaux ont un sens, sinon nous n’en n’aurions pas si massivement besoin dans les hôpitaux ». Les intellectuels  y verront  un sophisme, c’est-à-dire un raisonnement faussement logique.  Mais comme je ne prétends pas être intello,  je parlerai pour ma part de grosse couillonnade.

Car les masques, ces disciples d’Hippocrate semblent l’ignorer, n’ont aucune espèce d’efficacité. Et comment en serait-il autrement ? Un masque facial standard a des pores d’une dizaine de microns alors que la taille moyenne d’un virus est de 250 nanomètres.

Ça veut dire que 40 virus peuvent traverser de front chaque trou du bâillon , soit des milliers par masque. Tu parles d’une protection !

Certes, ces  boucliers risibles sont  désormais recommandés par l’Organisation Mondiale de la Santé. Le hic, c’est  que cette recommandation ne repose sur aucune base scientifique solide. Et que c’est même reconnu dans un document de l’OMS  repéré par le chercheur canadien Denis Rancourt : « À l’heure actuelle, l’utilisation généralisée des masques par les personnes en bonne santé dans le cadre communautaire n’est pas encore étayée par des preuves scientifiques directes ou de haute qualité  et il y a des avantages et des dommages potentiels à prendre en compte ».

Via une lettre adressée au directeur de l’OMS, l’Association des Libertés Civiles de l’Ontario (OCLA)  vient de  sommer Mister Ghebreyesus de s’expliquer sur cette incohérence bizarre. Dans le Néosanté de juillet-août,  nous publions également un article sur la mascarade des masques. Hughes Belin a trouvé d’autres publications et déclarations émanant de l’OMS et attestant que cette contrainte n’est pas fondée sur des preuves.

La conclusion de notre journaliste  est que  « L’imposition des masques est bien une manipulation de masse fondée sur une supercherie scientifique avec des conséquences psychologiques profondes que la science, elle, fera bien d’évaluer un jour. »

4ème mensonge : Le coronavirus a fait des ravages chez nous

Dans son édition de lundi, le quotidien belge Le Soir – que j’ai pour ma part rebaptisé Le Suaire – nous affirme que le coronavirus a fait près de 30% de décès en plus que la normale entre le 1er mars et le 31 mai.

C’est une manipulation éhontée car la surmortalité due aux maladies respiratoires ne se calcule pas sur 3 mois mais sur l’ensemble de la saison froide. Or, cette année,  la grippe annuelle a été exceptionnellement clémente durant l’hiver.

En France, on vous l’a déjà signalé, il n’y avait que 72 morts de grippe  recensés officiellement au 1er avril. Pour avoir une vue correcte de la  surmortalité, il faudra comparer l’ensemble de l’année 2020 avec les années précédentes. Serait-elle au rendez-vous, ça n’aurait rien d’extraordinaire.  Les Français savent-ils que depuis 1945,  leur pays a enregistré 13 épisodes de surmortalité comparable à celle de 2020 ? Sans compter le Covid-19, les épidémies saisonnières ont engendré à 13 reprises  un excès d’au moins 10.000 décès par rapport à l’année antérieure.

Vous pouvez le vérifier en lisant cette analyse publiée  sur le blog du sociologue Laurent Mucchielli. La dernière fois que ce bon vieux Influenza  a « ravagé » l’hexagone, c’était en 2017, avec un nombre de décès en excès estimé à 21.200 sur les 10 semaines de l’épidémie grippale.

Si vous ne le croyez pas, allez lire cet article du Figaro  daté du 8 mars 2017.  En Belgique, on devrait se souvenir de l’année 2015 :  il y a eu 17% de morts en plus lors de l’épidémie grippale et pendant le pic, on a compté jusque 2.600 décès par…. semaine. Comme le prouve ce reportage télévisé de l’époque,  le Dr Van Laethem n’était nullement alarmé, lui qui officie cette année comme porte-parole du comité de crise qui a créé la panique et décrété le confinement.

J’ai fait suivre la séquence télé à une consœur travaillant dans la même chaîne et j’attends toujours qu’elle réagisse, ne fût-ce qu’en m’exprimant son étonnement…

5ème mensonge : Le coronavirus fait des ravages ailleurs

C’est quand même fou : la Belgique et la France n’ont pas subi une vague de trépas hors-normes mais la première est championne du monde de la mortalité (nombre de morts par million d’habitants) et la seconde est en tête pour le taux de létalité (nombre de morts rapporté à  la population infectée).

Bien que les chiffres soient donc sur la table pour relativiser l’ampleur de la pandémie,  les médias dominants des deux pays ne le font pas. Ce qui est encore plus hallucinant, c’est qu’ils font le contraire et nous racontent maintenant qu’une apocalypse est en cours  sur les autres continents.

Bien sûr, l’Amérique de Trump et le Brésil de Bolsonaro – décrits comme des affreux populistes qui ont minimisé la menace à des fins électoralistes – figurent au premier rang des nations prétendument dévastées par un fléau hors de contrôle.

La réalité est que, là comme ailleurs, la politique de confinement décidée par les gouverneurs a fait d’immenses dégâts parmi les personnes âgées cloîtrées chez elles ou dans des homes.  À l’image de le France et de la Belgique, les États-Unis ont été le théâtre d’une tragédie – authentique celle-là et un peu décalée par rapport à l’Europe – , se déroulant dans les maisons de retraite où les vieux ont été terrorisés et emprisonnés. Et davantage terrorisés encore parce qu’emprisonnés et privés d’une vie digne.

Dans une autre analyse argumentée, le chercheur  Denis Rancourt  s’est penché sur la mortalité toutes causes confondues des deux côtés de l’Atlantique : pour lui,  pas trace d’un fléau viral mais bien « la signature probable  d’homicide de masse par la réponse du gouvernement ». Un homicide de masse, c’est un génocide et je ne regrette pas d’avoir employé ce terme il y a déjà trois mois. Il y a eu génocide, c’est une certitude,  mais il n’y  a pas de deuxième vague : ce qui se passe actuellement , c’est qu’on teste tellement de gens  dans certains pays  (Afrique du Sud notamment, où le test PCR est  ouvert gratuitement à tout le monde) que la pseudo pandémie est entretenue artificiellement.

Comme l’expliquait David Crowe dans le Néosanté de juin, tester une population non infectée ne peut produire que des faux positifs, ce qui permet de prolonger indéfiniment une crise sanitaire qui n’en est pas une.

Dimanche soir, la RTBF a  diffusé un reportage atroce sur le Yémen, où  le coronavirus  – détecté chez un million d’habitants !  –  viendrait s’ajouter à  la guerre et la famine en décimant les enfants. Ainsi, même dans cet enfer sur terre, on parvient  à dépister à tour de bras ! Si ce n’est pas le signe d’un plan prémédité, c’est très bien imité.

6ème mensonge : sans confinement, c’eût été pire

Ça, c’est l’infox la plus odieuse : relayant sans broncher une étude effectuée par une équipe de l’Imperial College de Londres – ce même panier de crabes qui  a inspiré la décision criminelle de confiner  la moitié de l’humanité sur base de modèles mathématiques délirants – les médias nous assènent  que le confinement aurait évité 3 millions de morts dans 11 pays européens.

Mais c’est faux, archifaux !  Tout indique au contraire que les pays ayant adopté les mesures les plus sévères  ont été les plus impactés.

Dans le mensuel Néosanté de juillet-août, Pryska Ducoeujoly a interviewé les Dr Nicole et Gérard Delépine : graphiques à l’appui, ce couple de cancérologues -statisticiens démontre sans ambiguïté que les pays soumis au lockdown strict sont les plus mal classés en termes de mortalité.

En Suède et aux Pays-Bas, où la vie « normale » n’a pas été stoppée brutalement, le nombre de morts par million d’habitants est très inférieur à celui de la Belgique et de la France. Pourquoi voit-on si peu Jean-François Toussaint  sur les plateaux télé ? Avec ses chercheurs de l’IRMES, ce professeur de physiologie a dressé un bilan accablant du Covid-19  et  de sa gestion par les autorités. Dans son analyse que vous pouvez lire en cliquant ici, il déplore amèrement  que les gouvernements aient « succombé à la panique » en prenant la décision calamiteuse  de « confiner aveuglément » .

En fait, les courbes de décès n’ont jamais épousé un tracé correspondant aux options préconisées par les experts : comme me l’a expliqué un lecteur ingénieur versé en statistique, le confinement n’a pas ralenti  la phase de mortalité croissante et le déconfinement n’a provoqué aucune recrudescence.

Tout ce cirque était inutile car l’épidémie de Covid-19 n’a fait que suivre l’évolution classique d’une grippe saisonnière normale.  J’ai mis  sa petite démonstration en ligne  et vous pouvez la consulter en cliquant ici .

Mais pourquoi se fatiguer à décrypter des tangentes alors qu’on a  sous les yeux  la preuve éclatante  que la surmortalité découle du géronticide et d’une surmédicalisation iatrogène ? Cette preuve s’appelle la Grèce.  Certes, ce pays a confiné tôt et a eu la grande intelligence d’autoriser totalement la prescription de chloroquine.

Mais il a pris une autre décision capitale : dès la mi-mars,  le gouvernement grec a réorienté sa politique de dépistage en ne testant que les personnes  gravement symptomatiques. Résultat : 191 morts seulement dans un pays comptant 10,7 millions d’habitants  et dont le système de santé a été durement affecté par la crise financière !

La clé de ce mystère m’a été révélée par la comptable des éditions Néosanté, qui est d’origine grecque et qui y retourne souvent pour en exporter vers la Belgique de délicieuses olives biologiques : en Grèce, les maisons de retraite n’existent quasiment pas ! Pour toute famille grecque qui se respecte, il est inimaginable de reléguer les anciens dans un hospice,  il est hors de question de placer ses parents dans des mouroirs monogénérationnels.  Les vieux sont pris en charge par leurs descendants et hébergés chez ces derniers, si possible jusqu’à leur dernière heure.

Les seniors ont donc été confinés avec leurs enfants,  petits-enfants et parfois arrière-petits-enfants. Si la vie sociale a été paralysée, la vie familiale habituelle n’a pas été brisée par le confinement.

Pour moi, la Grèce est  une magnifique étoile brillant dans la nuit, une super-nova qui nous dévoile combien le mythe pasteurien de la causalité virale est nul et non avenu. Les aînés ont survécu parce qu’on ne les a pas coupés de la jeunesse, qu’ils ont échappé à la pandémie de peur et qu’on ne les  a pas assassinés en les séquestrant loin de leurs proches.

L’essentiel se joue dans la tête et  dans le cœur. Et moi, cette évidence m’aide à surmonter mon écœurement. Ça va déjà beaucoup mieux.

Source : NéoSanté

C’est quoi la revue Néosanté ?

Présentation

Publiée par les éditions du même nom, Néosanté est une revue mensuelle de santé globale, réalisée par des journalistes professionnels, en collaboration avec des praticiens spécialisés  (médecins et thérapeutes). Axée essentiellement sur le décodage des maladies,  elle est disponible sur abonnement annuel  ou vendue au numéro, en version papier comme en version numérique, Néosanté vous propose chaque mois une grand dossier, une longue interview, un agenda et des infos brèves, ainsi que plusieurs pages d’articles et de témoignages sur le sens des maladies et les moyens naturels de les prévenir ou d’en guérir.

Néosanté,
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SAMSUNG CAMERA PICTURESFondées  à Bruxelles  au début  de l’année 2011, les Editions Néosanté exercent deux activités principales : l’édition de livres et la publication d’une revue mensuelle de santé globale, réalisée par des journalistes en collaboration avec des praticiens spécialisés en décodage des maladies.

Editeur responsable de la revue Néosanté,  Yves RASIR est journaliste indépendant depuis près de 30 ans. Initié à l’hygiénisme par le naturopathe André Passebecq, il a  eu la chance de rencontrer les grands médecins et chercheurs qui ont mis à jour le sens biologique des maladies (Henri Laborit, Ryke Geerd Hamer, Alain Scohy, Robert Guinée…) et de se former auprès de certains d’entre eux (Olivier Soulier, Claude Sabbah, Gérard Athias…). Fondateur et rédacteur en chef du magazine BIOINFO pendant 13 ans, il y a promu les premiers efforts d’information du grand public sur le nouveau paradigme médical.

En créant Néosanté, il poursuit ainsi un parcours de vie entièrement dédié au  « sens des maux et à leurs solutions bio ».

Source : Néosanté

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