Covid-19 : Escroquerie, Manipulation des chiffres… – Double stratégie du Prélèvement Nasal et du Test Nasal.

Un ami Médecin nous adresse une étude et une réflexion sur le scandale du prélèvement nasal et des tests RT-PCR.

C’est avec plaisir que nous vous communiquons le résultat de ses recherches et de ses réflexions :

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Le test nasal
Un protocole qui falsifie les chiffres de l’épidémie

Résumé : Depuis deux mois, le test nasal est utilisé à une très grande échelle pour identifier, par PCR, les porteurs de coronavirus, et évaluer la gravité de l’épidémie. Nous allons montrer comment ce protocole utilise deux stratagèmes pour multiplier les cas positifs et exagérer l’importance réelle de l’épidémie. Nous verrons ensuite que ce test n’est pas dénué de risques et ce que chacun peut faire pour tenter d’éviter un résultat positif.

 

Tout d’abord, il faut savoir que contrairement aux prélèvements de gorge, de crachats, d’urines, etc, ce test n’était jamais pratiqué parce qu’il n’a aucun intérêt. Les cavités nasales sont en permanence exposées à l’air extérieur, et on y trouve, piégés dans le mucus, toutes les poussières et les millions de germes, de virus et de moisissures en suspension dans l’air que nous respirons. Au cours d’une pathologie infectieuse, l’analyse d’un prélèvement nasal ne fait pas le diagnostic, c’est surtout un test de pollution environnementale. Pourtant, depuis quelques années, ce test semble devenu une pratique régulière de médecins qui n’ont pas réfléchi au fait que le nez, c’est toujours sale, et qu’on y trouve tout et n’importe quoi.

 

Nous allons faire une comparaison. Imaginons une commission d’hygiène et de sécurité qui visite votre entreprise. Au lieu d’effectuer les contrôles habituels pour déterminer si l’air, l’eau ou les locaux sont contaminés, la commission d’hygiène vérifie simplement les filtres du système d’air climatisé. Elle y découvre des germes ou des poussières toxiques et fait fermer votre entreprise ! Or c’est précisément la fonction de ces filtres, arrêter ces agents pathogènes, pour délivrer un air purifié dans les locaux. Il s’agit d’une stratégie de guerre commerciale qui profite sans doute à un concurrent beaucoup plus puissant que vous et capable d’influencer cette commission pour faire fermer votre entreprise. Cette décision est totalement malhonnête, illégale, inquiétante pour les employés. Pour le contrôle suivant, non seulement les locaux seront propres, mais vous ferez nettoyer ou changer les filtres.

 

Autre comparaison d’un ami, le filtre à air de votre voiture est sale et le garagiste – les autorités sanitaires – vous oblige à la laisser au garage ! C’est exactement ce qui se passe avec le prélèvement nasal pour la Covid-19 chez des sujets sains.

 

L’entreprise, c’est vous. Votre appareil respiratoire comporte un système de filtre qui piège et élimine les poussières et les particules qui pourraient pénétrer dans vos poumons. Les cavités nasales et les voies aériennes supérieures sont tapissées de cellules ciliées pourvues de poils microscopiques et d’un mucus collant qui filtrent toutes les particules indésirables et les agents infectieux en suspension dans l’air, de façon à délivrer un air purifié à vos alvéoles pulmonaires. Ce système, contrairement aux masques chirurgicaux, est nettoyé en permanence. Les mouvements des cils rejettent le mucus chargé de poussières, de bactéries, de moisissures ou de virus. Ce mucus ne remonte pas dans les cavités nasales, il est dégluti, mélangé aux enzymes salivaires, et détruit dans l’estomac. Quand on se mouche et quand on éternue, le mucus peut être rejeté à l’extérieur et les précautions d’usage sont indispensables. Actuellement, même en bonne santé, on vous impose cette aberration médicale, cette analyse de votre mucus nasal contaminé par l’air extérieur.

 

Ensuite, on utilise le test RT-PCR qui multiplie, pour les détecter, un très grand nombre de fois le moindre virus ou le moindre fragment d’ARN viral inactivé :

  • 24 cycles de duplication = × 224 = × 17 000 000,
  • 30 cycles de duplication = × 230 = × 1 000 000 000,
  • 35 cycles de duplication = × 235 = × 35 000 000 000 !
  • 40 cycles de duplication = × 240 = × 1000 000 000 000 !!

 

Plus le seuil de cycle – cycle threshold = CT – est élevé, moins la charge virale est importante. Comme l’a expliqué le Pr Jean-François Toussaint le 8 septembre 2020 sur LCI, au-delà de 24 cycles, les personnes testées positives ne sont pratiquement pas contagieuses. La communauté internationale aurait fixé un seuil de cycle de 30 duplications, au-delà duquel le test doit être considéré comme négatif.

 

En France, la situation est différente, dans le cadre d’une stratégie de dépistage massif national. La RT-PCR est la technique de référence, sa sensibilité très élevée permet de détecter de très faibles quantités d’ARN viral dans les échantillons, sans faire la différence entre des fragments d’ARN et des virus vivants. De plus, le seuil de cycle de duplication CT recommandé a été augmenté aux environs de 37. Il varie en fonction des techniques, ce qui empêche les comparaisons, et il n’est pas indiqué dans les interprétations données aux médecins (Avis du 25 septembre 2020 de la Société française de Microbiologie). Chaque fois que les autorités sanitaires ajoutent un cycle de duplication au protocole, le nombre des tests positifs et des erreurs double. Aujourd’hui, on appliquerait entre 35 et 40 cycles de duplication, ce qui multiplie par 100 ou par 1000 le nombre de résultats positifs et les erreurs. Les résultats se rapprochent d’un tirage du loto, les erreurs seraient voisines de 30 %, et plus de 95 % des personnes testées positives ne seraient absolument pas contagieuses et ne nécessiteraient aucune précaution particulière.

 

Réalisé de cette façon, le test va détecter la contamination infinitésimale du laboratoire lui-même, qui n’est pas stérile et accueille des centaines de patients chaque jour, ou celle de l’air que le sujet a respiré les heures précédentes : positif un jour, négatif le lendemain, et ainsi de suite. Les quelques virus ou fragments d’ARN englués dans le mucus de vos cavités nasales sont inoffensifs, ils ne s’y multiplient pas, ils ne sont pas rejetés à l’extérieur mais déglutis, digérés. Vous n’êtes ni contagieux ni malade, et la décision de vous isoler est totalement malhonnête. Exactement comme pour notre entreprise, cette technique de prélèvement et l’augmentation des cycles de duplication intervient dans une stratégie de guerre économique, qui augmente artificiellement le nombre des soi-disant porteurs du coronavirus. Les autorités entretiennent une illusion d’épidémie, elles maintiennent les populations dans la peur de tomber malade ou de contaminer leurs proches, et imposent de nouvelles mesures liberticides, préjudiciables à toute la population et à toute notre économie.

 

Dans certains cas, si vous êtes malade, le test pratiqué dans des conditions normales, inférieur à 30 cycles de duplication, peut identifier, sans certitude, un virus qui se multiplie dans votre organisme et orienter le traitement de votre médecin. La fièvre reste un bon témoin de la multiplication du virus dans votre organisme et de votre contagiosité éventuelle. Vous serez isolé un certain temps, comme cela se fait pour les maladies infantiles, et la sérologie pourra, ou non, confirmer le diagnostic. Le prélèvement nasal n’a jamais été un test de dépistage et de contagiosité, c’est un test d’orientation thérapeutique médiocre chez des personnes malades, il est toujours contaminé par l’environnement.

 

Le prélèvement naso-pharyngé lui-même n’est pas un geste dénué de risques. Il peut provoquer des micro-érosions des muqueuses nasales, y faire pénétrer quelques virus présents dans le mucus et déclencher une véritable infection. D’autre part, les cavités nasales sont séparées de la base du cerveau et de l’hypophyse par quelques centimètres de feuillets osseux très minces et un prélèvement peut être traumatique. Ce prélèvement profond par voie nasale peut être dangereux !

 

Il existe un moyen simple pour diminuer le risque de test positif, comme pour le système de climatisation de notre entreprise. Avant ce test, il faut se moucher et se rincer soigneusement les cavités nasales avec du sérum physiologique ou l’équivalent : il faut nettoyer votre filtre personnel et évacuer le mucus contaminé par les particules virales présentes en suspension dans l’air que vous respirez.

 

Conclusion : le protocole appliqué pour ce test est profondément biaisé, manipulé de façon à augmenter artificiellement le nombre de sujets positifs alors que le nombre réel des malades reste bas. Grace à cette stratégie de dépistage massif, les autorités sanitaires se préparent à immobiliser des millions de véhicules – vous et moi – parce que leurs filtres à air – leurs cavités nasales – sont sales. Si vous devez faire ce test, soyez propres sur vous, lavez-vous les mains, mouchez-vous soigneusement et faites un lavage des cavités nasales avec du sérum physiologique. Cela peut faire la différence.

 

Dr C., médecine générale, le 11 octobre 2020,
adhérant à BonSens.org et au Collectif médecins et soignants.

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