Alençon Un nouveau chef et deux jeunes gendarmes à la brigade, depuis cet été

Le Major Ribbaux a pris la direction de la brigade autonome d’Alençon le 1er août. Sous sa coupe : dix-huit gendarmes dont deux fraîchement sortis de l’école.

Le major Robert Ribbaux et le gendarme Guillaume Simon

Le major Robert Ribbaux et le gendarme Guillaume Simon

Avec la nomination en Bretagne du lieutenant Dominique Revaka, la brigade autonome d’Alençon a un nouveau chef depuis le 1er août : le major Robert Birraux, 52 ans, natif de Haute-Savoie “mais Ornais d’adoption”.

Militaire depuis 32 ans, il a débuté sa carrière en Île de France où il a occupé deux postes avant de mettre le cap, quatre années durant, en Guadeloupe. Son retour en métropole s’est effectué dans l’Orne, département qu’il n’a plus jamais quitté. Ce poste à Alençon est, en effet, sa sixième affectation dans le département.

Sa mission ? “Assurer, comme tous les gendarmes, la sécurité des biens et des personnes, lutter contre les cambriolages et l’insécurité routière”. Pour la mener à bien, il dispose, sous ses ordres à la brigade d’Alençon, de 18 gendarmes. Dont deux jeunes fraîchement diplômés de l’école de Montluçon : Guillaume Simon, 23 ans, natif de Falaise, et Alexandre Maud, 29 ans, originaire de Limoges.

Guillaume Simon compte déjà une expérience de quatre ans de gendarme-adjoint. “J’ai toujours voulu devenir gendarme. Mon père l’est. J’ai grandi les casernes ! Après mon bac, j’ai passé le concours de gendarme-adjoint”. Réussi avec brio. Il a alors découvert le métier dans les brigades de Mortagne-au-Perche et de Courtomer.

Titulaire du concours de sous-officier en mars 2015, il a intégré l’école de Montluçon en octobre de la même année pour une durée de neuf mois à l’issue de laquelle il a décroché, conformément à son souhait, “le seul poste disponible en Basse-Normandie”. Soit Alençon.

Ambitieux, le jeune militaire espère se présenter au concours d’officier de police judiciaire “le plus tôt possible” et n’exclut pas d’évoluer au sein de la Brigade de recherches (BR) ou du peloton de surveillant et d’intervention de la gendarmerie (Psig).

Source : Orne Hebdo

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