Affaire BENALLA/MACRON le chemin vers la vérité est long et semé d’embûches

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Le bal des promotions 

Le colonel LAVERGNE chef du GPSR est devenu général et nommé adjoint au directeur des opérations

Le général BIO FARINA, commandant militaire du palais présidentiel devient commandant de la garde républicaine.

Le Préfet de Police Monsieur DELPUECH, limogé à grand coup de com’ est finalement nommé conseillé en service extraordinaire au conseil d’Etat.

Le Directeur de la DOPC, Monsieur GIBELIN, perd son poste de directeur, mais devient commissaire général à la place.

Le Procureur de Paris Monsieur MOLINS est nommé procureur général auprès de la Cour de Cassation.

Le nouveau Procureur de Paris Monsieur Rémy HEITZ est choisi directement par Monsieur le Président de la République.

Une procédure judiciaire « particulière »

On ne sait toujours pas où est le coffre, alors que même Monsieur CASTANER a reconnu que « c’est a minima croquignolesque » ;

On est prié de croire qu’à Poitiers il avait un pistolet à eau ;

On ne sait toujours pas pourquoi il avait un port d’arme ;

La Gardes des Sceaux, Madame Nicole BELLOUBET, prend fait et cause pour Alexandre BENALLA, au mépris de la séparation des pouvoirs ;

Pas de réponse au dépaysement de l’affaire ;

Monsieur Ismaël EMELIEN n’est pas inquiété malgré la diffusion de vidéo surveillance de la Préfecture de Police sur les réseaux sociaux ;

Pour les mêmes faits, les violences et les relations avec le Président de la République en moins, un prévenu a été condamné en moins de 3 mois après les faits à « quatre mois de prison avec l’interdiction de détenir une arme soumise à autorisation et interdiction d’exercer un métier dans la fonction publique durant dix ans ».

Répression syndicale

Notre secrétaire général est exclu temporairement de fonction pour 12 mois, sur décision personnel de Monsieur CASTANER, le lendemain de son passage dans Envoyé Spécial sur France 2 sur l’affaire BENALLA le 20 juin 2019. Être le seul syndicat de Police avoir déposé plainte et s’être constitué partie civile dérange le sommet de l’Etat.

« On n’a rien caché. Il n’y pas eu obstruction de la justice, je vous le dis les yeux dans les yeux » Emmanuel Macron sur l’affaire BENALLA

Source : VIGIMI.fr

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